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Présentation de l'artiste et de quelques-unes de ses promenades, de ses visites, de ses œuvres : dessins, aquarelles, lavis à l'encre et photographies
Artiste tchèque de renommée internationale, Alphonse Mucha (Alphons Maria Mucha) reste indissociable de l’image du Paris 1900. Sa célébrité lui vient surtout de ses élégantes affiches d’un style très affirmé, emblématique de l’Art nouveau. Mais son activité d’affichiste occulte trop souvent les autres aspects de sa production comportant aussi des peintures, des sculptures, des dessins, des décors, des objets d’art… Au travers de toutes ces œuvres, c’est la figure d’un homme qui se dessine, mystique et visionnaire, animé d’une véritable pensée politique, à l’heure du renouveau national tchèque et de l’éclatement de l’Empire austro-hongrois. Tout le travail préparatoire pour L’Épopée slave qui l’occupe entre 1911 et 1928 témoigne de son attachement à son pays natal et de son rêve d’unité entre les peuples slaves. Au-delà du maître de l’Art nouveau, c’est donc l’œuvre foisonnante et la personnalité singulière de cet artiste que l’exposition entend révéler aux visiteurs.
Alphons Mucha et Georges Fouquet :
L'art décoratif et l'artiste :
Alphonse Mucha, le patriote :
La documentation officielle du musée et son exposition :
Alphonse (Alphans) Mucha : un peu d'explication sur son Œuvre
Sarah Bernard la star de Mucha
Le maître de l'affiche :
Alphonse Mucha dans son atelier, rue du Val-de-Grâce, Paris
Alphonse Mucha créateur :
Le retour au pays :
Esquisse pour un vitrail de la cathédrale Saint-Guy 1931 et sa réalisation à droite
"Au commencement" : quatre études pour une projet sur la Genèse
la façade générale de la fontaine Delacroix au jardin du Luxembourg
La fontaine Eugène Delacroix du jardin du Luxembourg, Paris VIème, est une œuvre du sculpteur Jules Dalou. Elle fut construite en 1890 grâce aux dons et souscriptions des amis et admirateurs du peintre.
Détails de la fontaine Delacroix
La stèle du peintre qui surmonte la fontaine
Ce splendide monument en bronze dû au sculpteur Jules Dalou se situe dans le jardin du Luxembourg, contre la barrière qui sépare celui-ci du palais dit "du Petit Luxembourg", construit et occupé par Marie de Médicis aujourd'hui résidence du Président du Sénat.
Il est constitué par un bassin rectangulaire en marbre blanc dans lequel se
déversent six jets d'eau par des masques fixés sur le mur du buffet d'eau qui décorent l'arrière-plan.
Sur un soubassement surmonté de trois marches est posée une stèle, sur laquelle est fixé le buste en bronze d'Eugène Delacroix (1798 - 1863) qui participa à la décoration peinte du Palais du Sénat et de l’Église Saint-Sulpice, étape d'une œuvre particulièrement abondante et dont les mérites sont universellement connus.
Le visage du peintre marqué par la fatigue et la maladie dans les dernières
année de sa vie est sévère et un peu découragé.
L'artiste est accompagné d'allégories de bronze dont les figures évoquent le Temps, la Gloire et le Génie des arts. Le Temps se trouve du côté gauche, c'est
évidemment un dieu quelque peu chenu, barbu et chauve; il porte cependant dans ses bras une agréable et sensuelle jeune femme, comme les aimait le sculpteur Jules Dalou, l'élevant vers le buste de Delacroix, à qui elle offre une palme qui honore et symbolise les nombreux mérites du peintre.
Du côté droit figure le Génie des Arts sous la forme d'un dieu couronné qui
frappe dans ses mains pour applaudir au triomphe de Delacroix.
Au pied des sculptures monumentales figurent des carquois avec leurs flèches, un casque Franc, des personnages et des bucranes.
Sur la stèle, une inscription rappelle que ce monument fut élevé grâce à la souscription de ses amis et admirateurs en 1890.
La sculpture visible au square Cambronne Paris 15ème arrondissement
Détail de l’œuvre :
Le sculpteur animalier Henri Amédée Fouques :
Henri Amédée Fouques est l'élève de Jules Cavelier et de François Truphème à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris. Il se spécialise dans la sculpture animalière. Il débute au Salon de Paris en 1881 puis obtient diverses médailles aux salons suivants. En et 1900, Il reçoit une médaille de bronze à l'Exposition universelle de 1889 et de 1900 à Paris.
Dans le cadre du circuit des années 30 à Boulogne-Billancourt, une visite dans cette église typiquement de style art déco.
Cette église commencée en 1926 et terminée en 1940 par l'architecte Bourdery, elle est un des édifices de la région parisienne construits dans le cadre des chantiers du Cardinal.
Son décor sculpté polychrome a été essentiellement réalisé par Jean Lambert-Rucki. L'Etat lui a attribué le label "Patrimoine du XXème siècle.
De plan basilical, son ossature est en béton armé, avec un appareillage décoratif de pierres et de briques. L'église est formée d'une vaste nef aux formes simples, couverte d'un toit à deux pans en tuile et prolongée par un chœur surélevé à trois pans, entourée de deux chapelles basses couvertes en terrasse. Les murs de l’église sont rythmés par un chemin de croix et d’imposantes verrières, et dans le chœur un bas-relief en l’honneur de la petite sainte Thérèse et un crucifix en bois sculpté.
L'entrée est constituée d'un clocher porche, ajouré de verrières à croisillons en béton, et portant sur le tympan triangulaire une statue de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus.
Église Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus à Boulogne-Billancourt, Hauts-de-Seine
Une visite à l'Espace Landowski à Boulogne-Billancourt, Hauts-de-Seine :
Buste de Paul Landowski Espace Landowski à Boulogne-Billancourt
Installé au quatrième étage du musée des années 30, l’œuvre de ce sculpteur boulonnais est mis à l'honneur dans une nouvel scénographie.
Grand Prix de Rome de sculpture en 1900, Paul Landowski est mondialement connu durant l'entre-deux-guerres notamment avec le célèbre Christ rédempteur qui domine la baie de Corcovado de Rio de Janeiro.
La petite statuaire :
La famille de Paul Landowski marbres
Le Christ Rédempteur
Lien Wikipédia Le Christ rédempteur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Christ_R%C3%A9dempteur
Structure béton et stéatite
H = 30mètres + 8 mètres de piédestal
Construction de 1926 à 1931 Ouverture : 12 octobre 1931
Les Fantômes, œuvre de 1935 Plaine de Chalmont, Aisne Maquette pour une oeuvre en granit de 8 mètres
Le Musée des années 30 :
Le Musée des Années 30 :
Le musée des Années 30 est dédié à la création artistique de l'entre-deux-guerres et présente une collection unique composée de sculptures, de peintures de meubles et d'objets illustrant brillamment cette période.
28, avenue André Morizet au sein de l'Espace Landowski
L'art Colonial :
Les œuvres du rez-de-chaussée du musée Paul Landowski
Balade Architecture des années 30, Art Déco et Mouvement Moderne
À l’exubérance et la fantaisie de l'Art nouveau succèdera dans la période de l’entre-deux-guerres deux mouvements architecturaux aux formes épurées et rationnelles : l’Art Déco et le Mouvement Moderne. Deux styles qui privilégient la concordance des formes avec la fonctionnalité de l’habitat, que l’on reconnaît avant tout par leurs formes géométriques simples.
Boulogne-Billancourt, à la frontière du 16ème arrondissement possède de nombreux Villas et Hôtels particuliers témoins de ces deux courants, construits par les plus grands architectes de l’époque comme Le Corbusier, Mallet-Stevens, Courrèges, les frères Perret ou Terry. Une balade pour les amoureux d’architecture, ou tout simplement pour les amateurs de découvertes originales.
Début du parcours à la Porte de Saint-Cloud (ligne 9, 16e arrondissement). Prenez la route de la Reine, puis tournez à droite rue de la Tourelle. Vous êtes dans Boulogne-Billancourt.
Au 60-62 rue de la Tourelle, vous pouvez voir un ensemble immobilier construit par Constant Lefranc. Une architecture qui utilise pour sa façade le béton et la brique, matériaux typiques de l’Art Déco.
Prenez la rue du Belvédère. Bordée de villas et d’hôtels particuliers, cette rue est l’une des plus élégantes de Boulogne-Billancourt. Beaucoup furent construits, à bas coûts, pour des artistes d’époque.
À ne pas louper : le n° 9, sa grande baie horizontale et sa pergola en ciment. En face, du n° 6 au n°12, les styles et les matériaux des villas évoquent une jolie rue anglaise. Au n°21 se trouve un magnifique atelier d’artiste construit par les frères Perret pour la sculptrice Dora Gordine. Un édifice qui n’a subi que très peu de modifications.
Tournez à droite rue du Pavillon. Vous trouverez dans cette rue 2 superbes hôtels particuliers aux styles différents. L’un au n°10, l’autre au bout de la rue, au n°1.
Au bout de la rue du Pavillon vous bénéficiez également d’une jolie vue sur deux stades : le Parc des Princes (football) et le stade Jean Bouin (Rugby-construit en 2013).
Prenez la rue Marcel Loyau jusqu’à l’avenue Robert Schuman.
Avenue Robert Schuman, de nombreuses superbes villas de dissimulent derrière de hautes grilles. Dans l’étonnant hôtel particulier du 19 bis a résidé André Malraux de 1945 à 1962. Vous trouverez d’autres hôtels d’exception aux n°22, 24 et 26.
Prenez ensuite la rue Salomon Reinach jusqu’à la place Denfert-Rochereau, puis continuez rue Denfert-Rochereau. Marchez jusqu’au 13, rue Denfert-Rochereau. Ici se trouve l’une des maisons les plus originales de la ville.
Tournez à gauche rue Claude Monet, et rendez-vous rue Gambetta. Parmi les plus beaux édifices, remarquez l’hôtel particulier personnel de l’architecte Jean Niermans au n°3 rue Gambetta, ou l’Hôtel du n°5, mélange original entre modernisme et architecture néoclassique.
Au bout de la rue, depuis le rond-point, admirez enfin l’Hôtel du peintre Alfred Lombard. Racheté en 2007, il a été classé monument historique et divisé en plusieurs lots.
Reprenez la rue Denfert-Rochereau. Les numéros 2, 4 et 6 forment un joli triptyque d’architecture moderne. La villa du n°6 est l’œuvre de Le Corbusier.
Fin de la balade. Vous pouvez retourner à la Porte de Saint-Cloud en marchant tout droit rue Denfert-Rochereau, en faisant un détour via de jolies rues comme la rue des Pins ou la rue Gutenberg. Au niveau de la Porte de Saint-Cloud, vous pouvez continuer vos découvertes architecturales sur les pas d'Hector Guimard et l'Art nouveau ou une jolie balade dans le village d'Auteuil.
Le parcours industriel de Boulogne :
Le parcours des sites industriels de Boulogne-Billancourt
La patrimoine de Boulogne-Billancourt
Sources : découverte de la ville de Boulogne-Billancourt et des Années 30 en découvrant :
Le mouvement Secession du début du XXème siècle Peinture et art décoratif sera abordé dans un prochain article du blog.
Je me permets d'appeler "art nouveau" les mouvements anti classicistes qui ont fait apparaitre beaucoup d'artistes qui souhaitaient rompre avec la tradition classique de l'art.
Ceci afin d'unifier les différents courants artistiques du monde entier qui ont révolutionné l'art dans de nombreux pays à la fin du XIXème et au début du XXème siècle.
La Sécession viennoise (Sezessionsstil ou Wiener Secession en allemand) est un courant artistique qui s'est épanoui en Autriche, plus particulièrement à Vienne.
La Sécession et le Jugendstil s'inspireront aussi du mouvement anglais Arts & Crafts et des motifs décoratifs gothiques.
Gustav Klimt (1862-1918), peintre et graveur, est le fondateur principal de la Sécession viennoise. En 1897, il cofonde la Sécession et la revue Ver Sacrum. Il est président de la Sécession et directeur d’exposition au palais de la Sécession jusqu’en 1905. Ses thèmes sont le plus souvent des nus de femmes, des allégories des mythes antiques et des images liées à la psychanalyse de Freud. Lien : Gustav Klimt
Un peu d'histoire :
Première scission
En 1903, la création par Koloman Moser et Josef Hoffmann d’une nouvelle association, la Wiener Werkstätte (« ateliers viennois ») fut un facteur essentiel de ce renouveau. Ce fut le lieu de rassemblement des arts appliqués. C’est là où les arts appliqués viennois ont trouvé leur identité propre.
Seconde scission
En 1905, un conflit éclate entre des artistes sécessionnistes « naturalistes » (comprendre « académistes ») et des artistes comme Gustav Klimt, Josef Hoffmann ou Koloman Moser. Ces derniers ne souhaitaient plus être associés aux naturalistes, car ils rejetaient le concept d"œuvre art totale.
La présidence en 1906 et 1907 est assurée par Anton Nowak(en), mais le souffle révolutionnaire des années précédentes n'est plus.
L'ambassade de France à Vienne
L'ambassade de France, construite entre 1901 et 1909 sur les plans de l'architecte Georges Chedanne
Circuit N°1 et N°2 rassemblés sur une même carte
Circuit 1 et 2
Circuit N°1 Circuit N°2
Le MAK
Circuit N°3 : HietZinger Villen A l'ouest du parc de Schönbrunn
Fondé en 1752, le Zoo de Schönbrunn est le plus ancien Zoo du monde. Le pavillon où les
membres de la Maison de Habsbourg-Lorraine venaient observer les fauves a été conservé. C'est l'un des rares zoos au monde à abriter des pandas géants.
Le château se trouve à HietZing, à l'ouest du centre-ville de Vienne. Du XIVe au XVIIe siècle, plusieurs édifices se sont dressés sur ce site.
Auparavant se trouvait à cet emplacement le Katterburg, propriété du maire de Vienne.
En 1569, Maximilien II du Saint-Empire, acheta le terrain où se trouvent aujourd'hui les parcs et différents bâtiments. Il montra un certain intérêt pour le Zoo qui venait d'être créé, et essaya d'y apporter en plus des plantations d'espèces végétales rares.
Le nom Schönbrunn est attribué à l'empereur Matthias, qui aurait découvert lors d'une excursion à la chasse une source particulièrement belle (en allemand, schöner Brunnen « belle fontaine »). Au cours du siècle suivant, la famille impériale s'en servit comme résidence d'été, mais les invasions turques entraînèrent sa quasi-destruction.
Matthias Ier ou Mathias Ier,empereur du Saint-Empire et roi de Bohême, de la maison de Habsbourg, roi de Hongrie sous le nom de Matthias II, est né à Vienne le 24 février1557 et il y est mort le 20 mars 1619. Il est le cinquième enfant de l’empereur Maximilien II du Saint-Empire et de Marie d'Espagne.
La défaite ottomane de 1683 ouvrit une période de paix propice aux grands travaux. L'empereur Léopold 1er confia à l'architecte Johann Bernhard Fisher von Erlach la conception d'un nouveau château qui se voulait le Versailles autrichien. Le premier projet livré en 1693, trop utopique et excessivement cher, ne fut pas retenu. Puis vint une idée plus petite et réaliste. La construction débuta en 1696, soit vingt-deux ans après les premiers travaux entrepris à Versailles par Le Vau. En 1699, trois ans après, les premières festivités se tenaient dans la partie centrale du palais.
Malheureusement, peu de parties du château survécurent car au cours du siècle suivant, chaque empereur modifia partiellement le bâtiment. Sur les ordres de l'impératrice Marie-Thérèse qui régna de 1740 à 1780, l'architecte Nikolaus Pacassi redessina le château dans un style rococo.
Après la victoire de Napoléon à la bataille de Wagram, un traité entre l'empire français et l'empire d'Autriche est signé dans le château.
Au XIXe siècle, l'empereur François-Joseph 1er d'Autriche, qui régna de 1848 à 1916, laissa sa marque sur Schönbrunn. Il y passa la majeure partie de sa vie et y mourut. Le château était sa résidence d'été (la Hofburg étant celle d'hiver). Plusieurs pièces gardent également le souvenir de son épouse, l’impératrice Elisabeth dite Sissi qui, pourtant, ne faisait pas mystère de son austrophobie.
Pendant le règne de l'empereur François-Joseph, Schönbrunn était considéré comme Gesamtkunstwerk (chef-d'œuvre accompli) et remodelé en accord avec son histoire.
Après la chute de Napoléon 1ere, l'archiduchesse Marie-Louise et son fils, le roi de Rome, partirent pour Vienne. L'enfant vécu dans un certain isolement au château de Schönbrunn où il mourut en 1832, à l'âge de 21 ans, dans une pièce connue sous le nom de chambre de Napoléon.
42 pièces, sur les 1 441 que compte le château, sont ouvertes au public parmi lesquelles :
La Grande galerie qui servit de cadre à des banquets officiels jusqu'en 1994 ;
Le Salon Vieux-Laque, aux murs ornés d'estampes chinoises, habité par Marie-Thérèse après la mort de son mari ;
Le Cabinet chinois rond, aux murs décorés de panneaux de laque, où Marie-Thérèse recevait son chancelier pour des conversations privées ;
Le Salon chinois bleu, tapissé de papier orné de scènes chinoises en médaillon, chambre où Charles 1er signa sa renonciation au trône le 11 novembre 1918, scellant ainsi la fin du règne des Habsbourg sur l'Autriche,
Le Grand salon de Rosa du nom du peintre Joseph Rosa (de) dans lequel des dorures rococo encadrent des paysages de la Suisse et de l'Italie du Nord.
La Salle du Petit Déjeuner aux murs ornés de 26 médaillons de fleurs brodés par Marie-Thérèse et ses filles
La Chambre de Napoléon où mourut le roi de Rome. Un oiseau naturalisé sous cloche, le seul ami qu'il ait jamais eu disait-il, rappelle son souvenir.
1) Musée des Carrosses, 2) Théâtre, 3) Orangerie, 4) Jardin de la réserve, 5) Jardin du dauphin, 6) Grand parterre, 7) Fontaine de Neptune, 8) Gloriette, 9) Fontaine de l'obélisque, 10) Fontaine de l'ange, 11) La belle fontaine, 12) Ruine romaine, 13) Bassin rond, 14) Pigeonnier, 15) Labyrinthe, 16) Bassin des étoiles, 17) Roseraie, 18) Serre des palmiers & parterre de la serre des palmiers, 19) Pavillon du cadran solaire, 20) Jardin botanique et ancienne serre aux palmiers, 21) Jardin japonais, 22) Zoo et pavillon de l'empereur, 23) Maison tyrolienne et Jardin tyrolien, 26) Petite gloriette, 27) Bain de Schönbrunn (piscine publique), 28) Métairie
Un circuit art nouveau dit écession à l'ouest de Schönbrunn :
Le circuit Jugenstil art nouveau en Autriche
Bientôt un peu plus d'informations sur les circuits art nouveau (Jugenstil) à Vienne et sa région.