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Présentation de l'artiste et de quelques-unes de ses promenades, de ses visites, de ses œuvres : dessins, aquarelles, lavis à l'encre et photographies
Une nouvelle visite du circuit des lacs dans le parc paysager de la ville du Vésinet en novembre 2020.
Rappel les 5 lacs de ce site magnifique sont alimentés par deux circuits artificiels créés sous Napoléon III.
Les 2 circuits de lacs c visibles sur cette carte sous Géoportail
Ce circuit qui peut être parcouru en deux heures fait découvrir les 5 lacs avec la plupart du temps un sentier qui longe les rivières alimentant ses étendues d'eau.
Départ de la gare du Vésinet-le Pecq
Le lac de la station situé à la sortie de la gare du Vésinet-Le Pecq.
Cygnes et canards
Les liens du Circuit des 5 lacs du Vésinet 28 novembre 2020 sous OpenRunner :
Le fichier ggs : 28_nov._2020_15_13_36_1606649665017.gpx
Voici la suite d'un circuit des belles demeures de Maisons-Laffitte après le circuit de 10 kilomètres dans le parc.
Au départ de la gare ou de l'hôtel de Ville de Maisons
Le circuit des belles demeures du centre ville de Maisons-Laffitte
(sources Les gîtes des Petites Ecuries à Maisons)
Départ de la mairie ou de la gare de Maisons-Laffitte
La villa Haute Rive, 32 rue Johnson
La villa "Haute Rive" est une construction d'Adolphe-Paul Lahire, né à Paris le 31 janvier 1860 et mort à Paris le 12 septembre 1919. Il a été actif de 1884 à 1910.
La maison est à l inventaire de Sophie Cueille. Les propriétaires demandent actuellement son classement auprès de la DRAC.
La façade de cette maison a été construite pour l'exposition universelle de Paris de 1878. Elle est pour cette raison inscrite au titre des monuments historiques en 2012.
Elle est l'œuvre de l'architecte J. Starke Wilkinson pour la Maison Doulton et Lambeth , manufacture anglaise de terre cuite.
Lors de l'exposition universelle, elle fut le pavillon représentant l’Angleterre mais elle fit surtout office de catalogue des productions de la manufacture3. En effet, sa façade est recouverte d'éléments de décoration en terre cuite démontrant l’art de cette manufacture.
En haut du pavillon il y a un petit ange représentant l'amour. Des pierres bleu marine décorent ce magnifique pavillon. De nombreux détails couvrent cette charmante maison. On voit de belles voûtes et de beau vitrages
Quelques images du circuit sur les belles demeures du parc de Maisons-Laffitte
Quelques belles demeures aperçues :
La Maison Julliard, 1840, architecte Duval 8, avenue de Wagram
La Florentine, 2 avenue du Général Leclerc 1905, architecte André Granet, villa située en face du château de Maisons,
L'Ecole de l'Ermitage, Epoque XVIIème siècle, inventaire des M.H.,
31, avenue Lavoisier, architecte Loutelier,
Maison-façade "Les Tourelles" alliant trois styles d’architecture : piliers Renaissance du perron, fronton baroque, balustres et putti du 18e siècle 6, avenue Duguesclin.
Maison-atelier d'artiste dite Maison du Peintre Stevens, 1882, dite la Bucquière , 5 avenue de la Moskowa,
Place Marine, Maison d'architecte
La maison de Charles Domergue, 2, avenue Desaix qui fit construire un "Théâtre de plein air" aux "Caves du nord".
Maison Doulton, , Exposition universelle de Paris 1878, 30, avenue Pascal, Inscrit inventaire général du patrimoine culturel,
Le Pavillon des Gardes construit par François Mansard au XVIIème siècle, près de la porte des Caves du Nord, il existait 6 pavillons dont un seul ne subsiste malheureusement.
Maison au centre des Ecuries des Prelats "La Sauvagère" une grande famille d'entraineurs, 9, avenue Lafontaine Nicolas Canteloup,
Maison du 11, avenue La Fontaine, tennis couverts, salons, vestiaire... construits par l'Agha Khan en face de sa maison, inscrite à l'inventaire général au patrimoine culturel,
Maison art nouveau, architecte Tavernier, 15, avenue Lavoisier, Inventaire général du patrimoine culturel,
Maison natale de Jean Cocteau, place Sully, inventaire général du patrimoine culturel
Avenue Duguesclin, 23, avenue Jean-Jacques Rousseau, chaumière Thierry Leluron. Inventaire général du patrimoine culturel.
Le château de Maisons-Laffitte :
Le château de Maisons construit pour René de Longueil par l'architecte François Mansart est achevé durant le début du 3ème quart du 17e siècle. Les travaux scientifiques récents font remonter le début de la construction à 1634, date d'un marché passé pour huit colonnes ioniques. La date de 1646, portée sur le fronton du corps central sur la façade jardin, semble être celle de l'achèvement du gros-œuvre. Le château était précédé d'une cour et d'une avant-cour, laquelle était bordée d'une écuries construite durant le 3e quart du 17e siècle. Cet ensemble était intégré dans une vaste composition fermée par plusieurs portails : l'avant-cour était close par deux pavillons séparés par un fossé. Dans l'axe du château, une entrée monumentale pour le roi venant de Saint-Germain-en-Laye se composait à l'origine d'une cour basse semi-circulaire autour de laquelle s'élevait de part et d'autre trois pavillon. Au sommet de l'arc se trouvait un autre pavillon orné du côté de la Muette d'attributs de fauconnerie et de l'autre de vénerie. De l'ensemble subsiste la cour dite des pavillons du nord, un pavillon et un portail, sur l'axe perpendiculaire nord-sud deux autres entrées étaient édifiées. Il subsiste celle du sud, accès au village, où deux pavillons de conciergerie accostés de deux portes monumentales étaient à l'origine séparés par un grand fossé de forme pentagonale. En 1777, le château est acquis par le comte d'Artois qui engage de 1779 à 1782 une campagne de travaux menée par son architecte Bélanger : il réaménage en particulier au rez-de-chaussée les appartements de droite avec deux salles à manger décorés par Lhuillier et construit une nouvelle orangerie bâtie par l'entrepreneur en maçonnerie Caubert.
En 1804, le château est acquis par le maréchal Lanne qui fait remanier à l'étage les anciens appartements de la Reine. C'est en 1818 qu'il passe dans les mains du banquier Jacques Laffitte : l'architecte Peyre modifie la première salle de l'appartement du roi et remplace en 1840 les glaces Desetrumeaux par des peintures de Bertin et Bidauld. Il fait détruire en 1834 les écuries en ne conservant que l'abreuvoir. En 1849, le château est acquis par Thomas Colmar qui fait faire un projet de remaniement du jardin par l'architecte paysagiste Duvillers en 1858. En 1877, le château est acquis par le peintre Wilhem Tilman-Gromme qui en 1878 supprime l'avant-cour en faisant détruire les pavillons d'entrée et ferme la cour d'honneur par une grille provenant du château de Mailly. En 1911, le château est restauré par l'architecte des Monuments Historiques Malencon
Maisons-Laffitte :
Ville résidentielle située entre la Seine et la forêt de Saint Germain, elle doit sa célébrité à son château et à son champ de course.
Le château actuel fut bâti au XVIIéme siècle.
En 1777, le domaine est acquis par le comte d’Artois, frère de Louis XVI qui, passionné par les chevaux, établit des pistes d’entrainement au bord de la Seine.
Le banquier Jacques Laffitte devient propriétaire du château en 1818. Mais pressé par des besoins d’argent, il décide de lotir le parc en 1833.
Cette réalisation fut favorisée par la construction d’une gare en 1843 et la commune de Maisons-sur-Seine qui pris le nom de Maisons-Laffitte en 1882.
Le cahier des charges du lotissement est toujours en vigueur et protège ainsi le site.
A voir aussi le circuit des belles demeures du centre ville de Maisons-Laffitte :
A voir aussi les le circuit des belles écuries du parc de Maisons-Laffitte :
Sources gîtes Les Petites Écuries à Maisons-Laffitte
Une boutique mythique au centre ville de Maisons-Laffitte : l'épicerie de Longueil
l'Epicerie de Longueil 1880 : 28, avenue de Longueil, 78600 Maisons-Laffitte
Tél. : 01 39 62 00 50
L'ancien Hôtel Royal sources photographies Les Petites Ecuries à Maisons-Laffitte
L'église Sainte-Marguerite du Vésinet a été construite de 1862 (pose de la première pierre) à 1864 (inauguration) dans le style néo-gothique, mais avec des matériaux totalement nouveaux : elle est le premier témoignage d'une construction en béton banché réalisée par l'architecte Boileau et l'entreprise Coignet ; les chapelles et le déambulatoire sont décorés de peintures de Maurice Denis. La nef est un bon exemple de l'utilisation du fer et de la fonte
10, place de l'Église, 78110 Le Vésinet
Tél. : 01 39 76 52 03
L’hôpital du Vésinet :
Monument historique
Article du blog de l'asile impérial à l'hôpital du Vésinet :
L’hôpital du Vésinet, ancien asile impérial, est situé au Vésinet dans les Yvelines. Il fut construit sous le Second Empire par l’architecte Eugène Laval pour servir d’asile aux ouvrières convalescentes.
Adresse : 72 Avenue de la Princesse, 78110 Le Vésinet
Peinture sur site de Jean-Pierre de 2004 à 2018 : une centaine de dessin et d'aquarelles . La villa étant fermée en 2019 et en 2020 ?
La Villa Berthe dite "La Hublotière"
72, route de Montesson
78110 Le Vésinet
Wood cottage :
Wood cottage
Né d'une fantaisie de Paul-Edouard Taconnet et réalisé par Tricotel, le Wood Cottage est un trésor architectural emblématique de la ville du Vésinet.
Élaboré dans un style rustique à la façon des anciennes maisons à pans de bois, et marqué par une influence de style britannique, cet édifice des années 1860 a été classé comme Monument Historique en 2000.
Il fait partie de ces "Maisons fabriques" s'inspirant de la conception paysagère du comte de Choulot, où se mêlent caractéristiques classiques, gothiques et anglaises.
Aujourd'hui, ce lieu empreint d'histoire accueille diverses manifestations artistiques et musicales tout au long de l'année.
Adresse :
122, Boulevard des États Unis, 78110 Le Vésinet
Tél. : 01 30 15 47 00
L'hôtel de ville du Vésinet
L'hôtel de ville
détails de son entrée principale à gauche
la fontaine à droite
Adresse de l'hôtel de ville du Vésinet :
60, boulevard Carnot, 78110 Le Vésinet
Tél. : 01 30 15 47 00
A gauche l'escalier central
A droite : la salle des mariages
Le circuit du jour et ses caractéristiques : 4 lacs et leurs rivières
La galerie des portraits du musée : quelques images
Un article en cours de rédaction
Historique du Musée :
Le musée Lambinet est un ancien hôtel particulier que Joseph-Barnabé Porchon, entrepreneur des bâtiments du roi Louis XV, fait construire sur l’emplacement de l’ancien étang de Clagny. Racheté par Victor Lambinet en 1852, il est légué à la ville en 1929 pour y installer les collections municipales d'objets d'art.
Celles-ci proviennent de la Bibliothèque municipale, ancien ministère des Affaires étrangères et de la Marine de Louis XV et Louis XVI, où elles portaient le nom de musée Jean Houdon. Cette ancienne demeure présente des collections mettant en valeur les Beaux-arts, les arts décoratifs, à travers la reconstitution d'un appartement du XVIIIème siècle, ainsi que l'histoire de la ville de Versailles.
Le musée comporte 35 salles, dont certaines ont conservé leurs lambris d'époque.
Les collections du musée Lambinet se répartissent en trois départements : Histoire de France, Histoire de la ville et pièces liées à la Révolution française, la reconstitution d'un appartement du XVIIIe siècle et le département des Beaux-arts.
Les portraits de la peintre d'Elisabeth Vigée-Lebrun :
Marie-Antoinette par
Elisabeth Louise Vigée le Brun
Louis Hercule Timoléon, duc de Cossé par Elisabeth Louise Vigée le Brun Huile sur toile
Le roi Louis XVI en grand habit royal par le peintre Antoine-François Callet Huile sur toile
Lien du CPDHS, Conservatoire du Portrait du Dix-Huitième Siècle, enregistré à Paris au registre national des Marques par M. Jean-Jacques Petit, Paris 5ème arrondissement.
Portrait du roi Louis XV par J.-M. Van Loo
Le palais et ses œuvres exposées :
Les salons du musée et leurs collections inombrables de meubles d'époque
Cent portraits pour un siècle
De la cour à la ville sous les règnes de Louis XV et Louis XVI
EXPOSITION DU 6 NOVEMBRE 2019 AU 1er MARS 2020 :
Parce qu’il est riche de près de cinquante portraits peints et dessinés et qu’il est largement consacré à l’art de vivre au XVIIIe siècle, le musée Lambinet était le lieu idéal pour accueillir Cent portraits pour un siècle. De la cour à la ville sous les règnes de Louis XV et Louis XVI. Cette exposition rassemble une sélection d’œuvres issues de l’exceptionnelle collection privée réunie par le « Conservatoire du portrait du XVIIIe siècle » (CPDHS).
Depuis plus de trente ans, le conservatoire du portrait du XVIIIe siècle s’efforce de réunir les effigies des contemporains de Louis XV et de Louis XVI. C’est une quête permanente afin d’identifier les modèles dont les noms ne sont pas toujours conservés ou dont les identités se révèlent erronées.
L’attrait marqué pour la famille royale a permis année après année de réunir pratiquement tous les visages des proches de Louis XV et de Louis XVI. Les noms des plus grands artistes, tels Louis-Michel Van Loo, Joseph-Siffrède Duplessis ou Elisabeth Vigée Le Brun, côtoient ceux de maîtres beaucoup moins célèbres, à l’exemple du Chevalier de Lorge ou d’Adelaïde Hubert. C’est là l’une des caractéristiques de cette galerie de portraits, car jamais l’artiste n’y a été privilégié par rapport au modèle.
Assurément, le XVIIIe siècle fut le siècle du portrait. Chacun désira avoir sa propre image afin de témoigner de son assise sociale, de sa réussite ou bien des sentiments qu’il développait pour le destinataire de l’effigie. C’est pourquoi le genre fut pratiqué par de si nombreux artistes.
Spécialistes, amateurs et grand public trouveront dans l’exposition et dans l’ouvrage qui l’accompagne une occasion unique de partir à la rencontre de ces cent personnages représentatifs de la cour de Louis XV et de Louis XVI, ainsi que de la vie d’une ville qui lui était alors étroitement associée.
Une visite réalisée durant les Journées Européennes du Patrimoine 2019 dans les Yvelines
le dimanche 22 septembre 2019 après midi
Détails du Temple en bas les vitraux modernes crées en 2002 par des élèves de ENSAAMA
Temple protestant du Vésinet :
Le temple protestant sis 1, route du Grand-Pont a été construit en 1880, grâce aux dons reccueillis par les protestants des communes de Chatou, Croissy, Le Pecq et Le Vésinet complétés par un concert donné à Paris par Camille Saint-Saens. Il est l'œuvre de l'architecte Eugène Rouyer et du sculpteur M. Boudin. Il a été plusieurs fois agrandi.
1924 : premier agrandissement par allongement du bâtiment prolongé par une vaste sacristie (M. Letrône, architecte).
1967 : Déplacement du fond, annexion de l'ancienne sacristie et adjonction de deux ailes.
Des acquisitions de terrain et diverses constructions annexes ont aussi jalonné l'histoire de la communauté protestante.
1912 : Achat de l'orgue (Cavaillé-Coll).
1924 : Acquisition du presbytère.
1930 : Construction du foyer paroissial. Consolidation du clocher.
1967 : Construction d'un bâtiment de plain-pied avec sous-sol.
L'Egllise est l'assemblée des chrétiens autour du Christ. D'ailleurs, ce lieu n'a rien de sacré et la célébration du culte n'est pas lié à un endroit spécifique.
La chaire est au centre et au-dessus de tout : c'est à nouveau montrer la primauté de la parole de Dieu. Au temps des persécutions, des chaires transportables avaient été fabriquées pour que les pasteurs puissent prêcher, même dans des déserts mais sur des chaires surélevées.
Il y a une table de communion et non un autel. Le crepas est signe de la présence du Christ et non un sacrifice.
La bible, seule autorité reconnue par les protestants, est habituellement placée sur la table de communion, ouverte.
La croix est bien présente, mais ce n'est pas un crucifix : Christ est mort et ressuscité.
La croix est également nue pour satisfaire au commandement "Tu ne feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque qui sont en haut dans les cieux".
Le temple du Vésinet n'a pas de baptistère, mais la plupart des temples en ont un. la cérémonie du baptême est, avec la sainte cène, un des deux sacrements protestants.
Le temple du Vésinet :
L'aspect extérieur du temple du Vésinet est caractéristique de nombreux édifices protestants de cette époque.
L'Edit de Nantes autorisait les réformés à construire des lieux de cultes qui leur soit propre à condition qu'on ne puissent les confondre avec des églises catholiques. Il a été le catalyseur d'eun production archtecturale originale. Mais la plupart des premiers temples ont été détruits à la révocation de l'Edit de Nantes.
Les vitraux anciens :
Les vitraux anciens du Temple
Des vitraux datant de 1912, assez rares dans un lieu de culte protestant : des vitraux, et représentant des personnages bibliques, Moïse, Elie, le Christ par deux fois, Pierre, Paul et les évangélistes Matthieu, Marc, Luc et Jean illustrant la parole de Dieu vers les hommes. Leur bordure est peinte
L'orgue de Jean-Philippe, ce jour :
Il est rare de ne pas trouver d'orgue dans un temple, tant les protestants attachent de l'importance au chant et à la musique.
Cet orgue est un beau Cavaillé-Coll acquis en 1912 par le temple
Jean-Philippe au clavier
Sources de la documentation : Temple du Vésinet
Le temple protestant avant et maintenant
Le panneau au bord de l'eau présentant le lac de Croissy et le temple protestant du Vésinet
Le lac de Croissy, à proximité du Temple protestant :
Le Lac de Croissy, creusé en 1859 et mis en eau en 1860, il est le plus petit du réseau avec un plan d’eau de 7 440 m².