:
Présentation de l'artiste et de quelques-unes de ses promenades, de ses visites, de ses œuvres : dessins, aquarelles, lavis à l'encre et photographies
Du magnifique art déco dans le Xème arrondissement de Paris
La galerie du Palais du Commerce est située au 105, rue du Faubourg du Temple dans le 10ème arrondissement.
Le Palais du Commerce est une construction en béton armé sur deux niveaux abritant des galeries ouvertes sur des coursives, éclairées par des briques de Verre et une verrière. Une cinquantaine de locaux commerciaux sont répartis au rez-de-chaussée et aux deux étages. Le sous-sol abrite un bal, "La Java"
Le Palais du Commerce est construit en 1923-1924 par l'architecte Ferdinand Bauguil. Il comporte alors une cinquantaine de magasins et d'ateliers ainsi que "La Java", en sous-sol. Aujourd'hui, certains locaux sont abandonnés tandis que d'autres abritent des bureaux. Cependant, La Java existe toujours.
Le Palais du Commerce fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le
Quelques photographie du site le 3 juillet 2020 :
Quelques mots sur le club "La Java" :
Emplacement : 105, rue du Faubourg du Temple, 75010 Paris.
Horaires d’ouvertures : jeudi 00h – 05h, vendredi 00h – 06h, samedi 00H –06h, ouvert de 20h à 23h lors des jours de concert. Jours d’affluence : vendredi et samedi. Genre musical : musique électronique, world music, chanson. Tenue vestimentaire : très libertaire, du harnais en cuir à la chemise hawaïenne en passant par le body retro et le bob, tous les styles sont les bienvenus. Votre politique au niveau des prix :
Entrée : entre 5€ et 10€, rarement davantage.
Bar : 8€ la pinte, 10€ le cocktail (horaires club), 6€ la pinte (horaires concert). Historique : établie dans le sous-sol du Palais du Commerce, La Java est un club emblématique du quartier de Belleville qui a ouvert pour la première fois ses portes en 1923. À ses débuts, la Java était connue pour être un dancing de jazz puis, dans les années 80, elle a accueilli de nombreux concerts de rock’n’roll et soirées afro. Au cours des années 90, la salle a servi durant un certain temps de temple à la salsa. Aujourd’hui, elle présente une programmation éclectique avec une large part consacrée à la musique électronique.
Une visite de Valognes dans le Cotentin : 19 et 20 juin 2020
"Le petit Versailles normand"
Une ville d'architecture !
L'ancien séminaire -Lycée Henri Cornat
Le séminaire de Valognes fur édifié à partir de 1654 à l'emplacement de l'ancien manoir des évêques de Coutances. L'édifice sera transformé en collège avant de devenir Lycée d'Etat en 1969.
Deux jours de visite à Valognes et son patrimoine bâti : 19 et 20 juin 2020
Ville d'Art et d'Histoire, Valognes, surnommée le "Petit Versailles Normand", compte de nombreux hôtels particuliers. Le plus connu, l'hôtel de Beaumont, monument historique datant du XVIIIe siècle, est ouvert au public. Pièces au mobilier d'époque, escalier monumental à double révolution et jardins à la française se dévoilent au fil de la visite.
A proximité, un musée régional du Cidre, situé dans la Maison du Grand Quartier, présente une collection d'ustensiles liés à l'activité cidricole.
Au musée de l'Eau-de-Vie et des Vieux Métiers, qui se trouve dans l'hôtel de Thieuville, les visiteurs pourront découvrir les méthodes de fabrication du calvados au travers d'une exposition de machines et d'outils, ainsi que des espaces dédiés aux costumes et métiers d'antan.
Une promenade dans les rues de Valognes, et plus particulièrement dans les rues de Poterie et des Religieuses, permet de partir à la découverte du magnifique patrimoine bâti de la ville.
Valognes au fil des siècles :
Alauna la romaine :
Ancienne cité gauloise de la tribu des Unelles, Valognes devient au 1er siècle de notre ère une
agglomération romaine. Cette ville nommée Alauna possédait d'imports édifices civils dont subsistent aujourd'hui les imposantes ruines des thermes et l'emplacement d'un théâtre de plus de 3000 places.
Des ducs aux rois :
Après les invasions scandinaves des IXème et Xème siècles, Valognes entre dans l'apanage des ducs de Normandie. La ville se concentre désormais autour du manoir ducal et de l'église paroissiale, établis en bordure de la rivière du Merderet.
Au XIIème siècle, Valognes reste un lieu de pouvoir important, relais fréquent des ducs lors de leurs déplacements entre la Normandie et l'Angleterre, via le port de Barfleur.
Les bords de la rivière du Merderet
Le temps des guerres...
Lors de la guerre de Cent ans, Valognes et le clos du Cotentin entrent en possession de Charles le Mauvais, roi de Navarre. Ce dernier fortifie l'ancien manoir ducal et y établit ses garnisons.
La forteresse fait l'objet de conflits incessants, tandis que la peste et les famines ravagent les campagnes.
... et de prospérité :
La ville offerte à Jeanne de France, fille du roi Louis XI, connait un net essor à compter de la seconde moitié du XVème siècle. Tandis que le château et l'église paroissiale sont partiellement reconstruits, qu'un hôtel-Dieu et un couvent de moines cordeliers sont fondés, l'artisanat du cuir et du drap se développe et les premiers hôtels particuliers apparaissent. Ce mouvement se prolonge tout au long du siècle suivant, faisant de Valognes une petite capitale économique et administrative.
Les heures fastes de l'aristocratie :
Victime des taxes royales et de lourdes impositions, l'artisanat valognais tendra à perdre de sa vigueur dans la seconde moitié du XVIIème siècle. Cette crise économique est toutefois oubliée grâce à un phénomène sans précédent de multiplication des hôtels particuliers, édifiées par une aristocratie urbaine de plus en plus nombreuse.
Modernité :
La Révolution française entraine la confiscation des biens d'église et de la fin des privilèges
aristocratiques.
L"arrivée du train, en 1858, permet le développement des activités industrielles et commerciales, liées notamment à la production laitière et à l'extraction de la pierre. Cette période est également marquée sur le plan culturel par d'importantes personnalités, tel l'écrivain Jules Barbey d'Aurevilly, le peintre Félix Buhot, l'historien Léopold Delisle, le théoricien et homme politique Alexisis de Tocqueville.
Jules Barbey d'Aurevilly
Reconstruire :
L'évènement majeur du XXème siècle demeure le traumatisme provoqué par les bombardements américains de juin 1944 qui anéantissent une grande partie de la ville.
Aujourd'hui :
Dotée en 1992 du label "Ville d'Art et d'Histoire", membre désormais avec Bricquebec-en-Cotentin et Saint-Sauveur-le-Vicomte du "Pays d'Art et d'Histoire du Clos du Cotentin", Valognes s'attache à mettre en valeur son patrimoine et s"efforce de faire partager les richesses architecturales léguées par 2000 ans d'histoire.
Le nom de Valognes :
Le nom de la localité est attesté sous les formes Manuine (cacographie probable pour *Wanuine ou *Waluine) en 996 - 1008 (copie XVIIe siècle), Valongias en 1027 (copie XVIIe siècle), in Valoniis en 1056 - 1066 (copie XIIIe siècle), de Valoniis en 1063 - 1066 (copie XIIIe siècle), de Valonis en 1146, Valuignes/Valoignes et Valuinnes vers 1175, puis Waluine, Valongias et Valungia au XVIIe siècle.
Selon la majorité des toponymistes, il s'agit d'un type toponymique celtique (gaulois) dont le caractère exact pose un certain nombre de problèmes.
François de Beaurepaire rapproche Valognes du nom de la Valouine, jadis Valognes àOsmoy-Saint-Valery (Seine-Maritime, Valoines, Valunnes XIIe siècle), de Valogne (Doubs, Valoines 1316) et de Valogne à Sommant (Saône-et-Loire), dans lesquels il croit reconnaître Vallonia, la déesse des vallées que Saint-Augustin mentionne dans la Cité de Dieu (IV,8) et dont le culte semble prouvé par diverses inscriptions dans le monde celtique : Vallaunius CIL VII, 126 (Angleterre); Vallauno CIL III 10951 (Autriche); Ocello Vellauno Evans 277, etc.
Les différents circuits de la ville de Valognes
Les circuits de Valognes proposés par l'Office du Tourisme
Le parc des Cordeliers
Sculpture "Le Pommier de l'amitié" 2003 du Matthias Peters
Une œuvre des échanges artistiques par le Jumelage Valognes -Stolberg
L'Hôtel de Beaumont, en travaux lors de notre visite
Le circuit marron
2) Le circuit bleu au départ de l'Office de Tourisme :
Rue des Capucins et ses façades
L'abbaye des Bénédictines Entrée libre le jour de notre visite
Les bords de la rivière des Merderets
À Valognes coule le Merderet et l'un de ses affluents, l'Écoute-s'il-pleut.
Saint-Vaast-la-Hougue : Situé sur la côte est du Nord-Cotentin-Saint-Vaast-la-Hougue abrite un
plaisance.
À environ un kilomètre de la côte, l'île de Tatihou fait partie de la commune. Elle est accessible à pied à marée basse et un bateau amphibie assure une liaison régulière avec le port. Une tour y a été érigée en 1694 par Benjamin de Combes, élève de Vauban.
Au sud, le fort de la Hougue, aussi construit en 1694 par Benjamin de Combes, est une base militaire ouverte une fois par an au public lors des journées du patrimoine. Vue aérienne de la ville et son port de plaisance au premier plan
La commune est traversée par la Saire.
Tout comme les grands chalutiers amarrés au port, les parcs à huîtres visibles à marée basse entre Tatihou et la côte témoignent de la prédominance de l'activité maritime à Saint-Vaast qui est le plus ancien bassin ostréicole de Normandie.
Saint-Vaast-la-Hougue fait partie des villes et villages classés "2 fleurs" au label "Villes et Villages Fleuris".
La commune de Saint-Vaast-la-Hougue a été élue " Village préféré des Français 2019 " lors de l'émission diffusée sur France 3 le .
Le nom de la localité est attesté sous la forme Sancto Vedasto de 1159 à 1189, La Hougue ou Port la Hougue en 1789, Port la Hougue en 1793, Saint-Vaast en 1801, Saint-Vaast-la-Hougue en 1888.
Fleur de Lampaul est un dundée breton dont la construction débuta en . Il appartient
aujourd'hui à Gilles et Sylvie Auger gérants de la société Nordet Croisière et du Chantier Naval Bernard. Fleur de Lampaul effectue des croisières au départ de Saint-Vaast-la-Hougue dans la Manche
Fleur de Lampaul fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le .
Caractéristiques du voilier :
Longueur : 21.50 mètres,
Maître-bau (largeur) : 6.50 mètres,
Tirant d'eau : 2.50 mètres,
Déplacement : 90 tonnes,
Voilures : 260 mètres-carrés.
Propulsion : moteur D.K.6. 120 c
Capacité d'embarquement : 30 personnes.
"Tatihou II", véhicule amphibie qui embarque pour l'île Tatihou
L'île Tatihou vue du port de Saint-Vaast-la-Hougue
L'île Tatihou :
D'une superficie de 29 hectares, l'ïle Tatihou est accessible à pied à certaines marées basses . L'île appartient au Conservatoire du Littoral et n'est pas habitée de manière permanente.
Son patrimoine se compose :
du fort Vauban construit en 1694, après la bataille de la Hougue dont la Tour Vauban(XVIIIe siècle), inscrite avec son homologue sur le site de la Hougue au patrimoine mondial par l'UNESCO depuis 2008. À l'intérieur des fortifications (XIXe siècle) se trouvent aussi une chapelle (fin du XVIIIe siècle), un magasin à poudre (XIXe siècle) et une caserne devenue un restaurant ;
de l'ancien lazaret, construit en 1720, pour éviter la propagation de la peste, qui abrite le musée maritime, un jardin botanique, un atelier de charpente navale et des bâtiments d'hébergement ;
d'une réserve ornithologique, implantée dans la plaine derrière la tour Vauban et dans le fort de l'Ilet et gérée par le Groupe ornithologique normand.
d'une maison des douaniers (1805), au-dessus de l'embarcadère
Le fort Vauban de l'île Tatihou soiurces Wikipédia
Le fort de l'îlet abrite une réserve ornithologique
Un route pour le fort de La Hougue dessiné par Vauban
Entre mer et ciel
Du port de Saint-Vasst-la-Hougue au Fort de la Hougue
Le Fort de la Hougue dessiné par Vauban
La tour du fort
Le chantier naval Bernard :
Quelques voiliers traditionnels et classique restaurés et passés par le chantier naval Bernard :
2000/2001 : « Winibelle » - Cotre de 11m de Marin Marie
2002 : « Acheloos » - Vaquelotte des chantiers Bellot Pierre
2002/2003 : « Reine des Flots » - Vaquelotte de 6m50 classée monument historique
2003 : « Atalante » - Yawl de 11m
2004 : « Dorade » - Plan Cornu de 8.5
2004/2009 : « Tangara » - Plan Cornu de 12.70 (1961)
2004/2006 : « Fleur De Lampaul » - Restauration complète, gabare à voiles de 21.5m (1948)
2006/2008 : « Dranguet II » - Construction d'une Vaquelotte / Construction type REINE DES FLOTS, 6.25m
2006/2010 : « Le Marité » - Restauration complète coque et pont - Terre Neuvier à voile 3 mâts, 47m (1923)
Mars 2009 : « Marie Madeleine » - Cordier 1921 Barfleur - Remplacement étambot
2009/2011 : « Hermione Rochefort » - Réalisation du bordage et calfatage
2010/2011 : « Le Marité » - Réalisation mâts, gréement, timoneries et claires voies
2010/2011 : « André Yvette » - Restauration coque et pont
2012 : « Lady Mone » - Mise en peinture et vernis des bois
2012 : « Guiriden » - Réfection complète du pont et roof
2012 : « Concerto » - Réfection complète coque et pont
La Chapelle des marins de Saint-Vaast-la-Hougue :
La chapelle située à proximité de la côte a été à l'origine l'église paroissiale'. Vers 1730, fut ajouté contre le
chœur du côté Sud, une tour carrée, coiffée d'une modeste flèche.
En 1752, l'église devint trop petite pour accueillir toute la population. C'est alors que le projet d'agrandir la chapelle vu le jour. Cependant, le roi n'approuva pas le projet.
Ce n'est que quelques années plus tard, en 1805, que le curé (M. Levéel), réalisa ce travail. Il y ajouta une nef latérale, une chapelle côté Nord et fit construire une sacristie. Le cimetière marin qui entourait l’ancienne église a été reconstitué avec les pierres tombales de la paroisse de Rideauville rattachée à la commune de Saint-Vaast-la-Hougue sous la Révolution.
Ce chœur aurait pu être rasé également en 1864, mais il fut conservé ; il ne reste plus du cimetière que quelques tombes quasiment illisibles sur le pourtour immédiat de la chapelle.
Le port et sa flotte de voiliers et de bateaux de pêcheurs
Un séjour à Barfleur, du 18 au 20 juin 2020
Quelques détails du secteur du port de Barfleur
Le port de Barfleur vu de la jetée
La maison où venait le peintre Paul Signac de 1932 à 1935 près de l'église
Les bâtiments abritant notre gîte, le soir Un ancien restaurant réaménagé en gîtes
Cet ensemble agréable était le lieu d'un ancien restaurant
La poste de Barfleur
L'ancienne gare, disparue
L'ancienne gare de Barfleur et le train au départ pour Valognes 1886-1950
Elle fut mise en service en 1886 par la Compagnie de chemins de fer départementaux CFD et fermée en 1960. Son ancien bâtiment voyageurs était situé place du Général-de-Gaulle.
Rocher avec un médaillon en l'honneur d’Étienne, esturma barfleurais de la Mora, bateau de Guillaume le Conquérant. La figure de proue représente un enfant doré soufflant dans une corne d'ivoire.
La "Mora", le bateau de Guillaume le Conquérant aurait pu être construit dans un chantier naval de Barfleur.
La Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours ou Chapelle des marins
La Chapelle des marins construite au XIe siècle, époque dont il subsiste des traces de peintures murales, elle évite le vandalisme révolutionnaire de 1789 grâce à la protection des marins du village. Le conseil municipal envisage en 1886 de la démolir au profit de la construction d'une nouvelle école, mais retire son projet face à l'opposition des habitants.
L'édifice abrite une stèle commémorant le naufrage du trois-mâts américain La Luna en 1860, terrible catastrophe maritime civile survenue au large des côtes du Cotentin qui fera une centaine de victimes.
Et aussi ... la pointe de Barfleur et le phare de Gatteville :
La pointe de Barfleur est un cap de France qui constitue l'extrémité nord-est du Cotentin , dans le département de la Manche. Il est baigné par la Manche et comporte à son extrémité le phare de Gatteville. Il tire son nom du village de Barfleur,situé au sud mais est situé sur la commune de Gatteville-le-Phare . La pointe marque la limite nord-ouest de la baie de Seine.
(1) La Blanche-Nef est un navire normand qui fit naufrage à Barfleur au large du Cotentin, le 25 novembre 1120 avec pas moins de 140 hauts barons et dix-huit dames de haute naissance, filles, sœurs, nièces ou épouses de rois et de comtes à son bord, parmi lesquels l’héritier du trône d'Angleterre, le prince Guillaume Adelin, fils du roi Henri 1er Beauclerc
La pointe de Barfleur se situe exactement aux antipodes des îles des Antipodes
Le deuxième phare d'Europe par sa hauteur : 74.85 mètres de haut, 11.000 blocs de granite. Poids total des blogs de granite : 7400 tonnes. 365 marches.
Le parc de Bagatelle, situé au cœur du Bois de Boulogne, est l’un des quatre pôles du jardin botanique de la Ville de Paris. Créés en 1775, le parc et son château ont été construits en 64 jours à la suite d’un pari entre la reine Marie-Antoinette et son beau-frère le Comte d’Artois. Le parc de Bagatelle est un lieu de promenade et de détente. En plus des arbres gigantesques et d’une flore variée, les petits ponts, les rochers, les grottes, les miroirs d’eau et les cascades artificielles ajoutent du charme et du romantisme au lieu. La pagode chinoise du XIXe siècle fait partie des curiosités du parc. Le visiteur admire surtout une magnifique roseraie de 10 000 rosiers issus de 1 200 espèces différentes. Le parc accueille régulièrement expositions et événements, et organise des concerts de musique classique en été.
Le Mur des "Je t'aime" square Jehant-Risctus près de la place des Abbessses
Une œuvre de 40 mètres-carrés des artistes Claire Kito et Frédéric Baron : 612 carreaux de lave émaillée comportant 311 "Je t'aime" en 250 langues différentes.
Daniel Boulogne, grand spécialiste des murs peints et constructeur d'art, a réalisé l'assemblage et la construction de l'œuvre, inaugurée à l'automne 2000.