:
Présentation de l'artiste et de quelques-unes de ses promenades, de ses visites, de ses œuvres : dessins, aquarelles, lavis à l'encre et photographies
Théâtres de nombreux événements bibliques, le Terre sainte accueille aujourd'hui les pèlerins sur les traces des prophètes.
Ses sites sacrés, reconnus par chacune des trois religions monothéistes et vénérés depuis Abraham, toucherons même les athées, tant l'histoire qui s'y inscrit est forte.
Notre circuit du lac de Tibériade à Jéricho en passant par Jérusalem
Le lac de Tibériade et sa région :
Les environs du lac de Tibériade
La Galilée et les environs de Nazareth :
Paysage de la Galilée aux alentours de Nazareth
Nazareth :
C'est dans ce lieu que Jésus passe les 30 premières années de sa vie
La basilique Notre-Dame de l'Annonciation à Nazareth :
La façade de la basilique N.D. de l'Annonciation
La basilique Notre-Dame de l'Annonciation
Plan de la ville de Nazareth et ses sites
Le lac de Tibériade :
Les bords du lac de Tibériade
L'église de la Primauté ou du Primat de Pierre, au bord du lac de Tibériade
Capharnaum :
Le village où vécu Jésus.
C'est dans ce lieu que chassé de Nazareth, il trouve refuge chez Pierre.
Le nouveau testament raconte que c'est dans ce village lacustre prospère de Capharnaum (1500 habitants), situé sur la route impériale de Tibériade à Damas, que Jésus habitait pendant la période la plus influente de son ministère galiléen (Matthieu IV, 13, Marc II, I, Jean VI, 59). Il est mentionné 16 fois : c'est là que Jésus aurait prêché à la synagogue (Marc I, 21) guéri les malades, notamment la belle-mère de Pierre (Marc I, 29-31) et le serviteur du centurion (Luc VII, 1-10) et , recruté ses premiers disciples, les pêcheurs locaux Pierre, André, Jacques, Jean, et Matthieu, le collecteur d'impôts.
Capharnaum est situé à 16 kilomètres au nord-est de Tibériade et à 3 kilomètres au nord-est de Tabgha.
Le site de Capharnaum et les restes de la maison de Pierre, au centre
Les restes de la maison de Saint-Pierre à Capharnaum
Tabgha :
La Bible décrit la multiplication miraculeuse par Jésus de 5 miches de pain et de 2 poissons pour nourrir une assemblée de 5000 fidèles. Ce miracle aurait eu lieu à Tabgha, magnifique langue de terre sur les rives de la Galilée.
La tradition chrétienne a fixé ici trois évènements évangéliques importants :
.le Sermon sur la Montagne,
. la Multiplication des pains et des poissons,
. l'Apparition du Christ ressuscité. C'est à ce moment que le Christ confie à Pierre la garde de son troupeau.
Le nom de Tabgah est une contraction du mot grec Heptapégon, les sept sources.
L'église de la Multiplications des Pains
Où se situe Tabgha autour du lac de Tibériade ?
Les magnifiques mosaïques de l'église de Tabgha
Documentation locale Tabgah
Documentation locale Tabgah
Jérusalem et sa vieille ville
Le plan de Jérusalem Sources Tourisme de la ville
1. Via Dolorasa à Jérusalem : Traversant la vieille ville de Jérusalem, "le chemin des douleurs" constitue un voyage fascinant et spirituel passant par les 14 sites bibliques associés au chemin de croix de Jésus.
Reconstitution du Temple et son Sancta Sanctorum comportant l'Arche d'Alliance
La relique a été perdue depuis 2500 ans
Nul ne sait ce qu'est devenu l'Arche depuis la destruction du Temple
Le mur des Lamentations à Jérusalem, également appelé Mur occidental, ou HaKotel en hébreu, est un vestige du second temple de Jésusalem tel qu'il a été reconstruit et embelli par Hérode à partir du Ier siècle avant J.-C. Le temple fut cependant détruit en 70 après J.-C., lors de la guerre judéo-romaine. Le pan toujours visible aujourd'hui constitue la partie inférieure du mur de soutènement de l'esplanade qu'Hérode avait fait agrandir lors des travaux.
L'église ou la basilique du Saint-Sépulcre est située dans le quartier chrétien de Jérusalem
Plan du quartier chrétien dans la Vieille ville de Jérusalem
Quelques images de la basilique ou l'église du Saint-Sépulcre
La basilique du Saint-Sépulcre : pla
L’église du Saint-Sépulcre ou basilique du Saint-Sépulcre, également appelée basilique de la Résurrection(en grec : Ναός της Αναστάσεως, Naós tis Anastáseos ; en géorgien : აღდგომის ტაძარი, Agdgomis Tadzari ; en arabe : كنيسة القيامة (Kanīsat al-Qiyāmah?) ; en arménien : Սուրբ Յարութեան տաճար, Sourp Haroutyan Tadjar) ou Agia Anastasis (« Sainte Résurrection ») par les chrétiens d'Orient , est une église chrétienne située dans le quartier chrétien de la Vieille ville de Jérusalem. Cette basilique est vénérée par une grande partie des chrétiens qui y vont en pèlerinage depuis le IVe siècle, dépassant au début du XXIe siècle le million de pèlerins par an sur les 1,9 million de visiteurs qu'accueille. Il s’agit d'un sanctuaire englobant selon la tradition le lieu de la basilique du Saint-Sépulcre ou tombeau de Jésus ). Par inférence, c'est là qu'aurait eu lieu la résurrection du Christ (Anastasis en grec, « Résurrection »).
Enjeu symbolique fort, l'église accueille les cultes de plusieurs confessions chrétiennes différentes. Toutes ces communautés y sont protégées par le statu quo sur les lieux saints. Elle est également un des sièges du patriarcat arménien et orthodoxe de Jérusalem.
Sources Carnet de voyage dessin aquarelle à Israël La basilique du Saint-Sépulcre à Jérusalem
Le Mur des Lamentations ou le Mur occidental :
Le Mur des Lamentations, appelé aussi le Mur occidental (en hébreu הכותל המערבי, translit : HaKotel HaMa'aravi) ou le Kotel (« le Mur »), et en arabe : al-Ḥā’iṭu ’l-Burāq الْحَائِطُ ٱلْبُرَاق), est une partie dumur de soutènement de l'esplanade du Temple de Jérusalem, situé dans le quartier juif de la vieille ville de Jérusalem , datant du1er siècle,, durant l'achèvement de la construction du Temple d'Hérode.
Intégré au VIIème siècle aux murs d'enceinte de l'Esplanade des Mosquées, lors de la construction du Dôme du Roche puis de la mosquée al-Aqsa , il est révéré par une partie des Juifs comme mur du Mont du Temple et pour sa proximité avec le Saint des Saints du Temple d'Hérode ; de ce fait, ils le considèrent comme l'endroit le plus saint pour la prière.
Le Mur occidental est également devenu un symbole national israélien ; des cérémonies civiles s'y déroulent, notamment lors du Jour du souvenir.
Le Dôme du Rocher : Imposant spectacle, le dôme du Rocher est le joyau doré de Jérusalem et le troisième site le plus sacré du monde musulman. Il contient le rocher depuis lequel Mahomet s'envola vers le paradis pendant son célèbre voyage nocturne.
Pour les juifs, le site représente le centre du monde.
Le Dôme du Rocher vu du Mont des Oliviers
Les arcades de Jérusalem
Imges du Mur des Lamentations le 17 novembre 2019
Carnet de voyage à Jérusalem
Le Mont des Oliviers
Le Mont des Oliviers : les pèlerins qui se rendent sur le Mont des Oliviers peuvent y visiter des églises aux toits dorés érigés sur des sites sacrés pour les chrétiens, et un vaste cimetière dont les âmes attendent le Jugement dernier.
Quelques images du quartier arabe de Jérusalem, le soir :
Combien de chats comptez-vous ?
Le Tombeau du Roi David :
Où se situe le tombeau du Roi David ?
Le Monastère de la Dormition :
C'est sur le site que se serait "endormie" la Vierge Marie
L'abbaye de la Dormition proche de la Porte Zion ou Sion
L'abbaye de la Dormition :
La tradition locale, moins par convenance théologique que par volonté délibérée d'enrichir toujours davantage un site prestigieux, tient cet endroit pour l'emplacement de la « chambre haute » où les disciples se réunirent après l'Ascension. Une église de Sion y est attestée dès le IVe siècle. À partir du Ve siècle, d'autres traditions locales y fixent la dernière Cène, la maison de l'évangéliste Jean-Marc et de sa mère Marie, puis celle de Jacques, frère du Seigneur d'où le remplacement de l'église par une basilique à cinq nefs. Une tradition apparue au VIIe siècle (probable confusion avec la tradition de la maison de l'évangéliste Jean-Marc et de sa mère Marie, fait de ce lieu, au voisinage du Cénacle, l'endroit où Marie, la mère de Jésus , serait entrée dans le sommeil éternel, ce que l'on appelle la Dormition. De là vient le nom du monastère ; l'église elle-même porte le nom de basilique de l'Assomption (ou de la Dormition).
Images de Jérusalem
Jéricho : en arabe : أريحا Rīḥa ou Arīḥā ; en hébreu : יריחו Yerīḥo en araméen : אריחא ('ᵊrīḥā),
La ville de Jéricho est plus ancienne ville du monde située en Cisjordanie. Cette ville est décrite dans la bible comme le lieu de la tentation du Christ par le démon et de son baptême par Jean-le-Baptiste.
Tous les jours, Les fidèles viennent se baptiser dans le Jourdain.
Jéricho est aussi la ville la plus basse du monde avec une altitude proche de -240 m.
Notre hôtel à Jérusalem :
New Capitol Hotel
Jerusalem, 17 Salah Eddin Str.Tél. : 009722-628-2561
Les sept collines de la ville d'Amman ont fait place à une vingtaine d'autres et comme par magie, la ville s'est
développé.
Amman est une ancienne ville habitée en permanence dans le monde, façonnée par une succession de civilisations.
La plupart des visiteurs de la capitale ne voient que la partie moderne, mais un aspect enchanteur de la ville est de se promener dans un quartier commerçant animé et de trouver par hasard une église byzanttine en ruine ou de contempler les ruines d'une forteresse ammonite des fen^tres de son hôtel.
Comme ses collines, Jabal, la fortune d'Amman a augmenté, diminué, et ressuscité.
Où se situe Amman en Jordanie ?
Amman (en arabe : عمان, ʿammān) \ʕamːaːn\ est la capitale de la Jordanie depuis 1921.
À l'époque romaine, elle est appelée Philadelphia et apparaît dans la Bible sous le nom de Rhabbat Ammon.
Elle est d'ailleurs l'une des plus vieilles villes du monde à être toujours habitée. Avec plus de 4 millions d'habitants en 2016, elle est la plus grande ville de Jordanie, constituant le centre administratif et économique du pays.
Un peu d'histoire d'Amman :
À travers l'histoire, Amman a abrité plusieurs civilisations. Au XIIIe siècle av. J.-C., Amman avait pour , suivis par les Perses puis les Grecs, Ptolémée II Philadephe le dirigeant hellène d'Égypte, la renomma Philadelphia. La ville fit partie du royaume nabatéen jusqu'en 106 apr. J.-C., où Philadelphia rentra sous la domination de l'Empire romain.
En 324 apr. J.-C., le Christianisme devient la religion de l'Empire et Philadelphia le siège d'un évêché pendant le début de l'ère byzantine. Une des églises de cette période peut d'ailleurs être visitée à la citadelle.
Philadelphia fut renommée Amman pendant l'ère ghassanide , et fleurit sous les Umayyades (capitale : Damas ) et les Abbassides (capitale : Bagdad ). Amman fut détruite par plusieurs tremblements de terre et catastrophes naturelles, et resta un petit village et un tas de ruines jusqu'à l'arrivée des Circassiens en 1887. Les Circassiens, qui sont majoritairement musulmans, ont quitté le Caucase à cause de son annexion par les Russes pendant les règnes des tsars Nicolas 1er et Alexandre II. Ils se sont réfugiés dans l'Empire ottoman. Une partie d’entre eux s’installa en Jordanie.
En 1921 Aballah 1er, choisit Amman comme capitale de son État nouvellement créé, l'émirat de Transjordanie, devenu plus tard le royaume hachémite de Jordanie. Amman resta une petite ville jusqu'en 1948, quand la population augmenta considérablement à cause de l'afflux de réfugiés palestiniens venant de ce qui est aujourd'hui Israël,, Amman se développa rapidement à partir de 1952 sous le règne de deux rois hachémites, Hussein et Abdallah II.
La population de la ville continue d'augmenter à un rythme irrégulier, au fil des différentes immigrations de populations fuyant les guerres ou les territoires occupés (Palestiniens, Syriens, Irakiens, Koweïtiens).
Ajloun est un lieu remarquable et démontre clairement les liens qui existent entre la terre, le peuple et les cultures qui ont créé son histoire.
Situé dans les montagnes à 70 kilomètres au nord-est d'Amman, Ajloun est une évasion verte. C'est un carrefour où plusieurs cultures se sont rencontrées.
Cette région est habitée depuis le néolithique. Bien qu'Ajloun ne faisait pas partie de la Décapole, elle a bénéficié de sa proximité avec plusieurs villes appartenant à cette dernière.
Le neveu de Saladin avait construit un château dans les années 1180 pour protéger les mines de fer des croisés.
Le château Ar-Rabad a servi de base à Saladin, quand il a expulsé les croisés de la Jordanie.
Situé sur le sommet du mont Auf à 1200 mètres d'altitude, le château avait à l'origine quatre tours protégées par un fossé d'environ 16 mètres de large.
Sa position dominante permet de voir le Wadi Kufranjah, le Wadi Rajeb et le Wadi Al-Yabes, ainsi que la vallée du Jourdain et le lac de Tibériade.
Amman le soir :
Amman, le soir Vue panoramique depuis notre restaurant, le dernier soir
Visite du château-fort des croisés de Karac ou Kerak de Moab :
Al-Karak écrit aussi Karak ou Kerak est une ville de Jordanie située à quelques kilomètres à l'est de la Mer Morte et sur le territoire de laquelle a été édifié un célèbre château fort croisé au XIIe siècle, le Kerak de Moab. Il s'agit de la capitale du gouvernorat de Karak.
Visite du château-fort des croisés à Al-Karac ou Karac
Où se situe Al-Karac ou Karac ?
La ville de Karac, ou Al-Karac, d'où est originaire notre guide Amer
Les Souverains de la Jordanie :
Quelques dates clés de la Jordanie et son royaume :
Une chronologie pour mieux comprendre l’histoire du royaume, de l’arrivée des Nabatéens à la signature du traité de paix avec Israël.
XIIIe siècle av. J.-C. : Trois royaumes se constituent sur le territoire : Ammon, Moab et Edom.
VIe siècle av. J.-C. : Venus d’Arabie, les Nabatéens envahissent le royaume d’Edom. Ces nomades s’y sédentarisent et y installent leur capitale : la fameuse Pétra.
IVe siècle av. J.-C. : Le Macédonien Alexandre-le-Grand commence sa conquête du Moyen-Orient. Des colons grecs et macédoniens érigent dix villes dans le nord de la Jordanie, dont Gadara, Gerasa et Philadelphia (future Amman). Ces cités se regroupent en une ligue, la Décapole.
– 64 : La Décapole est placée sous protectorat romain, car l’Empire vient de soumettre la Syrie et la Palestine, qui comprend alors l’actuelle Jordanie.
106 : Les Romains annexent le royaume des Nabatéens, qui correspond aujourd’hui au sud de la Syrie, au nord-ouest de l’Arabie saoudite, au sud d’Israël et à la Jordanie.
325 : La Jordanie est intégrée à l’Empire byzantin (ou Empire romain d’Orient). Le pays se christianise.
635 : Les Arabes s’emparent de la Jordanie, puis de Jérusalem en 638. Le Moyen-Orient s'islamise.
1099 : Les croisés prennent Jérusalem. Ils fondent des royaumes francs (ou Etats latins) d’Orient, dont celui de Jérusalem, qui inclut la moitié ouest de la Jordanie.
1187 :Les arabes reconquièrent Jérusalem. Le Moyen-Orient passe aux mains des musulmans puis de l’Empire ottoman, à partir de 1517 et jusqu’en 1917.
1921 : La Palestine (dont la Cisjordanie, à l’ouest du Jourdain) est placée sous mandat britannique. L’administration de la Transjordanie (actuelle Jordanie, à l’est du Jourdain) est confiée à l’émir hachémite Abdallah.
1946 : Le royaume hachémite de Transjordanie devient indépendant le 22 mars.
1948 : En mai, la proclamation de l’Etat d’Israël déclenche l’intervention armée des Etats arabes voisins et la guerre israélo-arabe.
1950 : Suite aux accords d’armistice israélo-arabes de 1949 (la «ligne verte»), la Transjordanie annexe la Cisjordanie et Jérusalem-Est. L’ensemble de ces territoires est rebaptisé royaume hachémite de Jordanie.
1967 :Guerre des six jours. La Jordanie se retrouve amputée de Jérusalem-Est et de la Cisjordanie, occupées par Israël.
1994 : Signature du traité de paix avec Israël, six ans après le désengagement de la Jordanie des négociations sur la Cisjordanie.
La suite de notre séjour en Jordanie et à Israël en novembre 2019.
Etape III
Forum ovale et Cardo maximus au sud de l'ancienne cité de Jerash dite Gerasa
Après Petra, Jerash est la deuxième destination touristique de Jordanie. Jerash est le site de l’antique Gerasa, une ville grecque qui a connue son apogée sous l’occupation romaine, fut abandonnée vers le XII° siècle et est restée dissimulée sous le sable pendant plusieurs siècles avant d'être redécouverte, permettant à ses ruines d’être miraculeusement conservées. Admirablement restaurées, celles-ci font de Jerash le site gréco-romain le plus spectaculaire de Jordanie et un des mieux conservé au monde.
La Porte d'Adrien
L'arc d'Adrien de dimension 25 m × 21,5 m, fut construit à l'entrée sud de la ville à l'occasion de la visite de l'empereur Hadrien en 129. Il fut reconstitué après 1980 par des archéologues jordaniens.
Jerash, ancienne Gerasa, est une des villes romaines la plus conservée au monde.
Elle était l'élément majeur des villes de la Décapole fondée par Pompée en 63 avant J.-C. pour faire tampon entre les Nabatéens du Sud et le royaume d'Hérode au Nord.
Située à seulement 40 kilomètres au nord d'Amman, le visiteur peut imaginer les courses de chars sur le Cardo.
Le champs de courses et ses tribunes
L'étonnante place ovale du site
Quelques vues de la place ovale
La Porte sud
Le théâtre Nord et sa localisation
Le Cardo ett son axe vers la place ovale
A deux pas du site archéologique, le souk est traversé par le visiteur lors de la visite du site archéologique.
A proximité du temple d’Artémis se trouve un ensemble de trois églises qui datent du VI° siècle mais dont il ne reste que les fondations : il s’agit de Saint-Côme et Damien, Saint Jean-Baptiste et Saint-Georges. L’église de Saint-Côme et Damien possède au sol de très belles mosaïques (médaillons d’animaux). Plus bas, on aperçoit les ruines de l’église Saint-Théodore (qui date de 494) qui est reliée à la cour de la Cathédrale (à peine identifiable) par deux escaliers.
Carnet de voyage à Jerash
Merci à notre guide Amer et notre chauffeur de car Mahomet !
Voir aussi autres articles du blog en Jordanie Israël en novembre 2019 :
La suite et étape VI de notre voyage en Jordanie :
Circuit Approfondir,
au fil du temps de Pétra à Jérusalem
****
Le site de Petra
capitale des Nabatéens
Le circuit de notre séjour en Jordanie et l'étape VI : le site de Petra
Le grand circuit du site de Petra de la Porte d'entrée à Ad-Deir (dit le Monastère)
(Chemin difficile et caillouteux du restaurant Basin à Ad-Deir); chaussures de randonnée conseillées
Le Sik
une gorge étroite qui conduit
au trésor
ou Al Khazna
La montée vers Ad-Deir Le Monastère
Carnet de voyage à Petra en Jordanie
Les tombes royales plan A : le Khasnè en bas et à droite
La tombe des Obélisques
Dans la pénombre du Siq, la brusque apparition du Khasnè provoque une émotion inoubliable
Le Monastère Ad-Deir
Ad-Deir :
Ad Deir ou le Monastère, est l'un des plus grands monuments de Petra. Il mesure 47 mètres de large pour 48.3 mètres de haut. Le trésor, quant à lui, mesure 40 mètres de haut.
L'intérieur, non visitable est occupé pae deux bancs adossé au mur. Cet espace a été utilisé comme un bicinium pour lles réunions des associations culturelles. Le monastère remonte au début du IIème siècle après J.-C. sous le règne du roi Rabel II. La salle a été réutilisée plus tard comme une chapelle chrétienne et des croix ont été sculptées dans le mur arrière, d'où l'origine de son nom.
Pétra (de πέτρα petra, « rocher » en grec ancien ; البتراءAl-Butrāʾ en arabe ), de son nom sémitique Reqem ou Raqmu (« la Bariolée »), est une cité nabatéene située au sud de l'actuelle Jordanie.
C'est le pôle touristique majeur de ce pays.
Créée dans l'Antiquité vers la fin du VIIIème siècle av. J.-C. par les Edomites, elle est ensuite occupée vers le VIème siècle av. J.-C. par les Nabatéens qui la font prospérer grâce à sa position sur la route des caravanes transportant l'encens, les épiceset d'autres produits précieux entre l'Arabie du Sud, l'Egypte, la Syrie et la Méditerranée. Vers le VIIIème siècle, la modification des routes commerciales et des séismes entraîneront l'abandon progressif de la ville. Pétra a abrité à son apogée jusqu'à 25 000 habitants. Tombé dans l'oubli à l'époque moderne, le site est redécouvert en 1812 par le monde occidental grâce à l'explorateur suisse Jean-
Louis Burckhardt. (voir gravure à droite)
Les nombreux bâtiments, dont les façades monumentales ont été directement taillées dans la roche, en font un ensemble unique qui est inscrit, depuis le 6 décembre 1985, sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO La zone autour du site est en outre, depuis 1993, un parc national archéologique. L'érosion ,les pluies et le tourisme, en progression constante depuis la fin du XXème siècle, sont cependant une menace pour la préservation du site et des actions sont entreprises pour enrayer la destruction des monuments.
Les communautés locales bédouines,, les Bedul, sont intégrées de manière participative à la préservation du site de Pétra et à l'économie du tourisme. Mais, victime de l'instabilité politique de cette région du monde, le site connaît, au cours de certaines années, une baisse de la fréquentation touristique qui entraîne une perte de revenus pour les communautés locales qui vivent du commerce touristique.
Documentation spécifiques Petra : "Une des sept merveilles du Monde, Guide archéologique Hiatore, civilisation et monuments", Fabio Bourbon. Distributeur en Jordanie : Redwan Bookshop
Merci à notre guide Amer et à notre chauffeur Mahomet.
Un article sur un voyage en Jordanie et à Israël en novembre 2019
Jordanie, Israël et Cis-Jordanie, témoins de la longue tradition biblique, dont la riche histoire est à l'origine de l'étonnant parcours de l'Humanité.
Un voyage au fil du temps, passé et présent, afin de découvrir les plus beaux sites, de Pétra à Jérash et de Jérusalem au lac Tibériade.
Etape VII
Le Wadi Rum ***
Escale chez les bédouins du sud jordanien à Wadi Rum, dans le désert.
Une de deux arches de la vallée du Wadi Rum
Sculpture de Lawrence d'Arabie taillée dans la roche
Le grès rose forme des portraits imaginaires...
Sur les traces de Lawrence d'Arabie
Thomas Edward Lawrence, dit Lawrence d’Arabie, né à Tremadoc, Caernarfonshire, dans le nord du Pays de Galles, le 16 août 1888 et décédé près de Wareham, Dorset, d'un accident de motocyclette, le 19 mai 1935, fut un officier et écrivain britannique.
Pendant la Première Guerre mondiale, les reportages du journaliste américain Lowell Thomas (1) firent la notoriété de Thomas Edward Lawrence, officier de liaison britannique durant la grande révolte arabe de 1916-1918 contre les turs. Après la guerre, la version abrégée de son témoignage sur cette campagne "Les Sept Piliers de la Sagesse", (2) un des rocher du Wadi Rum, qui en décrit le caractère.
aventureux, fut un succès de librairie. La version intégrale, publiée cinquante ans après sa mort, confirma son talent littéraire.
Davis Lean (3) a réalisé en 1962 le film "Lawrence of Arabie" (4) traduit "Lawrence d'Arabie", avec l'acteur irlandais Peter 0'Toole dans le rôle principal, remportant un immense succès et sept oscars. Image du rocher "Les sept Piliers de la Sagesse" dans le Wadi Rum à droite.
(1) Lien site Wilkipédia Lowell Thomas : Lowell Thomas
L'affiche du film "Lawrence of Arabia" sortie en 1962
(5) Lien Wikipédia acteur Peter O'Toole :Peter O'Toole
Lawrence d'Arabie : pendant la Première Guerre mondiale, le lieutenant britannique Thomas Edward Lawrence reçoit l'ordre de soutenir les Arabes dans leur lutte contre les Turcs, alliés des Allemands. Le britannique réussit à gagner la sympathie des Arabes et en particulier du Prince Feisal.
Une amitié particulière prend naissance entre les deux chefs volontaires.
Thomas Edward Laurence
photographie et portrait
d'époque
Sources site Wikipédia
Notre campement chez les bédouins à Rum Magic Camp :
Où se situe le campement des bédouins ?
Sources de la carte : Christelle
Quelques images de la population bédouine locale :
Quelques images des animaux et leurs bédouins rencontrés sur notre route :
Les dromadaire du désert
Dans le désert, le soir, au coucher du soleil
Quelques informations : température en journée dans le désert le 21 novembre 2019, 18 à 20 °C, la nuit à partir de 17 heures, 4 à 5°C.
Circuit assez facile avec une majorité en véhicule 4 x 4, quelques haltes de marche facile, toujours des paysages grandioses !
Le Wadi Rum ou Wadi Ramm (en arabe : وادي رم) est un paysage désertique comportant des canyons, des
arches naturelles (voir image à droite), des falaises et des grottes, situé au sud de l'Arabah en Jordanie. Il a été inscrit au Patrimoine mondial en 2011 en tant que bien mixte naturel et culturel.
Le site est aussi appelé Iram dans les textes nabatéen.
Une des arches naturelles du Wadi Rum
Bonne visite !
Activités du désert
Où se situe le Wadi Rum ?
Merci à Amer, notre guide local pour toute la Jordanie et à notre chauffeur Mahomet.
Circuit Nouvelles Frontières : TUI France du 15 au 23 septembre 2019
"Au fil du temps de Pétra à Jérusalem" programme JORCT030
Vieille de plus de 1000 ans, la cité portaise, tournée de tout temps vers la mer, a conservé les traces d’un riche passé historique liée à la pêche. Mais cette activité n'a jamais été l'unique travail des portais. Nombre de traces écrites témoignent d'une activité marchande au cours des siècles : transport de beurre, de pommes, de pierres,...
Au XVIIe siècle, Louis de Harcourt, évêque de Bayeux, comprend l'intérêt du site pour favoriser le commerce de la ville, et fait creuser un premier port sur un domaine de l'Eglise. Mais l'ensemble, trop fragile et mal protégé, ne résiste pas aux tempêtes et à l'ensablement : les bassins sont alors comblés.
Bayeux perd ainsi son ouverture sur la mer, et le commerce décline : tanneries, fabriques de draps et d'étamines n'ont plus de débouché. Seuls quelques bateaux assurent le commerce du beurre et du cidre jusqu'à Rouen.
Au crépuscule du XIXe siècle, l'heure est au charbon ; les sacs de houille vont et viennent des côtes françaises aux côtes anglaises.
A la veille de la seconde guerre mondiale, se croisent encore dans le port les navires chargés de poissons et ceux chargés de charbon...
Aujourd'hui, si les échanges de marchandises par voie maritime ne sont plus à l'ordre du jour à Port-en-Bessin-Huppain, la pêche continue de rythmer la vie socio-économique et de hisser la cité au rang des grands ports de pêche français.
Quelques images de la Grandcopaise et la visite du voilier
La Grandcopaise en chiffres :
Réplique des barques chalutières ayant fréquenté la Baie de Seine durant la période 1880- 1920
L H.T. : 22.68 m L. coque : 14.65 m Mat : 16.36 m Bôme : 11.50 m Pic : 10.50 m Mât de flèche : 9 m
T. air : 21.40 m, T. eau : 2.60 m creux au maître bau : 2.35 m Déplacement : 35 tonnes P. moteur : 90 ch.
Les héros de la 2ème guerre mondiale et du débarquement du 6 juin 1944 en Normandie.
Guy de Montlaur est un peintre français. Résistant pendant la Seconde Guerre mondiale, il débarque en Normandie le 6 juin 1944 avec les commandos du 1ᵉʳ BFMC dits "commandos Kieffer", participe à la bataille de Normandie et débarque à nouveau en Hollande le 1ᵉʳ novembre 1944.
L'église Saint-Samson
construction :
début du XIIème siècle
Les vitraux de l'église Saint-Samson de Ouiistreham
La rue de la Mer
Le centre ville de Ouistréham-Riva-Bella :
L'ancienne poste de Ouistreham
Le magnifique cinéma de Ouistreham
L'Hôtel de Ville
Les activités de la plage de Ouistreham :
Poney-club et piste de karting en bord de la côte
Le Musée du Mur de l'Atlantique : Le grand bunker allemand de Ouistreham :
Obusier M7 Priest
A gauche
Combien d'obus sont-ils passés par cete arme et tués d'humains ?
A remarquer l'orthographe de Ouistreham : Oyestreham et 1857
La plaque perdue lors de travaux de rénovation du canal et retrouvée par M. Daniel Tampier, un habitant de la ville. Elle fut réinstallée le 26 août 2017 à l'occasion des 160 ans de l'inauguration du canal.
Statue d'hommage à Aristide Briand
La maison de vacances d'Aristide Briand à Caen-sur-Mer
Le marché aux poissons sur le port de Ouisttréham
L'intérieur du restaurant Le Channel
Restaurant Le Channel : cuisine familiale,
à conseiller pour la qualité de leur cuisine et leur gentillesse !
Prochain Salon des artistes locaux à la Graineterie :
46ème Salon des artistes locaux
du 29 novembre au 21 décembre 2019
Le vernissage du Salon aura lieu le jeudi 28 novembre 2019 à 19 heures
A cette occasion, plus d'une centaine d'artistes, photographes, peintres, dessinateurs, sculpteurs, plasticiens, métiers d'art... exposent à l'occasion de ce rendez-vous incontournable. Florilège de la création locale, le Salon dévoile chaque année la richesse et le dynamisme d'univers artistiques particulièrement variés.
Des prix et une collection municipale :
Dans une optique de promotion et de valorisation de la création locale, la ville de Houilles décerne chaque année trois récompenses dans le cadre du Salon. Un jury attribue le "Prix de la Ville" à une oeuvre qui encre dans une collection municipale riche de vingt années d'acquisition, tandis que les visiteurs adultes votent pour le "Prix du public" et les plus jeunes pour le "Prix des enfants".