:
Présentation de l'artiste et de quelques-unes de ses promenades, de ses visites, de ses œuvres : dessins, aquarelles, lavis à l'encre et photographies
Le tracé GPS du circuit le 2 novembre 2017 : 7.5 kilomètres 1 H 30 de marche (rapide) 500 photographies
Les "Petites Rivières" :
Les "Petites Rivières", dessinées par le comte de Choulot pour créer le décor pittoresque de la ville-parc du Vésinet, sont la partie visible du réseau hydraulique de 13 kilomètres, alimenté à l'origine par l'eau de la Seine.
Commandé par la Compagnie Pallu, conçu par l'ingénieur Zavier Dufrayer (1811-1879) a qui l'on doit la nouvelle machine de Marly, mis en oeuvre en 1858, le réseau complet du Vésinet comporte aussi 7 kilomètres de canalisation souterraines permettant la "recirculation".
Attention, les oies attaquent !!
Un vol de héron gris
La Villa "Belphégor" Juliette Gréco tourna des séquences dans cet édifice
La promenade d'Unterhaching plan
Canard col vert et poules d'eau
Le temple protestant inauguré en1880 architecte Eugène Rouyé La photographie de droite date de 1900
Villa "La Marguerite" : Alphonse Pallu résida dans cette villa jusqu'à sa mort le 4 novembre 1880.
Alphonse Pallu, (1808-1880) industriel, ami du duc de Morny, demi-frère de Napoléon III, est
le créateur de la ville-parc Le Vésinet. Il fut le premier maire de cette commune (1875 à 1879).
Création d’un lotissement modèle par Alphonse Pallu : Il décide de créer de toutes pièces un lotissement modèle en mariant la ville et la nature. Son idée directrice était de « donner à chaque propriétaire la jouissance d’un parc public, avec son animation, ses vues ravissantes, des eaux, ses prairies, à côté du calme de la vie privée ».
Il manque à ce circuit le lac de la Station, situé à deux pas de la gare RER A "Le Vésinet-Le Pecq", voir l'article "Le circuit des 5 lacs au Vésinet" référencé plus bas.
A voir aussi la villa art nouveau "La Hublotière", en fait "La Villa Berthe" dont les jardins sont ouvert au public l'été et les façades de l'architecte Hector Guimard et son histoire commentés par une conférencière d'une école d'art spécialisée. Lien : https://lahublotiere.com/.
Le circuit illustré des reflets
Le circuit illustré des volatiles
Plan du parc et le parcours du site de la ville et ses coordonnées
L'Hôtel Mezzara a les atouts pour devenir musée ou centre d'art nouveau parisien.
L'Etat vend ses bijoux de famille. Il voudrait se débarraser de ce magnifique hôtel particulier situé au 60, rue Jean de la Fontaine et qui a appartenu à Paul Mezzara, un industriel du textile et fabricant de dentelle, au début du siècle dernier.
Il confia la construction de son hôtel particulier et lieu d'exposition de ses créations à l'architecte Hector Guimard qui lui construisit ce petit bijou de l'art nouveau en 1910-1911.
Une réussite parfaite puisque Hector Guimard dessina l’intégralité de l'édifice : ameublement, éclairage, décoration générale, ferronnerie intérieure et extérieure, vitraux.
Un futur musée ? tout le monde le souhaite, car Paris de possède pas de musée art nouveau
capable de rassembler les œuvres de cette époque fin du 19ème-deuxième décennie du 20ème siècle qui vit de nombreux artistes du monde entier créer leur façon de créer l'art nouveau dans leur pays.
L'Hôtel, devenu cours privé appartint sous forme de don au Ministère de l'Education Nationale, utilisé en tant que foyer de jeunes filles étudiantes, mais il est actuellement dans la gestion de France-Domaine, en négociation de son avenir incertain.
Le Cercle Guimard se bat depuis plusieurs mois pour cela devienne réalité ; créer à Paris un musée art nouveau digne de sa capitale. Bruxelles, Barcelone et même Budapest possède leur musée. Lorsque Guimard décéda en 1942, son épouse et veuve Adeline fit don à l'Etat de l'Hôtel Guimard et son ameublement pour en faire un musée. Il n'y eut pas de suite et le site fut vendu au privé, ses meubles dispersés. L'immeuble est d'ailleurs aujourd’hui dans un mauvais état.
Avec le soutien de :
France Domaine, Ministère de l’Education nationale, Lycée d’état Jean Zay, Mairie de Paris, Mairie du 16ème arrondissement, Archives nationales, Archives de la ville de Paris, Musée et bibliothèque des Arts décoratifs, Musée d’Orsay, Musée de Saint-Dizier, Musée Horta, Réseau Art nouveau Network (Bruxelles), Route européenne de l’Art nouveau (Barcelone), Dartagnans et ses donateurs, Scyna 4.
Venez vous aussi soutenir ce projet passionnant !
Exposition « Hector Guimard, précurseur du design » :
Hôtel Mezzara, 60, rue Jean de La Fontaine, Paris 16ème.
Tous les samedis et dimanches, du 16 septembre jusqu’au 9 décembre, de 10 à 18 heures.
Entrée : 5 euros. (Gratuit lors des Journées Européennes du Patrimoine)
Accès : Métro Jasmin (ligne 9) ou Eglise d’Auteuil (ligne 10) RER C : Station Javel (12 minutes à pieds) Lignes de bus : 52 (arrêt George Sand), 22, 72
Renseignements : 07 69 89 87 69
Différents articles de presse :
PARISCOPE :
TELERAMA "Sortir"
LE PARISIEN :
LE CERCLE GUIMARD :
Exposition
Du 16 septembre jusqu’au 9 décembre 2017
Samedi et dimanche, de 10 à 18 heures Hôtel Mezzara
Au mitan de son parcours professionnel, artiste prolixe et novateur, Hector Guimard décidait, en 1903, de se doter d’un lieu de conception et de fabrication dans tous les domaines des arts décoratifs. Ces locaux, situés avenue Perrichont prolongée, ont permis à cet « architecte d’art » de présenter meubles, luminaires, papiers peints, tapis, couverts de table… autant de créations qu’il entendait diffuser en grand nombre.
Détruits pendant la décennie soixante, ces ateliers reprennent vie dans l’exposition « Hector
Guimard, précurseur du design » à travers une maquette, des documents et des photos anciennes.
Fort de ses récentes recherches, le Cercle Guimarddresse le panorama méconnu des ambitions de cet architecte de la modernité, en puisant également dans les archives léguées en 1948 par Adeline Oppenheim, veuve d’Hector Guimard, à la bibliothèque des Arts décoratifs et dans des collections privées,
Pour donner plus d’ampleur à cet hommage commémoratif, en cette année du cent-cinquantenaire de la naissance d’Hector Guimard, l'exposition est présentée à l'Hôtel Mezzara qui offre l’occasion unique d’admirer une œuvre d’art total de « Style Guimard » (cf. photos ci-dessous), en particulier son grand hall « cathédral »coiffé d’un étonnant vitrail zénithal, et sa salle à manger une des rares pièces toujours meublée et décorée comme à l’origine.
Sources : Cercle Guimard
La maquette de l'Hôtel Mezzara présentée lors de l'exposition
Permanence du 29 octobre 2017, le patio
Beaucoup de blog font écho : le blog d'Hélène par exemple
LE POINT 19 novembre 2017
Un musée pour Hector Guimard
L'exposition qui se tient à l'hôtel Mezzara est un succès. À quand un musée consacré à l'architecte "Art nouveau" qui fête, cette année, ses 150 ans ?
Week-end après week-end, la file d'attente devant l'hôtel Mezzara (1) ne cesse de s'allonger. Et il faut parfois attendre longtemps avant de pouvoir pénétrer dans cette belle bâtisse, édifiée par Hector Guimard en 1911 au cœur du 16e arrondissement de Paris. Le succès rencontré par l'exposition consacrée à ce « précurseur du design » qui se tient dans cet édifice "Art nouveau", jusqu'au 9 décembre prochain, réjouit ses organisateurs. « Nous savions que l'architecte était populaire, mais nous ne nous attendions pas à un tel engouement », confie Nicolas Horiot, vice-président du Cercle Guimard à l'origine de l'événement.
Cette association souhaitait célébrer dignement le 150e anniversaire de la naissance de l'inventeur d'un style reconnaissable entre mille. Mission accomplie. Le Cercle Guimard qui comptait moins de cent membres l'an dernier a plus que doublé le nombre de ses adhérents, depuis l'inauguration de l'exposition mi-septembre.
Le mouvement, créé en 2003 pour promouvoir l'œuvre de Guimard, ambitionne désormais de créer un musée ou, du moins, un lieu où pourraient être organisées rétrospectives et conférences dédiées à l'architecte. Le tout au cœur de l'arrondissement où il a vécu et travaillé. « Ses ateliers étaient situés avenue Perrichont et il avait élu domicile avenue MoZart », souligne Nicolas Horiot, lui-même architecte. Nombreux sont ceux qui aimeraient que l'hôtel Mezzara se transforme ainsi en site culturel. « L'afflux de visiteurs prouve que le projet est viable sur le plan économique et bénéfique pour le territoire en matière touristique », veut croire Olivier Pons, secrétaire de l'association.
Une maison à vendre... 7 millions d'euros
L'édifice appartient depuis 1956 au ministère de l’Éducation nationale. Il abritait jusqu'à l'an dernier un pensionnat pour jeunes filles, scolarisées au lycée Jean-Zay. Or, l'État a décidé de s'en défaire et a chargé France Domaine de trouver un acquéreur. Seul problème : la maison est mise à prix 7 millions d'euros. « Il nous faut trouver un mécène, car les pouvoirs publics que nous avons démarchés nous ont tous dit qu'ils ne pouvaient pas, seuls, réunir les fonds », indique Nicolas Horiot.
Fort du soutien d'amateurs du style Art nouveau, notamment étrangers, et convaincu que l'ampleur du travail de Guimard mérite un tel musée, le bureau de l'association se démène aujourd'hui pour réunir les fonds. « Nous avons toqué à toutes les portes : du ministère de la Culture à la Ville, en passant par la région. Si nous trouvons un généreux bienfaiteur, nous parviendrons à constituer un beau tour de table », énonce Nicolas Horiot qui souligne que le classement du bâtiment en deux temps, en 1975 puis en 1994, oblige l'État.
La grille extérieure comme la porte d'entrée en bois peint ne peuvent être démontées. La façade principale, la galerie intérieure et la verrière de l'entrée créée pour éclairer le show-room où Paul Mezzara exposait ses créations textiles, au rez-de-chaussée, ne peuvent pas, non plus, être remaniées. France Domaine ne pourra donc pas se défaire de cet immeuble auprès du premier marchand de biens venu. « À moins de tomber sur un amoureux fou d'Hector Guimard, l'administration ne pourra pas vendre cette maison », insiste Olivier Pons.
Un mobilier rare
Le Cercle Guimard est d'autant plus désireux de transformer l'hôtel particulier en musée que le salon de cette maison dispose encore d'un mobilier et d'un décor d'époque. « Le plafond de la salle à manger est ainsi orné d'une peinture signée de Charlotte Chauchet-Guilleré, amie de l'architecte », indique Georges Vigne, historien de l'art, spécialiste de la période. « Une rareté », souligne Nicolas Horiot qui relève que les meubles signés Hector Guimard sont aujourd'hui dispersés aux quatre coins de la planète.
Mort en 1942 à New-York où il avait trouvé refuge pour protéger sa femme, Adeline Oppenheim, des persécutions anti-juives, Hector Guimard a traversé une période de relatif oubli dans notre pays. Mais pas aux Etats-Unis où de nombreux collectionneurs ont acquis à prix d'or ce que ses détracteurs appelaient le style « nouille ». Ouvrir un site dédié à sa mémoire réparerait cette injustice.
(1) Exposition ouverte chaque week-end, les samedis et dimanches de 10 heures à 18 heures. 60, rue Jean de La Fontaine, 75016 Paris.
La façade côté rue Jean de la Fontaine de l'hôtel et ses ferroneries typiques de l'époque Guimard
Article du Cercle Guimard, le 21 décembre 2017
Un succès immense pour l’exposition à l’hôtel Mezzara !
Avec plus de 13 000 visiteurs, l’exposition « Hector Guimard, précurseur du design » a rencontré un immense succès ! Merci à toutes et à tous !
Passionné(e)s, curieux, étudiant(e)s, architectes, habitant(e)s du quartier, amis du musée d’Orsay ou du musée des Arts décoratifs… c’est un public d’une grande diversité qui a franchi les portes du 60, rue Jean de La Fontaine, dans le 16e arrondissement à Paris, chaque week-end du 16 septembre au 9 décembre.
Dès l’ouverture, lors des Journées européennes du Patrimoine, un millier de visiteurs se pressaient pour découvrir l’exposition et son écrin, l’hôtel Mezzara, construit en 1910 par la grande figure de l’art nouveau parisien. Très vite, le bouche à oreille a fonctionné, le mouvement était lancé… Dès lors, les files d’attente se sont allongées, rythmant chacun des 11 week-ends. Merci à ces nombreux visiteurs patients, à tous ces amateurs dopés à la curiosité, à tous ceux qui espéraient depuis longtemps admirer le lieu. Dans leur écrasante majorité, ils se sont déclarés ravis de cette découverte : c’est une immense satisfaction pour notre association. Leur soutien, désormais acquis, est précieux pour accompagner le projet d’offrir à l’hôtel Mezzara un rôle à sa mesure.
Le Cercle Guimard envoie un clin d’œil amical et un remerciement sincère aux nombreux journaux, magazines, blogs, sites web ou profils sur les réseaux sociaux qui ont annoncé et soutenu l’événement. L’aventure n’est pas terminée, avec de nouvelles parutions dans la presse, quelques Instagramers encore fervents, et par exemple un reportage sur Arte dans quelques jours. N’hésitez pas à nous retrouver sur Facebook, Twitter ou Instagram, pour en savoir plus.
Enfin, le Cercle Guimard remercie les partenaires et soutiens sans qui le projet n’aurait pas été possible :
France Domaine, Ministère de l’Education nationale, Lycée d’état Jean Zay, Mairie de Paris, Mairie du 16ème arrondissement, Archives nationales, Archives de la ville de Paris, Musée et bibliothèque des Arts décoratifs, Musée d’Orsay, Musée de Saint-Dizier, Musée Horta, Réseau Art nouveau Network (Bruxelles), Route européenne de l’Art nouveau (Barcelone), Dartagnans et ses donateurs, Scyna 4.
Article officiel du Cercle Guimard :
Quel Avenir pour l’hôtel Mezzara ?
4 mai 2020
Sur le site de La Tribune de l’Art, organe d’information spécialisé, dans un article du 24 avril, Bénédicte Bonnet Saint-Georges dresse un historique complet du projet de musée Guimard porté par Le Cercle Guimard et Fabien Choné. Au terme de ce récit, la journaliste questionne le Ministère de la Culture sur le potentiel muséal de l’hôtel Mezzara rappelant précisément la proposition du Cercle. Elle interroge également le Ministère de l’Action et des Comptes publics sur l’appel d’offre – toujours à venir – et ses critères de sélection.
Pour le Cercle et son projet, le soutien de La Tribune de l’Art est un signe fort. Cette enquête ne peut qu’encourager et conforter la communauté des passionnés qui voit dans l’hôtel Mezzara le futur étendard de l’Art nouveau français.
Documentation/Sources/Autres articles du blog sur l’Hôtel Mezzara:
Organisé par l'Association des Beaux-Arts de Sannois
Invités d'Honneur :
Juliette Gallas, peintre,
Daniel Tihay, sculpteur,
Frédéric Senot de la Londe, plasticien,
et un
Regard sur Martine Canillac, sculpteuse
L'artiste a créé son œuvre en démo. durant toute la durée du Salon
Cet article est en cours de rédaction, il sera agrémenté de documentations, de liens, de sites.
Merci aux artistes de le corriger, de le compléter, de le modifier, de donner leur avis.
Quelques vues de l'exposition
Les oeuvres de l'invité valdoisien Frédéric Senot de la Londe, plasticien,
Frédéric Senot de la Londe : peintre plasticien et Invité francilien
Peintre plasticien, fils du peintre Roger Senot de la Londe.
Il fut l'élève de Louis Berthomé Saint-André, qui était voisin d'atelier de son père.
Après des études artistiques à Paris, il quitte la capitale pour Maisons-Laffitte, puis Argentuil où il installe son atelier en 1980.
Il revient à paris en 1992 pour établir à Montmartre aux Artistes dans le 18ème arrondissement et créer son nouvel atelier où il travaille actuellement.
Ses œuvres : Collages couleurs : Paris (N°60), Londres (N°61), Hollywood (N°62), New-York (N°63), Collages noir et blanc : Paris (N°64), New-York (N°65), Los Angeles (N°66), Marvel (N°67), sculptures résines colorées : Taureau noir (N°68), Taureau blanc (N°69), Taureau violet (N°70), Taureau or (N°71)
De magnifiques oeuvres en résine
Les monotypes, oeuvres sur papier de Sandrine Gatignol
Les oeuvres de Gilles Grupe Le poisson blindé Bois/Zinc/Laiton Le poisson bleu en 2ème plan
Les oeuvres de Daniel Tihay, sculpteur et Invité d'Honneur
Daniel Tihay, Invité d'Honneur sculpteur :
Daniel est natif de Bourgogne, au pays des forges de Buffon.
"Au commencement, il y a ... le métal, ma préférence.
J'ai choisi de le façonner, de le modeler, de le transformer...
Je privilégie l'utilisation du métal brut à celle de pièces métalliques déjà formées ou récupérées."
Sources : catalogue de l'exposition 2017
Les sculptures de Laurence Goudeau Terres cuites
Les oeuvres de Nadège et Etienne Frouin commentées par Pascale, conférencière de l'exposition
Les œuvres de Nadège et Etienne se complètent parfaitement.
Des clins d’œil à des artistes :
Nadège ; hommage à Jean Cocteau, mobilier d'artiste voir photographie jointe
Etienne : Hommage à Courbet (N°281), Hommage à Mel Ramos (N°282), Hommage à Manet (N°283). Techniques mixtes, différents matériaux.
Les oeuvres de Juliette Gallas, peintre, Invitée d'Honneur et les explications de notre conférencière
Juliette Gallas, peintre et invité d'Honneur :
"J'ai fréquenté les Beaux-Arts de Lille, des ateliers d'art plastiques divers, puis les Beaux-Art de Saint-Brieux. Ces ateliers m'ont initiée à des techniques variées, et m'ont amenée à travailler de façon professionnelle depuis 2009.
Expositions, Artempo à Toulouse. Salon rempart et chevalets, Saint-Malo, Maison Louis David à Andernos; Art'Dinan. insolites Monde d'Artistes en Côtes d'Armor, Arrou, Art Contemporain en Beauce..."
Mes références : se situent plutôt dans l'abstraction lyrique que dans l'expressionnisme abstrait : Lankoy, Estève, Manessier, Poliakoff, Bissière, Fautrier, Zao Wou Ki, Gérard Schneider... pour citer les plus importants.
Les sculptures de Martine Canillac
Regard sur ... Martine Canillac, sculpteuse :
"Autodidacte, j'ai suivi une carrière d'enseignante en école élémentaire, au cours de laquelle
j'ai toujours eu la volonté de donner une grande place aux pratiques artistiques dans mon
enseignement.
Après avoir "fait faire" par mes élèves, je me suis intéressée pour des raisons personnelles, au travail de la terre, un mode d'expression qui me permet une relation directe avec le matériau.
J'aime son toucher, son élasticité, sa maniabilité.
C'est en affinant les lignes, en épurant les courbes, e, gommant toute expression aux visages, en cherchant un équilibre entre les vides et les pleins que je capte des instants de vie.
La ligne seule, pour moi, devient vectrice de sentiments, traductrice d'émotions.
A ma représentation de la femme, s'est ajouté celle du couple, de l'enfant. Tous en étroite relations émotionnelles.
En opposition à la violence extérieure, je veux que mes sculptures montrent des relations apaisées, d'espoir, de confiance.
Ce sont des sculptures "à caresser" qui jouent et se jouent de la lumière."
Pascale nous commente le travail de Martine, sculpteuse qui a réalisé en démo. son oeuvre sculptée durant le Salon
Une démo. d'aquarelle de notre ami artiste
Les magnifiques sculptures exposées
Cliquez sur l'image pour l'agrandir
Christiane croquant les visteurs du Salon Gilles et Daniel Christiane et Frédéric, invité d'Honneur plasticien
Visite du Salon de Sannois le samedi 14 octobre 2017 .
Merci aux amis de l'ABAS pour leur chaleureux accueil le samedi. A Martine pour toutes les explications données durant sa démo., aux artistes qui ont parlé de leurs œuvres et de leurs techniques.
Merci aussi à Pascale Chauvel pour sa passionnante visite-conférence du Salon d'Automne de Sannois.
Désolé pour les artistes qui ne sont pas mentionnés, mais encore des images en cours d'illustration et de rédaction.
Une redécouverte de la fontaine des Fleuves ou fontaine fluviale, une des deux fontaines monumentale située au centre de la place de la Concorde, lors d'un vernissage de l'exposition "Souterrain - Subterranean" d'Ali Kazma au Jeu de Paume.
La fontaine des fleuve ou fluviale est composée de figures assises représentant le Rhin et le Rhône, des produits des régions arrosées (raisins, blé, fruits, fleurs), des statues de la Navigation fluviale, de l'Agriculture et de l'Industrie.
En voici quelques images réalisées le 16 octobre 2017, la fontaine des Mers ou Maritime n'étant pas en action.
La tour Eiffel en arrière plan
Jeux d'eau de la fontaine
Ou se situe la Fontaine des Fleuves de la place de la Concorde ?
Documentation et sources :
Architecte de la fontaine des Fleuves : Jacques Hittorff : 1836 : début de l'aménagement de la
place de la Concorde, y compris les lampadaires, les colonnes rostrales (voir photographie jointe) et le dessin des fontaines actuelles, suivant une idée du roi Louis-Philippe. Il fait ériger sur la place l'obélisque de Louxor.
La Grande Rue et quelques ateliers des peintres de Barbizon
Le circuit des Peintres de Barbizon Source : document réalisé par L'office de Tourisme et de l'O.N.F. de Fontainebleau
(1)
L'Auberge Ganne : 92, Grande Rue
Ouverte dans cette grande maison vers 1834 par les époux Ganne, l'Auberge fut le principal lieu de passage des nombreux peintres artistes paysagistes et animaliers, venus du monde entier travailler "sur le motif" en forêt de Fontainebleau jusqu'en 1870. leurs séjour sont inscrits dans les registres de l'Auberge Ganne incroyablement conservés. Les séjours des peintres avec dates et durées sont ainsi connus.
Restaurée depuis 1995, l'atmosphère du lieu de séjour des "Peint'à Ganne" en leur état d'origine vous feront découvrir leurs murs recouverts de dessins, graffs, tag et pochades créés par les artistes au retour de leurs longues journées de travail en forêt et les jours de pluie. Les autres salles vous proposent l'exposition permanente des œuvres de ces artistes qui ont tant pris et donné à Barbizon : Corot, Jacques, Dupré, Chaigneau, de Penne, Gassiès, Lavieille, Rousseau et Millet.
(2)
Maison Théodore Rousseau : 55, Grande rue
"Cette Maisonnette retirée au fond d'un jardin de paysan, réduite à deux chambres basses et
obscure et à une grange qu'il transforma en atelier" description d'Alfred Censier, ami et biographe de Théodore Rousseau. Le peintre vivra de 1847 à 1867 dans cette maison et travailla dans cet atelier où se regroupaient les artistes de passage pour des veillées chaleureuses. Atelier transformé en chapelle à l'aube du 20ème siècle puis agrandi en église en 1950, le jardin de paysan est devenu la place du monument aux morts avec son "Gaulois" d'Ernest Révillon (1854-1937) offert par une souscription franco-américaine en 1920. Ancien musée municipal, la maison-atelier Théodore Rousseau est l'annexe des expositions temporaires du Musée départemental de l’École de BarbiZon.
(3)
Maison-atelier Jean-François Millet : 27, Grande rue
L'artiste y séjourna de 1849 à son décès le 20 janvier 1875. lieu de mémoire, musée
sentimental, collection privée, c'est le lieu de création de l'Angélus et des Glaneuses, etc...
qui est resté tel que sa veuve et les descendants l'ont laissé.
Parmi les objets personnels, les visiteurs découvriront "la belle lumière" qui retint tous ces artistes à Barbizon en plus des raisons historiques et politiques de l'époque.
(4)
Hôtel du Bois-Bréau :
L'Hôtel où séjourna Robert-Louis Stevenson, mais également toutes les personnalités depuis plus de cent ans.
(5)
Le Bornage :
Entre maisons et forêts, cette route sépare le Village de la Forêt de Fontainebleau là où s'élevait un mur de grès dans un lointain passé.
(6)
Le médaillon Millet-Rousseau en lisière de la Forét de Fontainebleau :
Ce médaillon rend hommage aux deux peintres emblématiques de l'Ecole de Barbizon :
Jean-François Millet (1814- 1875) et Théodore Rousseau (1812 - 1867).
Cette sculpture est l’œuvre d'Henri Chapu, originaire du Mée (Melun). Il fut inauguré le 19 mars 1884, grâce à une souscription publique organisée par les peintres de Barbizon, Millet
Jean-François Millet et Théodore Rousseau reposent au cimetière proche de Chailly-en-Bière.
(7)
L'éléphant de Barbizon :
Un très beau spécimen du bestiaire de la Forêt de Fontainebleau, cet éléphant est un chef-d’œuvre de sculpture géologique. disséminés dans me massif forestier, de nombreux 'anomaux ont été façonnés par la nature : oiseaux, tortue, etc...
(8)
Jean-Baptiste-Camille Corot :
"Vu dans la forêt de fontainebleau" 1830-1832, musée de Senlis.
Vers 1829, Jean-Baptiste Corot, de retour d'Italie, vint souvent en forêt de Fontainebleau pour travailler sa formation visuelle et technique, apprise en Italie.
Manifestant une véritable passion pour le traitement rugueux et réaliste des rochers et des arbres, Corot n'envisageait difficilement la nature sans présence humaine. La reproduction minutieuse et fidèle du motif par Corot a permis de retrouver deux siècles plus tard l'endroit précis où il avait posé son chevalet.
(9)
"Peintres sur le motif" : de Jules Coignet (1798-1860)
Partant "sur le motif", le peintre à chargé sur son dos le sac avec la boite de couleurs, la
tabouret pliant, le parasol, le pochon du pique-nique et deux toiles, une pour l'effet du matin, l'autre pour l'effet du soir. Car les paysagistes de Barbizon avaient compris, même les plus modestes, que la forêt change d'aspect continuellement, mai que chaque saison a son charme particulier et sa poésie propre... aussi à voir le Chêne Sully.
(10)
"Le Dormoir de Lantara" (Simon-Mathurin Lantara,1729-1778)
Né à Oncy, près de Milly-la forêt, berger, il commence à dessiner en gardant le troupeau du château de la Renoumière.
En apprentissage chez un peintre de Versailles, puis à Paris, Simon-Mathurin Lantara s'installe peintre et graveur, mais meurt à 49 ans dans la misère.Son oeuvre fut reconnue après sa mort et il est considéré comme le précurseur du paysage naturel des peintres de BarbiZon. Grâce à Denecourt, son nom reste attaché au "Dormoir de Lantara", lieu de pâture des troupeaux parmi les chênes majestueux dont quelques-uns demeurent encore sur place.
(11)
Le Chêne Charlemagne : Route des Mazettes.
Lorsque les artistes sont arrivés an début du 19ème siècle, le chemin de sortie de Barbi]on vers la forêt, l'allée aux vaches, était bordés de jeunes chênes plantés en 1802. en 1830, c'était tout juste un perchis dense, sombre et peu esthétique. Jean-François Millet réussi en 1860 à en réaliser un tableau qui met en valeur la tristesse monotone de ce type de forêt, surtout sous la neige. Aujourd'hui, la route forestière des Mazettes traverse une futaie cathédrale de chênes de 200 ans dont le plus beau spécimen (dédié au village par l'ONF) a été baptisé Chêne Charlemagne par les enfants de l'école de BarbiZon en 2000.
Quelques images de l'Auberge Ganne
Barbizon et sa population :
La population de Barbizon était de 1 493 au recensement de 1999, 1 571 en 2006, 1 587 en 2007 et 1 425 en 2009. La densité de population du village est de 270.40 habitants par km². Le nombre de logements sur la commune a été estimé à 838 en 2007. Ces logements se composent de 647 résidences principales, 142 résidences secondaires ou occasionnels ainsi que 49 logements vacants.
Un panneau officiel du circuit des peintres de Barbizon
Le circuit du 11 octobre 2017 enregistré sous Openrunner
Un peu d'histoire :
Milly-la-Forêtest une commune française dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.
Village gaulois dès 285 av. J.-C., lieu de naissance de Saint-Wulfram vers l’an 640, le domaine fut ensuite offert aux seigneurs méritants par les rois de France. Ruinée par les Anglais au XIVe siècle, elle fut rebâtie et fortifiée par Louis Malet de Graville au XVe siècle, dotée d’une des plus importantes foires franciliennes.
Centre agricole et commerçant, sur le passage de la route de Lyon jusqu’au XVIIIe siècle, elle perdit peu à peu de son intérêt à mesure que les axes routiers et ferroviaires s’en écartaient.
Elle devint alors dès le milieu du XXe siècle un lieu de villégiature pour les Parisiens et les artistes, dont Jean Cocteau et Christian Dior. C’est aujourd’hui un pôle touristique important du département, la capitale des herbes aromatiques à l’environnement préservé entre province et agglomération parisienne.
Ses habitants sont appelés les Milliacois.
Pour lire les informations sur les édifices, cliquer sur l'image.
Le circuit ayant pour sources celui de l'Office du Tourisme a été modifié, pour cause d'un départ autre que celui qui est décrit.
L'Espace culturel Paul Bedu :
L'Espace Culturel Paul Bédu
Espace Culturel Paul Bédu :
8, bis rue Farnault 91490 Milly-la-Forêt
Tél; : 01 64 98 75 52
Les halles de Milly-la-Forét :
Les halles de Milly-la-Forêt, montage
Les halles à différentes époques
L'Hôtel de Ville de Milly-la-Forêt :
La mairie de Milly-la-Forêt; Nous n'avons pas pu voir la salle des mariages, malheusement
L'office du Tourisme et son proche environnement :
L'office de Tourisme et ses environs
Le colombier; à observer son diamètre très important
Les vestiges les plus anciens de la ville La porte du Moustier de Péronne :
L'église Notre-Dame de l'Assomption :
La maison de Jean-Cocteau à Milly-la-Forêt
La façade de la maison Jean-Cocteau à Milly-la-Forêt
La chapelle Saint-Blaise-des-Simples :
Le jardin botanique qui regroupe les plantes médicinales cultivées depuis très longtemps
La chapelle Saint-Blaise-des-Simples :
C'est dans cette chapelle du 12ème ♪0iècle, dernier témoin de l'existence d'une maladrerie, que venaient prier les lépreux en évoquant Saint-Blaise le guérisseur. En effet, contractée en Orient, la lèpre avait été répandue par les Croisés dans notre région.
Cette chapelle avait été décorée en 1959 sur le thème des "Simples" et de la Résurrection" par Jean Cocteau
La population de Milly-la-Forêt :
1793 : 1637 habitants,
1836 : 2020 habitants,
1962 : 3040 habitants,
1990 : 4307 habitants,
2014 : 4785 habitants.
Un restaurant fort sympathique : situé à 1.5 kilomètre du centre de Milly-la-Forêt
Dimanche 1er octobre 2017, à partir de 14 heures :
Un rassemblement de magnifiques automobiles, dont certaines très rares, se sont réunies sur le parvis du château de Maisons-Laffitte ce dimanche après-midi.
Il existe une marque automobile américaine de luxe Singer (de 1915 à 1920).
Dans les années 70, la marque britannique disparait malheureusement.
Les belles automobiles sportives rouges : Ferrari et Lotus
Les voitures mythiques françaises : Citroën traction avant, Panhard 24 BT, Renault 4 CV
Quelques détails de la Panhard 24 bt
Les Panhart 24 CT et BT assemblées dans l'usine de la Porte d'Ivry de 1963 à 67 à 28600 exemplaires, étaient équipées d'un moteur flat-twin à traction avant et d'une carrosserie en aluminium. Les moteurs sont assez économiques, avec une consommation de l'ordre de 6 litres au 100 kilomètres.
Les Panhard 24 : la silhouette très basse et élancée est une réussite. Le modèle fut présenté à la presse le 24 juin 1963 : une 24 C bicolore.
Les belles et populaires Citroën !!
Les automobiles anglaises, Rolls-Royce, Triumph TR3, la troisième plus rare : coupé Trimph Herald 13/60
La Triumph Herald coupé 13/60
Encore une automobile très rarement vue en France : la Tatra 603
La Tatra 603 est une routière tchécoslovaque produite entre 1957 et 1975 par le constructeur automobile Tatra à 20400 exemplaires. Sa ligne atypique, son confort de haut niveau et son V8 arrière en faisaient l’une des voitures de l’Est les plus désirables de l’époque.
Gros plan de la Cottereau :
La marque Cottereau :
Cette firme, fondée à Dijon à la fin du XIXème siècle, fait sa renommée en France, Ses véhicules sont considérés comme des automobiles haut-de-gamme.
Sa première voiture, la "Voiturine", est construite en 1898. C'était une petite automobile à quatre sièges, avec un bi-cylindre en V. Peu de temps après, la firme s'essaye dans les sports de compétition, mais y renonce après une décennie pour se concentrant entièrement sur la production. Ses voitures se distinguent par leur forme ronde avec un grand radiateur qui devient l'emblème de la marque.
En 1901, le chauffeur Paris remporte la première Course de côte du Val-SuZon avec la marque.
En 1903 est lancée la Populaire, une voiture de la classe moyenne qui connait un grand succès. Deux ans plus tard, la firme entre dans sa période la plus florissante, comptant environ
350 employés. La gamme s'est élargie et propose huit modèles en 1908.
Le pilote Rivierre, sur Cottereau, à l'assaut du Mont Ventoux en 1906. (image de droite)
Mais le retrait de la compétition marginalise Cottereau et conduit à sa fermeture en 1914 au début de la Première Guerre mondiale.
Voici un circuit Art nouveau à Budapest qui sera enrichi au fur et à mesure du temps, car des recherches sont encore en cours sur les monuments et façades découverts.
Merci à notre guide Ivan pour cette passionnante découverte !
La Sécession hongroise :
La Sécession hongroise, en hongrois : Magyar szecesszió, en slovaque : Uhorská secesia) est un courant de l'Art nouveau dont l'essor est intimement lié au travail d'Ödön Lechner, dont l'objectif était de créer un « style national hongrois » en mêlant aux motifs et formes traditionnels de l'Art nouveau des éléments d'inspiration orientale. L'aire d'influence de cette école architecturale comprend la Hongrie contemporaine, ainsi que les anciens territoires autrefois sous sa tutelle : la Slovaquie,la Transylvanie, la Voïvidine et la Croatie. Toutes les grandes villes de l'ancienne Transleithanie (partie hongroise de l'Autriche-Hongrie ont été marquées par ce style architectural. Parmi celles-là, Budapest est sans doute celle où l'empreinte des architectes de la Sécession est la plus palpable. Elle fait d'ailleurs partie du Réseau Art Nouveau Network, qui a pour vocation la coopération entre les grandes villes européennes dans un objectif de sauvegarde et de mise en valeur de leur patrimoine Art nouveau.
Le musée Art nouveau de Budapest le Magyar Szecesszió Háza :
La Maison de l'Art Nouveau hongrois - le Magyar Szecesszió Háza.
La Maison de l'Art Nouveau hongrois - le Magyar Szecesszió Háza. Elle est unique en Hongrie, une galerie ou un musée est entièrement consacré au style Sécession. Nous n'avons pas simplement reconstruit la maison et la décoration d'intérieur, mais nous avons construit autour de lui l'atmosphère de ce style, l'atmosphère du tournant du siècle en temps de paix en Hongrie.
Le Musée : la maison a été construite par Emil Vidor en 1903, pour la famille Bedő. Le mobilier contemporain, les objets décoratifs, les peintures et les instruments répartis sur une superficie de plus de 600 mètres carrés évoquent fidèlement le début du vingtième siècle. De cette façon, le musée donne un aperçu au visiteur dans les «temps de paix», de l'atmosphère de la vie bourgeoise de Buda.
Le musée art nouveau de Budapest Magyar Szecesszió Háza
Bedö-häZ : le musée ou la maison Art nouveau de Budapest
L'école située au 85 utca Dob et ses magnifiques façades décorées
Détails de la façade de l'école
Où se situe ce magnifique édifice ?
Les bains et l'hôtel Gellért
Le hall d'entrée des bains Gellért, une merveille !
Les Grandes halles Nagycsarnok Le plus grand marché de Budapest
Du côté Pest de l'élégant pont de la Liberté, nous pouvons admirer le Grand Marché couvert de Budapest,en hongrois Központi Vásárcsarnok. L'édifice est magnifique, de style néogothique, son toit est recouvert de sublimes céramiques provenant de la célèbre fabrique hongroise de Zsolnay. L'architecture intérieure est également intéressante; on retrouve ce style dans d'autres bâtiments de Budapest, par exemple la Gare de l'Ouest, Nyugati Pályaudvar.
Adresse du grand marché couvert de Budapest :
1093 Budapest, Fővám tér 1-3. Téléphone : 06-1-366-3300
La magnifique façade art nouveau du magasin (ancienne banque turque disque)
La Ménagerie et Jardin des plantes métropolitain (Fővárosi Állat- és Növénykert) est le principal Zoo de Budapest. Il est situé dans le Varosliget -14ème arrondissement, à proximité des thermes SZéchenyi.
Ce zoo urbain occupe l'angle nord-ouest du Varosliget, principal parc de Budapest. Il est caractérisé par les nombreux bâtiments de style Sécession comme la maison des éléphants, la porte principale ou la serre. Le jardin zoologique et le jardin des plantes cohabitent en harmonie dans ce parc.
Reconstruit plusieurs fois depuis sa création en 1866, ses principaux traits actuels remontent aux années 1950, suite aux dommages causés par la Seconde Guerre mondiale. Rebâti sur le modèle du Zoo de Vincennes. il s'articule autour de deux grands rochers, et d'un lac. Des travaux ont été entrepris à la fin des années 2000 pour rénover le parc petit à petit, entrainant la fermeture du grand rocher entre 2009 et 2010.
Le Zoo et son entrée
Postatakarékpénztáancienne Caisse d'épargne de la Poste
Hold utca 4
L'ancienne Caisse d'épargne de la Poste qui cache ses tuiles vernissées au-dessus des tilleuls et des façades moutarde de la rue Hold, est un des chefs-d’œuvre d'Ödön Lechner, pionnier de le Sécession magyare. les motifs en céramique qui animent les toitures : dragons ailés, têtes de taureau, ruches, abeilles sont magnifiques.
La Caisse d'épargne de la poste (en hongrois Postatakarékpénztár) est un édifice situé dans le 5ème arrondissement de Budapest. Construite en 1901, selon les plans d'Ödön Lechner et Sandor Baumgarten dans le plus pur style Sécession. il abrite désormais le Trésor public hongrois.
A lechneri szecesszió jellemzői a magyaros virágmotívumok és a színes kerámiacserepek és majolikák. Takarékpénztárról lévén szó, az oromzatot aranysárga méhkasok díszítik, mint a gyűjtögetés és takarékosság szimbólumai.
Postatakarékpénztár 1901 L'ancienne Caisse d'épargne de la Poste, actuel Trésor Public
Une grande partie des édifices Art nouveau se situe aux abords de l’avenue Andrassy et du Bois-de-ville, notamment le quartier de Ligetváros, très classe et résidentiel !
Sipeki Balás villa
Sipeki Balás villa 1905
Hermina utca 47
Une des rares villas que l'architecte Ödön Lechner a dessiné, avant de mourir dans l'anonymat et la pauvreté.
On retrouve dans cette villa quelques-uns des ingrédients chers au chantre de l'Art nouveau
: une façade asymétrique, des murs aux contours sinueux, un bow-window en forme de volière, un minaret, des décors inspirés de motifs traditionnels hongrois. Le tout n'est pas sans rappeler la Casa Battlo de Gaudi à Barcelone.
Lechner Ödön tervezte Sipeki Balás Béla Zalamegyei főispán megbízására a városligeti villát. Az épület 1905 tavaszán készült el. Lechner a népművészet és a természet felé fordulva indította el a magyar szecesszió forradalmát, és ezt az épületét tartják a legszebb szecessziós alkotásának. Itt jelennek meg először a felületet kitöltő, a vakolatba mélyítő díszítő elemek. ----- A villához régen hatalmas telek tartozott, amely akkor egészen a Hungária-körútig ért. Gyönyörű vadgesztenye- és lilaakácfák övezték a házat, a gondozott kertet és a sétányokat. A Hermina útról egy csodálatosan szép kerten át egy kockaköves út vezetett az épületbe