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L'artiste

  • : Le blog de Jean-Pierre Kosinski.
  • : Présentation de l'artiste et de quelques-unes de ses promenades, de ses visites, de ses œuvres : dessins, aquarelles, lavis à l'encre et photographies
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24 octobre 2019 4 24 /10 /octobre /2019 20:03

 

 

Hugues Aufray

portraits

Aquarelles 2019

Encre lavis à l'encre bleue turquoise, octobre 2019

Le programme du concert du 20 octobre 2019, 15 heures, à la salle Pleyel

Tom Frager en première partie du concert

Tom Frager et son guitariste

VISITEUR D’UN SOIR :

Un spectacle intimiste

1959... 2019 Une longue route de Troubadour...

« Un dimanche de février 1943, je marche avec mes frères, dans le violent vent d’antan, sur la route gelée qui conduit de Sorèze à Revel

Un nouveau film de Marcel Carné est à l’affiche : « Les Visiteurs d’un soir »

Mon cœur d’adolescent va être marqué à vie !

Lorsqu’en 1948 je débarque à Paris dans l’espoir d’entrer aux Beaux-Arts,

le destin me conduira finalement sur le chemin de Gilles, le Troubadour du film, magnifiquement incarné par le grand comédien Alain Cuny. »

2019...

Hugues Aufray fait une halte pour se raconter... retracer son parcours partager son histoire... Il invite à entrer dans son lieu de travail, dans son univers musical pour faire revivre ses rencontres, les évènements qui ont marqué sa vie, ses engagements, ses coups de cœur... Des anecdotes et les chansons de sa vie guident le public sur le chemin de ce troubadour, qui dévoile un peu de son intimité, et surtout sans détour, tel qu’il est dans la vie. Chansons connues, moins connues et aussi chansons d’autres artistes qui ont enrichi sa carrière. Comme Gilles il vient enchanter les cœurs et les mémoires...  

 

Hugues Aufray était entouré de six musiciens :

Georges Augier de Moussac, (chef d’orchestre) Basse – Guitare,

Max Pol Delvaux, Guitare électrique et 12 cordes – Lapsteel – Charango,

Christian Séguret, Dobro – Violon – Mandole – Banjo,

Stéphane Boutinaud -- Batterie,

Alexandre Léauthaud, Accordéon – Clavier,

et Eric Wilms, Clavier.

Lien article : Hugues Aufray revient dans le village de son enfance célébrer ses 90 ans : http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/musique/tarn-hugues-aufray-celebre-ses-90-ans-dans-le-village-de-son-enfance-07-09-2019-8147433.php

Lien article "Le Parisien Culture/Loisirs/Musique" Hugues Aufray fête ses 90 ans et il n'a jamais été aussi heureux : http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/musique/hugues-aufray-fete-ses-90-ans-je-n-ai-jamais-ete-aussi-heureux-17-08-2019-8134707.php

Lien site Wikipédia Hugues Aufray : https://fr.wikipedia.org/wiki/Hugues_Aufray

Quelques images de l'artiste :

Hugues Aufray en concert au Palais du facteur Cheval, à Hauterives, le 28 juillet 2012

Hasta Luego

A la mémoire du Père Michel Jaouen

Hasta luego! À bientôt, si Dieu le veut
Hasta luego! On se reverra sous peu
On a trois mois de réserves au fond des cales
Allez, les gars! On va hisser la grande voile
Laissez-passer les enfants de la nuit
Il faut chercher le grand vent de l'oubli
Toi qui n'as rien, embarque-toi avec nous
Donne-moi la main, t'as qu'à passer parmi nous

Hasta luego! À bientôt, si Dieu le veut
Hasta luego! On se reverra sous peu
Toi qui as peur, cache-toi derrière mon bras
Car voici l'heure, on va être fier de toi
Laissez-passer les enfants de la nuit
Il faut chercher le grand vent de l'oubli
Toi qui le peux, regarde-moi dans les yeux
Suis ma route, elle te mènera vers Dieu...

Hasta luego! À bientôt, si Dieu le veut
Hasta luego! On se reverra sous peu

 

Hugues Aufray, sculpteur,

présente son Hommage à Bob Dylan en 2009

Quelques images de la salle Pleyel et son hall d'entrée art déco :

Hugues Aufray et son concert à la salle Pleyel, le 20 octobre 2019Hugues Aufray et son concert à la salle Pleyel, le 20 octobre 2019Hugues Aufray et son concert à la salle Pleyel, le 20 octobre 2019
Le hall d'entrée de la salle Pleyel et ses détails de style art décoLe hall d'entrée de la salle Pleyel et ses détails de style art déco
Le hall d'entrée de la salle Pleyel et ses détails de style art décoLe hall d'entrée de la salle Pleyel et ses détails de style art décoLe hall d'entrée de la salle Pleyel et ses détails de style art déco
Le hall d'entrée de la salle Pleyel et ses détails de style art décoLe hall d'entrée de la salle Pleyel et ses détails de style art déco

Le hall d'entrée de la salle Pleyel et ses détails de style art déco

La salle Pleyel  lien Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Salle_Pleyel

 
 
Au nom de la manufacture française de pianos Pleyel, la salle Pleyel était une salle de concerts symphoniques.  Inaugurée en 1927, elle prenait la suite de plusieurs « salles Pleyel » créées au cours du XIXe siècle.

De style art déco  elle est considérée comme l’une des grandes salles françaises du XXème siècle, comme un « passage obligé de la gent musicale internationale » Elle a contribué à l’animation de la vie musicale de Paris en accueillant, depuis son ouverture, environ vingt-cinq millions de spectateurs lors de vingt mille concerts. Plusieurs fois rénovée, elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis le 3 septembre 2002.

Rouverte en septembre 2006 après quatre années d’interruption, elle a été gérée par la Cité de la musique de 2006 à 2014, qui en est devenue propriétaire en juin 2009 et a accueilli en résidence l'orchestre de Paris et l'orchestre philharmonique de Radio France de septembre 2006 à décembre 2014.

Avant l'ouverture de l'auditorium de la maison de la Radio en 2014, puis de la Philharmonie de Paris  en 2015,

C’était la seule salle parisienne spécifiquement construite pour la musique symphonique, les autres concerts avec orchestre ayant lieu notamment à la salle Olivier-Messiaen de la maison de Radio France et de la salle Gaveau, plus petites, ou au théâtre des Champs-Elysées et au théâtre du Châtelet, des salles à l'italienne.

Depuis janvier 2015, la programmation relève de la Philharmonie de Paris et la Cité de la musique et a donné la concession de la salle pour quinze ans au groupe Fimalac, dans le cadre d'une occupation temporaire du domaine de l'État.

Les architectes de la salle Pleyel : Gustave Lyon, Jacques Marcel Auburtin, André Granet, Jean-Baptiste Mathon.

Liens Wikipédia de ces architectes  : Gustave Lyon  Jacques Marcel Auburtin André Granet Jean-Baptiste Mathon

La salle Pleyel est inaugurée le 18 octobre 1927

Le bâtiment comprend :

  • la grande salle, d’une capacité 3 000 places environ,
  • la salle Debussy, d’une capacité de 150 places environ,
  • la salle Chopin, d’une capacité de 509 places environ, prévue pour la musique de France,
  • des espaces d’accueil comme le grand hall, ainsi qu’un espace d’exposition et de démonstration de pianos Pleyel,
  • des studios insonorisés,
  • des espaces de bureau, des appartements.

Adresse de la Salle Pleyel : 

252, rue du Faubourg Saint-Honoré,

75008 Paris

La salle Pleyel  est desservie par la station de métro. Ternes

Sources site Wikipédia La Salle Pleyel à Paris

Près de la salle Pleyel :

La place des Ternes et ses fleursLa place des Ternes et ses fleursLa place des Ternes et ses fleurs

La place des Ternes et ses fleurs

La cathédrale russe Saint Alexandre Nevski  12, rue Daru 75008 parisLa cathédrale russe Saint Alexandre Nevski  12, rue Daru 75008 parisLa cathédrale russe Saint Alexandre Nevski  12, rue Daru 75008 paris

La cathédrale russe Saint Alexandre Nevski 12, rue Daru 75008 paris

Bonne visite !!

***

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25 septembre 2019 3 25 /09 /septembre /2019 15:37

Circuit Paris XIIIème ouest, une suite au circuit est de cet arrondissement.

Un petit circuit street-art autour de la piscine de la Butte-aux-Cailles et de la place de la Commune de Paris pour arriver au métro. Glacière.

 

La plupart des impasses et rues parcourues sont visibles sur les graffs présentés

Rue du Moulin-des-Prés -rue de Tolbiac, immeuble HLM de la ville de Paris

Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles

Rue du Moulin des Prés Paris XIIIème

Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles

 

La magnifique piscine de la Butte-aux-Cailles (1922 -24) Place Verlaine près des sources

La magnifique piscine de la Butte-aux-Cailles (1922 -24) Place Verlaine près des sources

Lien Wikipédia de la piscine de la Butte-aux-Cailles : https://fr.wikipedia.org/wiki/Piscine_de_la_Butte-aux-Cailles

Une œuvre de MissTic, technique au pochoir

 

Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles

 

Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles

 

 

Les  pochoirs de l'artiste MissTic

 

Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles

 

Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles

 

Passage SigaudPassage Sigaud
Passage Sigaud

Passage Sigaud

 

 

Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux Cailles
D'autres graffs de l'artiste MissTicD'autres graffs de l'artiste MissTic
D'autres graffs de l'artiste MissTicD'autres graffs de l'artiste MissTic

D'autres graffs de l'artiste MissTic

 

 

 

Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles

Rue Alphand

Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux Cailles

 

Rue des Cinq DiamantsRue des Cinq Diamants
Rue des Cinq DiamantsRue des Cinq DiamantsRue des Cinq Diamants

Rue des Cinq Diamants

 

Rue de la Buttes-aux-Cailles Passage BoitonRue de la Buttes-aux-Cailles Passage Boiton
Rue de la Buttes-aux-Cailles Passage BoitonRue de la Buttes-aux-Cailles Passage BoitonRue de la Buttes-aux-Cailles Passage Boiton

Rue de la Buttes-aux-Cailles Passage Boiton

 

Circuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux Cailles

 

Circuit street art à la Butte aux Cailles
Circuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux CaillesCircuit street art à la Butte aux Cailles

Près de la Place de la Commune de Paris rue R.  Buot

Place de la Commune de Paris :

 

 

Un arrêté municipal du 12 octobre 1999 donna à cette place située à l'intersection de la rue de la Butte-aux-Cailles, la rue Buot et la rue de l'Espérance son nom actuel, rappelant les commémorations des événements de la Commune de Paris de 1871, en raison de la défense du site, lors de la bataille de la Butte-aux-Cailles, menée par les Fédérés de la Butte-aux-Cailles, commandés par Walery Wroblewski, contre les Versaillais.

L'église Sainte-Anne de la Butte-aux-Cailles

Eglise Sainte-Anne de la Butte-aux-Cailles

Lien église Sainte-Anne de la Butte-aux-Cailles :  https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Sainte-Anne_de_la_Butte-aux-Cailles

Eglise Sainte-Anne de la Butte-aux-Cailles  rue de Tolbiac rue de BobillotEglise Sainte-Anne de la Butte-aux-Cailles  rue de Tolbiac rue de BobillotEglise Sainte-Anne de la Butte-aux-Cailles  rue de Tolbiac rue de Bobillot
Eglise Sainte-Anne de la Butte-aux-Cailles  rue de Tolbiac rue de BobillotEglise Sainte-Anne de la Butte-aux-Cailles  rue de Tolbiac rue de BobillotEglise Sainte-Anne de la Butte-aux-Cailles  rue de Tolbiac rue de Bobillot

Eglise Sainte-Anne de la Butte-aux-Cailles rue de Tolbiac rue de Bobillot

L'église Sainte-Anne de la Butte-aux-Cailles est ouverte tous les jours de 8 H à 18 H 30, l'été : de 8 H 30 à 19 H 30 en dehors de l'été,

Renseignement : 01 45 89 34 73 Site église Sainte-Anne : http://www.paroissesainteanne-paris.fr

 

Quelques œuvres du street art dans le quartier de la Glacière :

 

Les ateliers des Beaux-Arts de la Ville de Paris

 

Les œuvres de l'artiste C215 à l'entrée des ateliers des Beaux-Arts de la ville de Paris

Bonne visite !!

***

Plan du quartier de la Butte aux Cailles En zone rouge quelques rues parcourues
Plan du quartier de la Butte aux Cailles En zone rouge quelques rues parcourues

Plan du quartier de la Butte aux Cailles En zone rouge quelques rues parcourues

Cet article comporte 110 photographies dont beaucoup d’œuvres du street art.

Merci aux artistes de cette exposition à ciel ouvert !

Voir aussi le street art du XIIIème est en lien çi-dessous.

Articles du blog sur le street art et les fresques en France et en Région parisienne :

 

Article du blog sur le street art à Vitry-sur-Seine : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2016/01/vitry-sur-seine-capitale-du-street-art-ivry-sur-seine-et-paris-xiiieme.html

Le street art à Paris XIIIème arrondissement : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2019/09/le-street-art-dans-le-13eme-arrondissement-de-paris.html

Le street art à Vitry-sur-Seine, Val-de-Marne en septembre 2019  http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2019/09/le-street-art-a-vitry-sur-seine-ens-eptembre-2019.html

Le street art à Orsay, Essonne : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2019/09/le-street-art-a-orsay.html

Au delà du street art : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/article-au-dela-du-street-art-114609318.html

De l'art de la rue à la philathélie MissTic : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/article-de-l-art-de-la-rue-a-l-art-philathelique-69446539.html

Le mur peint des Canuts à Lyon : http://ver-blog.net/2015/11/le-mur-peint-des-canuts-a-lyon.html

Circuit des fresques de Levallois-Perret, Hauts-de-Seine : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/article-les-fresques-de-levallois-116417055.html

Fan club de MissTic par Henri Kaufman : https://henrikaufman.typepad.com/misstic_fanclub/

L'artiste C215 et le circuit des illustres autour du Panthéon : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2018/09/l-artiste-c215-et-le-circuit-des-illustres-pres-du-pantheon-a-paris.html

Festival de L'Art Sacré à Autun en juillet 2019 : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2019/08/zodiaque-une-exposition-a-l-eveche-d-autun.html

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10 septembre 2019 2 10 /09 /septembre /2019 21:12
Le street art dans le XIIIème arrondissement de Paris

Voici un article sur les œuvres du street art à Paris XIIIème arrondissement.

Cet article va être régulièrement mis à jour vu le nombre de nouvelles réalisations dans ce secteur

Le quartier de la rue du Château des rentiers et de la piscine :

 

 

 

 

Les œuvres de l'artiste C215 qui ouvrent l'entrée de la piscine

L’École Communale de Filles

Rue du Château des rentiers

 

Le quartier du métropolitain "Nationale"

 

 

Le street art dans le XIIIème arrondissement de ParisLe street art dans le XIIIème arrondissement de Paris

Le street art le long du métropolitain, boulevard Vincent Auriol, près de la station Nationale

 

Street art près de la place d'ItalieStreet art près de la place d'ItalieStreet art près de la place d'Italie

Street art près de la place d'Italie

Quartier près du métro. Chevaleret (ligne N°6)

Métro. Chevaleret

 

Quartier  du boulevard de l'Hôpital :

Street art rue Wateau

 

 

 

 

 

 

 

Fontaine Wallace place Louis Armstrong (1900 -1971)

 

 

 

Quartier de la place d'Italie :

Les  œuvres de l'artiste Zabou

 

La place d'Italie le 10 septembre 2019

La mairie du  XIIIème arrondissement  en restauration ce jour

 

Une visite de la mairie du XIIIème arrondissement

Le hall du deuxième étage de la mairie du XIIIème étageLe hall du deuxième étage de la mairie du XIIIème étageLe hall du deuxième étage de la mairie du XIIIème étage

Le hall du deuxième étage de la mairie du XIIIème étage

 

La salle des mariage de la mairie du 13ème arrondissement
La salle des mariage de la mairie du 13ème arrondissementLa salle des mariage de la mairie du 13ème arrondissement

La salle des mariage de la mairie du 13ème arrondissement

La République par l'artiste C215

Escalier d'honneur de la mairie du XIIIIème arrondissement

Détail de la fresque

Les œuvres de C215 à l'entrée de la piscine

Les œuvres de l'artiste C215

 

 

Le street art dans le XIIIème arrondissement de Paris

 

Une œuvre de C215

141, boulevard Vincent Auriol

 

Le quartier Jeanne d'Arc :

La façade de l'immeuble au-dessus du métropolitain "Maison Blanche"

L'oeuvre picturale d'INTIL'oeuvre picturale d'INTIL'oeuvre picturale d'INTI
L'oeuvre picturale d'INTIL'oeuvre picturale d'INTI

L'oeuvre picturale d'INTI

Une œuvre de BTOY 3, rue Esquirol

Le quartier des Olympiades :

 

 

 

 

 

 

 

La terrasse des Olympiades et ses environs

La fontaine Wallace rouge de l'avenue d'Ivry

Une œuvre de C215

 

Métro. Olympiades (Caisson électrique)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les 2 temples bouddhiques du quartier Olympiades

Quartier de la Butte aux Cailles :

Les œuvres au pochoir de MissTic

Les œuvres au pochoir de MissTic

Place de la Commune de Paris

Œuvre de Zabou, rue des Cinq Diamants

Le quartier de la Bibliothèque François Mitterand

A deux pas du métro. de la ligne N°14

Quartier du 13ème Nord avenue Edison, près du parc de Choisy :

Rue Edison

 

Le Musée du Street Art à ciel ouvert Boulevard Paris 13

"Galerie itinerrance" - "Boulevard Paris 13"

Documentations sources mairie du XIIIème arrondissement

 

Plan de quelques œuvres des artistes du street art dans le XIIIème arrondissement et leur localisation
Plan de quelques œuvres des artistes du street art dans le XIIIème arrondissement et leur localisation

Plan de quelques œuvres des artistes du street art dans le XIIIème arrondissement et leur localisation

Sources mairie du XIIIème arrondissement - Le musée de street art à ciel ouvert

 

Liens et autres articles du blog sur le street art en région parisienne et en France :

Voir aussi autres articles sur le street art :  https://www.telerama.fr/sortir/balade-street-art-a-vitry-sur-seine,-petit-paradis-meconnu-de-lart-urbain,n6073242.php

Liens Galerie itinerrance :  beaucoup de liens, en voici quelques-uns

http://@galerie_itinerrance

Facebook : @boulevard Paris 13 Facebook Paris 13 Facebbok @galerie_itinérance Facebook @mairiedu13

Lien vidéo Boulevard Paris 13 par galerie itinerrance : facebook https://www.facebook.com/galerieitinerrance/videos/2398635730202471/

Le blog de MissTic : http://missticinparis.com/morceaux-choisis/

Les édition de l'artiste MissTic : http://missticinparis.com/livres/

Articles du blog sur le street art et les fresques :

Article du blog sur le street art à Vitry-sur-Seine : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2016/01/vitry-sur-seine-capitale-du-street-art-ivry-sur-seine-et-paris-xiiieme.html

Le street art à Vitry-sur-Seine, Val-de-Marne en septembre 2019  http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2019/09/le-street-art-a-vitry-sur-seine-ens-eptembre-2019.html

Au delà du street art : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/article-au-dela-du-street-art-114609318.html

De l'art de la rue à la philathélie MissTic : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/article-de-l-art-de-la-rue-a-l-art-philathelique-69446539.html

Le mur peint des Canuts à Lyon : : http://ver-blog.net/2015/11/le-mur-peint-des-canuts-a-lyon.html

Circuit des fresques de Levallois-Perret, Hauts-de-Seine : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/article-les-fresques-de-levallois-116417055.html

Fan club de MissTic par Henri Kaufman : https://henrikaufman.typepad.com/misstic_fanclub/

L'artiste C215 et le circuit des illustres autour du Panthéon : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2018/09/l-artiste-c215-et-le-circuit-des-illustres-pres-du-pantheon-a-paris.html

Festival de L'Art Sacré à Autun en juillet 2019 : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2019/08/zodiaque-une-exposition-a-l-eveche-d-autun.html

Bonne visite !!

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4 janvier 2019 5 04 /01 /janvier /2019 20:19
La Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à Paris

Dédiée à l’approvisionnement en tapisserie et en tapis des palais officiels de la République, la Manufacture des Gobelins entretient un patrimoine bien vivant que l'on retrouve dans les collections publiques du Mobilier National.

Une découverte des coulisses de ces ateliers de restauration.

 

La Manufacture des Gobelins :

 

L'histoire du tapis en France débute avec la fondation, par Henri IV, de la manufacture de tapis "façon de Perse et Levant" établie dans les galeries du Louvre. Louis XIII développe la manufacture en installant les ateliers sur les bords de Seine, au pied de la colline de Chaillot, dans les bâtiments d'une ancienne fabrique de savon - d'où le nom de Savonnerie, qui depuis désigne les tapis réalisés selon la technique du point noué.

La statue de Jean-Baptiste Colbert (1) situé au milieu de la manufacture

 

En 1663, Colbert réorganise la Savonnerie en la plaçant, comme les Gobelins, sous la direction artistique de Charles Lebrun.

 

La Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à ParisLa Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à Paris

L’enclos des Gobelins à Paris, classé monument historique et qui fournit 600 palais de la République, ce n’est pas moins de 80 artistes, 23 000 nuances de couleurs, 10 « pièces » magistrales qui « tombent du métier » chaque année et 3 ateliers avec un savoir-faire unique et traditionnel en tissage qui perdure et s’étoffe au fil des époques.

La délicate manipulation de la broche, du peigne et du calque, la maitrise parfaite des nœuds, le positionnement méticuleux du miroir qui sert de contrôle pour le travail en cours ou encore la préparation de la « chaine », toutes ces techniques transforment la main de l’homme en celle d’un artiste accompli et la majestueuse machine en instrument délicat haut de gamme.

Sources : Manufacture des Gobelins de Paris

Les métiers : médaillons de la façade du bâtiment

Les métiers : médaillons de la façade du bâtiment

La Galerie des Gobelins

La Galerie des Gobelins

L'exposition actuelle dans la Galerie des Gobelins

Quelques tapisseries exposées dans la Galerie des Gobelins

 

La Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à Paris
La Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à Paris
Les bâtiments intérieurs de la manufacture et des explication d'Emmanuel, nore guide

Les bâtiments intérieurs de la manufacture et des explication d'Emmanuel, nore guide

Historique de la manufacture :
XVème-XVIème siècle

L’histoire des Gobelins débute au XVe siècle. Jehan Gobelin, originaire de Reims, crée un atelier de teinture quelque part dans le faubourg Saint-Marceau, aujourd’hui faubourg Saint-Marcel. Quelques décennies plus tard, ses descendants acquièrent de vastes terrains sur les bords de la Bièvre, dont les eaux sont réputées pour leurs qualités tinctoriales. Ils y bâtissent de vastes ateliers.
Experts dans l’art de la teinture des laines en écarlate de Venise, puis de cochenille, les Gobelins s’enrichissent, achètent des titres et des charges, renoncent à leur artisanat, non sans attacher leur nom à la propriété qu’ils avaient bâtie.

La Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à Paris
La Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à Paris
La Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à Paris
La Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à Paris
Gravure ancienne de la Manufacture

Gravure ancienne de la Manufacture

L'atelier de Lodève

La tapisserie de Haute Lisse : la cadre de la tapisserie est vertical

La Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à Paris
La Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à Paris
La Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à Paris
La Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à Paris
La Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à Paris
La Manufacture des Gobelins et la Savonnerie à Paris

La tapisserie de Basse Lisse : le cadre est horizontal

La haute lisse est la disposition verticale de la lisse du métier à tapisser,

contrairement à la basse-lisse ou cette trame est à plat et horizontale.
Les tapisseries ainsi fabriquées sont appelées de haute lisse ou simplement haute lisse. La disposition du métier n'est modifiée que pour le sens dans lequel la

tapisserie est faite.
La manufacture des Gobelins travaille en haute-lisse.
On se sert de la broche, une navette bobine, pour faire des passées. Deux passées, de sens contrarié, forment une duite. On emploie un peigne d'ivoire pour serrer les passées.

Les égyptiens de l'antiquité ont connu le métier de tapisserie à haute-lisse.

La tapisserie de Basse LisseLa tapisserie de Basse Lisse
La tapisserie de Basse LisseLa tapisserie de Basse LisseLa tapisserie de Basse Lisse

La tapisserie de Basse Lisse

La basse-lisse est un procédé d'exécution des tapisseries en laine et en soie dans lesquelles la chaîne est horizontale. Pour les tapisseries de haute-lisse, la chaîne est verticale.
Le principal avantage du procédé de basse-lisse consiste dans la rapidité

relative de la main-d’œuvre et, par suite, dans la diminution du prix de revient. D'autre part il est inférieur à celui de la haute-lisse, au point de vue du style dans la distinction de certains détails.
Les métiers de basse-lisse étaient exclusivement employés à Beauvais et à Aubusson, tandis que ceux de haute-lisse sont demeurés l'apanage des Gobelins.

Visite du 2 janvier 2019 avec Emmanuel, notre guide.

Lien site Manufacture des Gobelins Mobilier National : http://www.mobiliernational.culture.gouv.fr/fr/nous-connaitre/les-manufactures/manufacture-des-gobelins

Adresses :

42, avenue des Gobelins, 75013 Paris
Tél. : 01 44 08 53 49 Métro. Les Gobelins
 

Atelier de Lodève :

 

Impasse des Liciers
34700 LODEVE

 

 

Coordonnées GPS de la Savonnerie : 43.7261634 / 3.32377746

(1) Lien site Wikipédia Jean-Baptiste Colbert : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Baptiste_Colbert

 

Merci à notre guide-conférencier du jour Emmanuel.

 

 

 

Bonne visite !

***

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11 septembre 2018 2 11 /09 /septembre /2018 07:03
L'artiste C215 et le circuit des Illustres autour du Panthéon à Paris

Lien gpx pour ceux qui ont un GPS ou un téléphone connecté : https://www.openrunner.com/r/9103938

 

Mes autres circuits (73) visibles sous OpenRunner : https://www.openrunner.com/ code Kosinski (auteur)

Noms prénoms ou surnoms date de naissance-décès (date d'entrée au Panthéon)
Noms prénoms ou surnoms date de naissance-décès (date d'entrée au Panthéon)

Noms prénoms ou surnoms date de naissance-décès (date d'entrée au Panthéon)

 

C215 enrichi sa célèbre série "Illustres" avec de nouveaux portraits.

 

Il les dissémine dans le quotidien des citoyens, dans le Ve arrondissement, autour du Panthéon.

Ce parcours extérieur est complété par une exposition présentant sa démarche et quelques objets de sa collection dans la crypte du monument. 

L’artiste relève ainsi le défi de marquer la présence des personnages illustres dans la ville aujourd’hui, ses pochoirs colorés réaffirmant la présence sensible et quotidienne de ces grandes figures dont les passants croiseront le regard vif et saillant au détour des rues pendant les prochaines semaines. 

 

 

Les Illustres et l'emplacement de leur portrait par l'artiste C215 :

 

Berty Albrecht, sur une boite à feux, 176, rue Saint-Jacques

Guillaume Apollinaire, sur une porte du cinéma La Filmothèque du Quartier Latin, 11, rue Champollion

Henri Bergson, sur une boite aux lettres, 160, rue Saint-Jacques

Pierre Antoine Marcellin Berthelot, sur une boite à feux, 5, rue Clotaire

Louis-Antoine de Bougainville, sur une boite à feux, 193, rue Saint-Jacques

Louis Braille, sur une boite aux lettres, 23, rue Jean de Beauvais

Pierre Brossolette, sur une boite aux lettres devant la mairie du Ve, 21, place du Panthéon

René Cassin, sur une porte en métal du collège Sainte-Barbe, 11, impasse Chartières

Aimé Césaire, sur une boîte à feux, 50, rue Saint-Jacques 

Marie Curie, née Skłodowska, sur un algéco de l’Institut Marie Curie, 20, rue d’Ulm

René Descartes, dans un porte-menu du restaurant La Méthode, 2, rue Descartes

Alexandre Dumas, sur un mur au pied de l’escalier, rue Jacques-Henri Lartigues

Victor Hugo, sur une boite à feux, 7, rue Soufflot

Jean Jaurès, sur une porte de l’Ecole Normale Supérieure, 44, rue d’Ulm

Paul Langevin, au dos du panneau du square Paul Langevin, 17, rue Monge

Jean Lannes, duc de Montebello, sur une boite à feux au croisement de la rue de l’Estrapade et de la rue Clotilde

André Malraux, boite à feux, 8, rue d’Ulm

Honoré-Gabriel Riqueti, comte de Mirabeau, sur un mur à droite des escaliers, 17, rue Malbranche

Gaspard Monge, sur une boite aux lettres, 27, rue Monge

Jean Moulin, sur un boitier électrique, 25, rue de l’Estrapade

Paul Painlevé, sur un panneau du square Paul Painlevé, 8, place Paul Painlevé

Jean-Jacques Rousseau, sur un boitier électrique, 7, place du Panthéon, au coin de la rue d’Ulm

Antoine de Saint-Exupéry, sur une boite dans le collège de France, 9, impasse Chartières

 

En province :

Germaine Tillion et Jean Moulin par C215, à Grenoble © C215

 

Dans le Panthéon

Dans la crypte du Panthéon, vous pourrez observez de plus près les outils de travail et le processus de création de C215 pour réaliser ses pochoirs. 

La volonté de l’artiste de faire dialoguer les itinéraires personnels et les actions célèbres des illustres, comme fil conducteur de sa pensée, est mise en avant.

 

 

 

 

 

 

 

Ainsi, des ouvrages littéraires, lettres manuscrites, et objets professionnels de Marie Curie, Germaine Tillion, André Malraux, Victor Hugo ou Antoine de Saint-Exupéry sont exposés. Ces objets symboliques, dont certains sont agrémentés de portraits réalisés par C215, mettent en exergue le domaine pour lequel ces illustres sont honorés.

Ne manquez pas l'interview filmée de l’artiste dans laquelle il aborde son rapport au Panthéon, aux gloires de la Nation, à la pratique des graffitis et aux messages que ces derniers véhiculent.

Telle une invitation à la découverte en extérieur des portraits des personnalités honorées au Panthéon, dix photographies montrent l’artiste en plein travail de réalisation de ses œuvres.

 

Biographie de C215

« Peu de moments de l’enfance ou de l’adolescence ont autant marqué leur empreinte sur un artiste. Né en 1973, Christian Guémy alias C215, perd sa mère alors qu’il n’a que six ans. Ce sont ses grands-parents qui l’élèvent, avec ses oncles et tantes. Cette fratrie marque Christian entre volonté d’intégration et envie de liberté.

Éloigné de toute sensibilité culturelle, le jeune Christian se forme seul, se confronte de manière intuitive aux œuvres d’art. Sa formation universitaire le conduit à Paris, c’est tout à la fois un éloignement familial presque choisi et une rupture qui crée un nouveau manque. C’est après une première période professionnelle que la création artistique s’impose dans sa vie, après une rupture cette fois avec son ancienne épouse et sa fille Nina.

Après des visages torturés, il développe un art du pochoir sensible qui révèle – avec une acuité extraordinaire – la profondeur des hommes et des femmes représentés. Son travail se caractérise par une volonté inextinguible d’être accessible à tous, toujours au plus près de ses figures  représentées. Ainsi, pour être au plus proche d’elles, il colonise leurs objets. Ces figures sont celles de son humanité, de ses choix : des animaux, sa fille, ses héros.

Pour cette exposition, le choix de vingt-huit grandes figures du Panthéon fut rude, tant par sa générosité, il voulait embrasser le plus grand nombre. Ce choix laisse percevoir l’histoire, les valeurs qui sont les siennes. » David Madec

Sources : https://graffiti.monuments-nationaux.fr/Programme/Illustres-!-C215-autour-du-Pantheon2

Visite du Patrimoine du 5ème arrondissement, le 15 septembre 2018.

Les ouvrages liés à C215 :

C215 : Athlètes de Elodie Cabrera et Clara Martin
Douce France : D'Emile Zola à Brigitte Lahaie de C215
C215 : la monographie
"L'art de C215 est de capter la lumière,la profondeur et l humanité. C est très difficile à réaliser au pochoir son médium de prédilection et rarement réussi. Cette technique a tendance en effet à aplatir les images et à les rendre statiques. Au contraire, C215 a développé un style d illustration et de découpe qui révèle la personnalité profonde de ses sujets, leur apportant un éclairage impressionniste. Bien que sa technique soit méticuleuse, dans le sens le plus raffiné du terme, l art de C215 transcende la forme pure et semble toucher l essence même de l âme humaine. C est toujours un grand bonheur pour moi de croiser les œuvres de C215 dans la rue. » Shepard Fairey aka OBEY
La première monographie d un artiste français majeur de la scène du street art : Christian Guémy, alias C215.
Un abécédaire thématique, illustré et commenté par l artiste permettant d appréhender la richesse de son univers : Amsterdam, Amoureux, Architectures, Artistes, Ateliers, Athènes, Autoportraits, Ava, Barcelone, Berlin, Bleu, etc.
 
 
Lien Biographie de l'artiste Christian Guémy, alias C215 : http://www.street-art-avenue.com/artiste-c215-street-art-biographie-christian-guemy
 
 
Bonne visite et bravo à l'Artiste !!
 
***
 
 
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17 août 2018 5 17 /08 /août /2018 19:12
Sur les pas de Georges Brassens à Paris
Sur les pas de Georges Brassens à Paris

Le parc Georges Brassens à Paris 15ème

Sur les pas de Georges Brassens à Paris
Sur les pas de Georges Brassens à Paris

 

Le marché aux chevaux au début de siècle dernierLe marché aux chevaux au début de siècle dernierLe marché aux chevaux au début de siècle dernier
Le marché aux chevaux au début de siècle dernierLe marché aux chevaux au début de siècle dernier

Le marché aux chevaux au début de siècle dernier

La statue de bronze de Georges Brassens

"Le Petit cheval"

https://www.youtube.com/watch?v=ob6gvhZU3j4

Sur les pas de Georges Brassens à ParisSur les pas de Georges Brassens à Paris
Sur les pas de Georges Brassens à Paris
Sur les pas de Georges Brassens à ParisSur les pas de Georges Brassens à ParisSur les pas de Georges Brassens à Paris
Chez Jeanne  Georges Brassens impasse Florimont de 1944 à 1966Chez Jeanne  Georges Brassens impasse Florimont de 1944 à 1966Chez Jeanne  Georges Brassens impasse Florimont de 1944 à 1966
Chez Jeanne  Georges Brassens impasse Florimont de 1944 à 1966Chez Jeanne  Georges Brassens impasse Florimont de 1944 à 1966Chez Jeanne  Georges Brassens impasse Florimont de 1944 à 1966

Chez Jeanne Georges Brassens impasse Florimont de 1944 à 1966

Le 42, rue Santos-Dumont et la villa Santos-Dumont, hâvre de paix du quartierLe 42, rue Santos-Dumont et la villa Santos-Dumont, hâvre de paix du quartier
Le 42, rue Santos-Dumont et la villa Santos-Dumont, hâvre de paix du quartierLe 42, rue Santos-Dumont et la villa Santos-Dumont, hâvre de paix du quartier

Le 42, rue Santos-Dumont et la villa Santos-Dumont, hâvre de paix du quartier

 

Les anciens Bains-douches préservés, en restauration actuellement
Les anciens Bains-douches préservés, en restauration actuellementLes anciens Bains-douches préservés, en restauration actuellement

Les anciens Bains-douches préservés, en restauration actuellement

Sur les pas de Georges Brassens à Paris

Le quartier de Bobino à Montparnasse :

La rue de la Gaité et ses théâtres, Bobino au N°12La rue de la Gaité et ses théâtres, Bobino au N°12La rue de la Gaité et ses théâtres, Bobino au N°12

La rue de la Gaité et ses théâtres, Bobino au N°12

Le circuit de la balade qui peut démarrer de Paris Ouest Trocadéro ou métro. Passy par exemple

Le circuit de la balade qui peut démarrer de Paris Ouest Trocadéro ou métro. Passy par exemple

Georges  Brassens, quelques dates :

Naissance le 22 octobre 1921 à Cette (Sète plus tard)

1936, élève moyen à l’école, il s’ouvre à la poésie grâce à son professeur de français Alphonse Bonnafé,

1939 : peine de prison avec sursis,

Février 1940 : il rejoint Paris, au 173, rue d’Alésia chez sa tante, Antoinette Dagrosa

1940 : au printemps travaille chez Renault quelques mois, l’usine est bombardée, les allemands arrivent à Paris

1943 : mars STO en Allemagne à Basdorf,

1944 à 1966 : chez Jeanne et Marcel, 9, impasse Florimont

1946 : il hérite du piano de sa tante, il se lie avec des militants libertaires, le peintre Marcel Renott, et le poète Armand Robin il collabore périodiquement avec la Confédération du Travail

1947 : rencontre avec Joha Heiman appelée Püppchen (petite poupée en allemand) origine d’Estonie (1911-1999),

1952 : 24 janvier rencontre avec Patachou qui l’auditionne. 16 mars, France-Soir titre en gros caractères : « Patachou a découvert son poète», 6 mars, première émission télévisée de Georges Brassens à la RTF : il chanteLa Mauvaise réputation devant le public de l’Alhambra. Du 28 juillet au 30 août, il fait sa première tournée en France, en Suisse et en Belgique avec Patachou et les Frères Jacques, en septembre il est engagé aux «Trois Baudets», le 23 décembre, Patachou, qui a mis plusieurs chansons de son poulain à son répertoire, enregistre « Patachou chante Brassens » au studio Chopin-Pleyel

1953 : février 1er Bobino, deuxième en octobre, tous les cabarets de Paris le demandent et ses disques commencent à bien se vendre.

1954 : Olympia 23 février au 4 mars et 23 septembre au 12 octobre. Pierre Nicolas l’accompagne à la contrebasse (leur collaboration va durer presque 30 ans,

1955 : Georges Brassens achète la maison de Marcel Planche, impasse Florimont et la maison mitoyenne, l’eau et l’elecvtricté installé, il leur offre

1956 : premiers pas de Georges Brassens avec le cinéma (Porte des Lilas)

1964 : «Les copains d’abord » pour le film « Les copains » d’Yves Robert,

1965 : Bobino

1958 : achat du moulin de la Bonde à Crépières, Seine-et-Oise, Yvelines actuellement (mise en vente de la maison en 1970)

1968 : octobre, disparition de Jeanne, Georges quitte le 14ème

Quand on demande à Georges se qu’il  faisait en 1968, il répond, "des calcul "

1969 : Achat de la villa « Ker Flandry » à Lézardieux (Côtes du Nord) Côtes-d'Armor actuelles,

1969 à 1981 : 42, rue Santos Dumont,

1972 : Bobino,

1976 : 19  octobre Bobino, 5 mois,

1977 : 20 mars, dernière de Bobino de Georges Brassens

1981 : 29 octobre : décès de Georges Brassens à Saint-Gély-du-Fesc, au nord de Montpellier.

Le circuit Georges Brassens à Paris et son extention à l'Ouest

Le circuit Georges Brassens à Paris et son extention à l'Ouest

Le savez-vous ? : Georges Brassens passa quelques mois à Cormeilles-en-Parisis, près de la gare, au 7 rue Malibran à son retour d'Allemagne en 1944.

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2 février 2018 5 02 /02 /février /2018 16:14
l'Hôtel Céramic de Jules Lavirotte à Paris
La façade côté avenue de Wagram de l'Hôtel Céramic, actuellement Elysées CéramicLa façade côté avenue de Wagram de l'Hôtel Céramic, actuellement Elysées CéramicLa façade côté avenue de Wagram de l'Hôtel Céramic, actuellement Elysées Céramic

La façade côté avenue de Wagram de l'Hôtel Céramic, actuellement Elysées Céramic

Description :

L'édifice est un immeuble en béton armé. Sa façade est de style Art nouveau, recouverte sur les trois premiers étages de grès flammé (d'où le nom de l'établissement).

Historique :

L'hôtel est construit en 1904 par l'architecte Jules Lavirotte. Les céramiques sont réalisées par le céramiste Alexandre Bigot, les sculptures par Camille Alaphilippe.

L'immeuble est lauréat de l'édition 1905 du concours de façades de la ville de Paris. La façade et la toiture sur rue de l'édifice sont inscrites au titre des monuments historiques en 1964.

l'Hôtel Céramic de Jules Lavirotte à Parisl'Hôtel Céramic de Jules Lavirotte à Paris
l'Hôtel Céramic de Jules Lavirotte à Parisl'Hôtel Céramic de Jules Lavirotte à Paris
Détails de la façadeDétails de la façadeDétails de la façade

Détails de la façade

l'Hôtel Céramic de Jules Lavirotte à Paris

Céramic Hôtel - Elysées Céramic

 

Sources Wikipédia

La carte de l'Hôtel Elysées Céramic sources hôtel

Sources, documentation et lien :

 

Lien site Wikipédia Céramic Hôtel : https://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A9ramic_H%C3%B4tel

 

Lien site Wikipédia : concours de façades de la ville de Paris.

Lien site L'art nouveau : http://lartnouveau.com/artistes/lavirotte/34_av_wagram1.htm

Lien site L'art nouveau Jules Lavirotte : http://lartnouveau.com/artistes/lavirotte.htm

Lien sire Wikipédia : Camille Alaphitippe : https://fr.wikipedia.org/wiki/Camille_Alaphilippe

 

 

Lien Wikipédia : Alexandre Bigot

 

 

Un site avec de belles images de façades art nouveau : Façades Art nouveau

 

Les autres immeubles Jules Lavirotte à Paris :

Par ordre d'année de construction :

. 12, rue Sédillot Paris VIIème arrondissement, 1899,

. 3, square Rapp, VIIème arrondissement,1900,

. 29, avenue Rapp, VIIème arrondissement,1900,

. 151, rue de Grenelle, VIIème arrondissement,1903,

. 134, rue de Grenelle, VIIème arrondissement,1903,

. 34, avenue Wagram,VIIIème arrondissement,1904,

. 23, avenue de Messine,VIIIème arrondissement,1907,

. 6, rue de Messine,VIIIème arrondissement.1907.

 

Voir aussi autres articles du blog, les façades Jules Lavirotte :

 

http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/article-les-fa-ades-jules-lavirotte-a-paris-115755311.html

 

 

Voici deux circuits des immeubles de l'architecte art nouveau Jules Lavirotte :

Temps environ  1 H 30

 

Circuit des immeubles Jules Lavirotte nord  (8ème arrondissement (1) parc le parc Monceau

Circuit des immeubles Jules Lavirotte nord (8ème arrondissement (1) parc le parc Monceau

Circuit des imeubles Jules Lavirotte (8ème arrondissement) chemin le plus court

Circuit des imeubles Jules Lavirotte (8ème arrondissement) chemin le plus court

Comment rejoindre à pied le circuit nord du circuit sud ?

Comment rejoindre à pied le circuit nord du circuit sud ?

Circuit des immeubles Jules Laviritte sud (7ème arrondissement) parcours court

Circuit des immeubles Jules Laviritte sud (7ème arrondissement) parcours court

Circuit des immeubles Jules Lavirotte sud (7ème arrondissement) un peu plus long

Circuit des immeubles Jules Lavirotte sud (7ème arrondissement) un peu plus long

Voir le circuit des immeubles Jules Lavirotte : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2018/02/le-circuit-jules-lavirotte-a-paris.html

Un autre circuit art nouveau à Paris parcours Hector Guimard : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/pages/Circuit_Hector_Guimard_Paris_16eme_metros_parisiens-6010355.html

 

Bonne visite !

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28 janvier 2018 7 28 /01 /janvier /2018 15:10
Camille Claudel à Paris Evénementiel Camille Claudel in Paris, her history

Camille Claudel à Paris Evénementiel Camille Claudel in Paris, her history

Mercredi 26 juillet 2017 : visite à Paris avec Sue, une chercheuse américaine de San Francisco, étudiante et spécialiste de l’œuvre de Camille Claudel.

Un compte-rendu tardif et un article terminé en janvier 2018. Il y aura des corrections en anglais, bien sûr, par ses soins.

Merci aussi aux corrections de Sarah en 2018.

Le quartier Montparnasse et l'arrivée de la famille Claudel à Paris The Montparnasse district and the arrival of the Claudel family in Paris

Le quartier Montparnasse et l'arrivée de la famille Claudel à Paris The Montparnasse district and the arrival of the Claudel family in Paris

Première étape  : départ du métropolitain Edgar Quinet, R.V. devant mon fournisseur de

peinture et de papier dessin et aquarelle "L'Artiste Peintre", 54, boulevard Edgar Quinet.

Rue Delambre, place Pablo Picasso. A voir sur cette place, la statue en bronze de Balzac.

Hist : en 1887, lors d’un premier voyage en Touraine à la recherche de références pour l’élaboration du Monument à Balzac, Camille Claudel et Rodin séjournent au château de l’Islette à Azay-le-Rideau. Pendant quatre étés consécutifs, Camille Claudel y retournera pendant quatre étés consécutifs. Elle y élabore son projet de buste de la petite-fille du propriétaire du château, "La Petite Châtelaine".

1887: Her trip to Touraine with Rodin in search of references for the monument to Balzac. They stay at Château de l’Islette in Azay-le-Rideau.
1890 – 1892: Camille Claudel spends summers at Château de l’Islette in Azay-le-Rideau, where she is joined by A. Rodin.

Rodin travaille en Touraine sur son projet de statue de Balzac, une commande de la société des écrivains. Son œuvre terminée fera scandale.

Rodin works in Touraine on his project for a statue of Balzac, an order from the writers' society. His finished work will cause a scandal;.

Rue de la Grande Chaumière :

Histoire : Sur le conseil de son ami Alfred Boucher, sculpteur reconnu, Louis-Prosper Claudel envoie sa famille à Paris pour que sa fille Camille puisse bénéficier d’un enseignement artistique.

Inscrite aux cours de l’Académie de la Grande Chaumière (l’École des Beaux-Arts était alors interdite aux femmes), Camille Claudel loue en 1882 un atelier rue Notre-Dame-des-Champs, qui accueille bientôt d’autres femmes sculpteurs, en particulier des Anglaises, parmi lesquelles Amy Singer, Emily Fawcett et Jessie Lipscomb. Alfred Boucher corrige de temps à autre le travail des demoiselles, mais lauréat du Prix du Salon, il doit partir pour l’Italie dès 1882 et cherche donc un remplaçant. Le soutien qu’il a apporté à Rodin quelques années plus tôt lors de l’affaire de l’Âge d’airain a créé une amitié sincère entre les deux artistes, et c’est tout naturellement que Boucher lui confie ses jeunes élèves. Les premières œuvres que Camille Claudel montre à Rodin lui font forte impression : le buste de la Vieille Hélène, au réalisme pathétique, et Paul à 13 ans, traité dans un style plus classicisant.

1882 : On the advice of his friend Alfred Boucher, an established sculptor, Louis-Prosper Claudel sent his family to Paris so that his daughter Camille might study art.

She attended classes at the Académie Colarossi, on the Rue de la Grande Chaumière (the École des Beaux-Arts did not admit women at this time) and, in 1882, rented a studio on Rue Notre-Dame des Champs, which she soon shared with other sculptresses. Among them were the artits Amy Singer, Emily Fawcett and Jessie Lipscomb. Boucher supervised their work on an occasional basis, but having won the Paris Salon prize, he was obliged to go to Italy in 1882 and thus looked for someone to replace him. The support that he had given

Rodin some years earlier during The Age of Bronze affair had forged a solid friendship with the two artists, and so Boucher naturally entrusted his young pupils to Rodin, who was impressed by the first works that Camille Claudel showed him. The dramatic realism apparent in the bust of Old Helen and the more conventional handling of Paul at Thirteen moved him deeply.

Rue Notre-Dame-des-Champs

111, rue N.-D.-des-Champs : en 1882, la mère de Camille et ses enfants emménage.

The aparterment of Camille and her family

117, rue N.-D.des Champs : Camille loue un atelier tout proche. Elle partage celui-ci avec d'autres artistes, notamment des amies anglaises qu'elle a dû rencontrer à l'académie Alfred Boucher, installé à Paris depuis 1868.

Camille Claudel and her girlfriends studio.

 

Camille Claudel and Jessie Lipscomb, 117 rue N.-D. des Champs, 1887

 

 

Boulevard du Montparnasse :

135 bis boulevard du Montparnasse : en 1881, la mère et ses enfants s'installent à Paris et

louent un appartement au quatrième étage.

135 bis boulevard du Montparnasse: in 1881, the mother and her three children moved to Paris and rented an apartment on the fourth floor.

 

A voir sur le circuit :

 

A voir, en passant dans le quartier :

La fontaine de l'Observatoire, le cloître de l'ancienne abbaye de Port-RoyalLa fontaine de l'Observatoire, le cloître de l'ancienne abbaye de Port-Royal

La fontaine de l'Observatoire, le cloître de l'ancienne abbaye de Port-Royal

Boulevard de Port Royal

Les jardins et les bâtiments du Val de Grâce à gauche.

The gardens and buildings of the Val de Grace on the left.

 

 

De la rue Notre-Dame-des-Champs au boulevard du Port-Royal

De la rue Notre-Dame-des-Champs au boulevard du Port-Royal

La famille Claudel au 31 boulevard du Port Royal au balcon The Claudel family at 31 Boulevard du Port Royal on the balcony

La famille Claudel au 31 boulevard du Port Royal au balcon The Claudel family at 31 Boulevard du Port Royal on the balcony

Le 31 boulevard du Port-Royal, la plaque de l'immeuble et l'étage d'habitation des ClaudelLe 31 boulevard du Port-Royal, la plaque de l'immeuble et l'étage d'habitation des ClaudelLe 31 boulevard du Port-Royal, la plaque de l'immeuble et l'étage d'habitation des Claudel

Le 31 boulevard du Port-Royal, la plaque de l'immeuble et l'étage d'habitation des Claudel

Sur les pas de Camille Claudel à Paris In the footsteps of Camille Claudel in Paris
31 boulevard du Port-Royal, the plaque of the building and the residential floor of the 
Claudel family.
du boulevard du Port-Royal à la rue de Turenne

du boulevard du Port-Royal à la rue de Turenne

Passage par le boulevard Auguste Blanqui, où au N° 113, Camille loue son atelier en 1888, et

Auguste Rodin loue la Clos Payen La Folie Neufbourg au N° 68 pour se rapprocher de Camille. Ce lieu connaîtra les amours de ce couple jusqu'en 1892.





Passage by Boulevard Auguste Blanqui, where at No. 113, Camille rented his studio in 1888, and

Auguste Rodin rents Clos Payen La Folie Neufbourg at No. 68 to get closer to Camille. 
This place will be the love-net of the couple until 1892.
Carte de visite de Camille, avec son adresse boulevard d'Italie, actuellement boulevard Auguste Blanqui

Carte de visite de Camille, avec son adresse boulevard d'Italie, actuellement boulevard Auguste Blanqui

L'avant-dernier atelier de Camille  situé dans le Marais, au 63 riue de Turenne 75004 Paris

L'avant-dernier atelier de Camille situé dans le Marais, au 63 riue de Turenne 75004 Paris

L'entrée du 63 rue de TurenneL'entrée du 63 rue de TurenneL'entrée du 63 rue de Turenne

L'entrée du 63 rue de Turenne

1998 : la rupture avec Rodin

 

"L'Age Mûr" : 1893 Bronze 1902

1902 :

Her masterpiece, The Age of Maturity, was exhibited in plaster in 1899, before being cast in bronze in 1902. The original work, commissioned by the French state in 1895, is believed to have been destroyed by the artist after the second casting in 1913.
The subject presents us with three naked figures, a young woman on her knees whose outstretched hands appear to have just released from their grip the hand of an older man, who is held in the arms of another, older woman, who appears to be compelling the man forward and away from the young woman. The title points to an allegory of ageing, in which the man, the protagonist of the piece, is leaving his youth and moving towards old age and death.
Sur les pas de Camille Claudel à Paris In the footsteps of Camille Claudel in Paris

Le dernier atelier de Camille Claudel quai de Bourbon (1899 à 1913)

The last artist studio 
of Camille Claudel 
quai de Bourbon (1899 to 1913)
Son atelier du quai Bourbon sera le dernier avant son internement par sa famille de 1913 à 1943. Elle ne créera plus rien durant es trente dernières années de sa vie.

"Il y a toujours quelque chose d'absent qui me tourmente" Camille Claudel.

Cammille Claudel's last studio and residence Quai Bourbon before le is sent to mental institution
by her family from 1913 to 1943. She will not create anything during 
the last thirty years of her life.


"There is always something missing that torments me" Camille Claudel.

 

Photographie du début du siècle de l'entrée quai de Bourbon

"L'Abandon" "Vertumne et Pomone" 1905 marbre et bronze L'artiste travaillant sur Vertumne et Pomone

"L'Abandon" "Vertumne et Pomone" 1905 marble and bronze The artist working on Vertumne and Pomone

Sources bibliographie :

(1) : Photographie de William Elborn. Crédit image ADAAGP, Paris 75012

Sur les pas de Camille Claudel à Paris In the footsteps of Camille Claudel in Paris
Le dernier atelier de Camille Claudel quai de Bourbon     The last Camille'studio quai de Bourbon

Le dernier atelier de Camille Claudel quai de Bourbon The last Camille'studio quai de Bourbon

de la rue de Turenne à l'avenue de la Bourdonnais

de la rue de Turenne à l'avenue de la Bourdonnais

From rue de Turenne to avenue de la Bourdonnais

En 1892, Camille déménage pour s'installer au 11, avenue de la Bourdonnais (actuellement

7ème arrondissement)

 

Séjour à l'Islette en septembre. Poses de Marguerite Boyer, 6 ans, pour une de ses futures œuvres majeures "La Petite Châtelaine" (1892 à 1896)

 
In 1892, Camille moved to 
11 avenue de la Bourdonnais 
(currently 7th arrondissement)

Visit to Islette in September. Poses of Marguerite 
Boyer, 
6 years old, for one of her future major works 
"La Petite Châtelaine"(1892-1896)

Les différentes versions de la "Petite Châtelaine" 1892 à 1896. (Terre, marbre et bronze)

The different versions of the "Little Châtelaine" 1892 to 1896.

 

 

"La Petite Châtelaine"     "The Little Chatelaine"

"La Petite Châtelaine" "The Little Chatelaine"

 

Bonne visite !

Enjoy your visit !

Pour plus d'information, voir autres articles du blog : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/article-camille-claudel-son-oeuvre-125356739.html

Camille Claudel par Auguste Rodin : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2016/03/camille-claudel-par-auguste-rodin.html

Merci à toutes les informations, les nombreux documents recueillies auprès de Reine-Marie Paris, sa petite-nièce et biographe.

Merci aussi aux aimables documentalistes du musée Rodin qui ont apporté toutes réponses à mes nombreuses interrogations.

Thanks to all the information, the many documents collected from Queen-Marie Paris, her niece 
and biographer.
Thank you also to the kind documentators of the Rodin museum who gave me all answers to 
my many questions.

 

 

Portrait de Camille Claudel par César en 1884 (Papier albuminé)

Portrait of Camille Claudel by Csar in 1884 (albumen paper)

 

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16 janvier 2018 2 16 /01 /janvier /2018 15:14

II, la suite des statues Cavaliers et Chevaux de Paris

Le circuit des Cavaliers et des Chevaux à Paris centre
Le circuit des Cavaliers et des Chevaux à Paris centre

Parvis de Notre-Dame de Paris. place Jean-Paul II

Charlemagne et ses Leudes :

En 1853, Louis et Charles Rochet se lancent dans la création d'un Charlemagne, à la suite de

deux autres statues équestres : Don Pedro 1er, à Rio de Janeiro et Guillaume le Conquérant à Falaise.

L’œuvre figure dans sa version en plâtre à l'exposition Universelle de 1867 et en bronze à celle de 1878 comme chef-d’œuvre de la production des fondeurs Thiébaut.

En 1879, le Conseil Municipal autorise l'exposition de la sculpture sur le parvis de Notre-Dame, mais elle n'est mis en place qu'en 1882 sur un châssis de bois recouvert de toile et demeure dans ses conditions provisoires pendant vingt-six ans. En 1895, la Ville de Paris acquiert finalement le monument en dédommageant les fondeurs du seul prix du bronze.

En ajoutant les deux figures en pied d'écuyers Roland et Olivier, les frères Rochet enrichissent la forme traditionnelle du groupe équestre en multipliant les axes de composition et les points de vue. L'intérêt du monument réside aussi dans sa recherche de vérité historique, reproduisant fidèlement des modèle supposé originaux, comme l'épée Durandal du musée de Madrid ou la couronne de Nuremberg conservée à Vienne.

L'Hôtel de Ville de Paris et la statue équestre d'Etienne Marcel

L'Hôtel de Ville de Paris et la statue équestre d'Etienne Marcel

1341, quai de L'Hôtel de Ville 75004 Paris

Statue équestre d'Étienne Marcel :

En 1882, un concours est ouvert pour l'érection d'un monument à Étienne Marcel, prévôt des

marchands de Paris qui s'opposa au dauphin Charles V.

Pour les élus parisiens, l'hommage rendu au défenseur du pouvoir municipal face aux abus de la royauté rappelle le rôle exemplaire de la Capitale dans la naissance des nouvelles institution et célèbre symboliquement, dans un même monument Paris et sa République.

Le projet suscite de nombreux débats : certains élus préférant une figure debout, image d'un tribun, plutôt qu'un groupe  équestre au caractère royal ou militaire; de même, le côté de l'Hôtel de Ville est préféré à l'axe central de la façade car il permet une perception de profil du monument, plus favorable au groupe équestre.

Commencée par le sculpteur Idrac et terminée par son compatriote toulousain Marquestre, l’œuvre présente un équilibre de proportion, une puissance d'expression mêlée de vérité naturelle,  nettement inspirée des grands modèle de la Renaissance italienne. S'y ajoutent ici une volonté de reconstitution archéologique et un réalisme presque sévère, conformes au goût de l'époque.

 

Le Pont Neuf et la statue équestre d'Henri IV

Le Pont Neuf et la statue équestre d'Henri IV

La statue équestre d'Henri IV :

 

Le circuit des Cavaliers et des Chevaux à Paris centre
Le Génie des Arts

Le Génie des Arts

Le Génie des Arts, guichets du Carrousel du Louvre :

Le sculpteur toulousain Antonin Mercié exécuta en 1877 ce groupe destiné à remplacer aux guichets du Carrousel la statue équestre de Napoléon III de Barye, déposé après la défaite de Sedan.

Le dynamisme de la composition, le Génie des Arts descend de Pégase, cabré vers le ciel, précédé de la Renommée qui se retourne devant lui, rattache cette œuvre au courant baroque de la seconde moitié du XIXème siècle  hantée par les chevaux de Marly, qui multipliera les figures lancées dans le vide, chevaux haletant et pégases cabrés, dans une exubérance qui va des couronnements de l'Opéra à ceux du Pont Alexandre III ou du Grand Palais.

Images du 29 janvier 2018 Guichets du Louvre côté Seine

Images du 29 janvier 2018 Guichets du Louvre côté Seine

La Paix conduite sur un char de triomphe
La Paix conduite sur un char de triomphe

La Paix conduite sur un char de triomphe

Arc de Triomphe du Carrousel, Paris 75001

La paix conduite sur un char de triomphe :

Monument à la gloire de la Grande Armée, l'arc de Triomphe du Carrousel est édifiée entre 1806 et 1809 à l'entrée de l'ancien Palais des Tuileries, devenu résidence officielle de l'Empereur.

Dessiné par les architectes Percier et Fontaine à l'imitation de l'arc de Septime-Sévère de Rome, le monument comporte une abondance décoration sculptée, conçue par Vivant Denon, illustrant la campagne de 1805 et la capitulation d'Ulm.

Au sommet de l'arc se détachaient initialement les chevaux de Saint-Marc, célèbre antiques provenant de l'Hippodrome de Constantinople, rapportés d'Italie par les troupes napoléoniennes.

La Restauration restitua à Venise ses chevaux et commanda au sculpteur François-Joseph Bosio un nouveau char triomphal, accompagné de Victoires aillées et conduit par la Paix, dont la rigueur classique évoque en tous points son modèle antique.

François-Joéeph Bosio est aussi l'auteur de Louis xiv de la place de la Victoire, qui montre le Roi Soleil en empereur romain sur un cheval cabré.

La statue de Jeanne d'Arc place des Pyramides

La statue de Jeanne d'Arc place des Pyramides

La statue de Jeanne d'Arc place des Pyramides :

La statue est située au centre de la place des Pyramides; dans le1er arrondissement de Paris. Son emplacement se situe à proximité du lieu où Jeanne d'Arc aurait été blessée lors de sa tentative ratée de prise de Paris.

Historique :

Le monument est une commande du gouvernement français faisant suite à la défaite du pays dans la guerre franco-Allemande de 1870. Parmi les 150 statues érigées à Paris au cours de la période 1870-1914, qualifiée d'« âge d'or de la statuomanie », celle de Jeanne d'Arc est l'unique commande publique passée par l'État (les autres étant dues à des initiatives privées)3. La symbolique de la statue est « la reconquête ».

Elle est exécutée par Emmanuel Fremiet, qui prend comme modèle Aimée Girod, une jeune Lorraine de 18 ans, et inaugurée en 1874. Le piédestal est dessiné par l'architecte Paul Abadie et la grille élaborée par Gabriel Davioud protège celui-ci. Cette statue de bronze est fondu par la Fonderie Thiébaut Frères.

Une autre version de la statue, financée par le mécène Osiris, est exécutée en 1889 par Frémiet pour la ville de Nancy sur la place Lafayette. Le cheval est réduit de taille, en 1899. Frémiet remplace le cheval de Paris par le modèle de Nancy, ce qui provoque une polémique.

La version de Frémiet de Jeanne d'Arc à cheval est reproduite en de nombreux exemplaires, on la retrouve entre autres àLIlle, Compiègne, Saint-Etienne, La Nouvelle-Orléans, Philadelphie, Portland et Melbourne.

Le monument fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis  le 31 mars 1992.

 

Les Chevaux de Marly :

Les Chevaux de Marly au musée du LouvreLes Chevaux de Marly au musée du Louvre

Les Chevaux de Marly au musée du Louvre

Place de la Concorde Paris 75008

Les Chevaux de Marly furent commandés en 1739 par Louis XV au sculpteur Guillaume

Coustou, pour orner «l'abreuvoir de Marly » situé à l'entrée du parc du château de Marly, afin de remplacer deux groupes sculptés. Ceux-ci, Mercure à Cheval sur Pégase et La Renommée à Cheval sur Pégase d'Antoine Coysevox avaient en effet été déplacés en 1719 dans le jardin des Tuileries. Les modèles sont choisis par le roi en 1743 et furent installés à Marly en 1745, après seulement deux ans de travail.

En 1794, ils sont transférés place de la Concorde. Restaurés en 1840 par Louis-Denis Caillouette (1790-1868).

En 1984 notamment en raison du fait que le défilé des blindés du 14 juillet les fragilisait, ils sont remplacés par des copies en marbre reconstitué réalisées par Michel Bourbon dans l'atelier d'une filiale de Bouygues. Ce dernier en profite pour demander le droit d'en réaliser une copie supplémentaire qui est placée au siège social de Bouygues Construction. Les originaux sont conservés au Musée du Louvre  dans une ancienne cour de l'aile Richelieu transformée en patio, appelée la cour Marly.

Musée du Louvre 29 janvier 2018Musée du Louvre 29 janvier 2018
Musée du Louvre 29 janvier 2018Musée du Louvre 29 janvier 2018

Musée du Louvre 29 janvier 2018

Parc de MarlyParc de Marly

Parc de Marly

Les cavaliers de la place de la Concorde côté jardin des Tuileries

Les cavaliers de la place de la Concorde côté jardin des Tuileries

Le chateau de Marly, peinture

Le chateau de Marly, peinture

Photographie ancienne des Chevaux de Marly

Photographie ancienne des Chevaux de Marly

Statue équestre d'Albert 1er, roi des belges

Statue équestre d'Albert 1er, roi des belges

Cour de la Reine, Paris 75008 :

 

La statue équestre d'Albert 1er, roi des belges :

 

Le roi des belges, refusant d’accorder le passage dans son pays à l’armée allemande, rejoignit les troupes alliées. Lorsqu’il mourut dans un accident, les Français manifestèrent leur tristesse en lançant une souscription pour un portrait équestre, exécuté par le sculpteur Armand Martial.

 

 

Latitude : 48.864585

Longitude : 2.318271

Statue équestre de La FayetteStatue équestre de La Fayette

Statue équestre de La Fayette

Cours de la Reine, Paris 75008

La statue équestre du général La Fayette :

Un Américain du nom de Robert Thompson, souhaitant remercier la France pour la statue de la Liberté offerte aux américains, ouvrit une souscription auprès des écoliers américains afin d'ériger une statue à la gloire du général La Fayette.

La France agrée le projet en 1899, le sculpteur choisi est l'américain Paul Wayland Barllett  (1865-1925). On lui donne comme délai l'exposition universelle de 1900.

En raison du délai trop court, le sculpteur réalise un modèle en plâtre. L'inauguration a lieu le 4 juillet 1900, jour anniversaire de l'indépendance américaine. La statue est installée dans la cour Napoléon du Louvre.

Par la suite, le sculpteur doit réaliser la statue en bronze, mais il n'est pas satisfait de son œuvre. Il remplace le costume Louis XVI par un costume de l'époque révolutionnaire. Il supprime la perruque et le tricorne le faisant apparaitre tête nue. L'épée qu'il tenait par le fourreau est présentée dégainée lame vers le haut.

 
La tortue au pied de la statue :

Ce n'est qu'en 1908 que la statue en bronze remplace le projet en plâtre.

En raison des travaux pour l'aménagement de la pyramide du Louvre la statue est transportée à son emplacement actuel le 10 avril 1985. Mais installée entre deux rangées d'arbres tout

proches, elle ne dispose pas d'un recul suffisant pour être bien observée.

 

Comme pour se moquer de lui-même et de sa lenteur, le sculpteur a fait apparaître une petite tortue sous les jambes du cheval du côté gauche.

 

Lien Wikipédia : Paul Wayland Bartlett

En savoir un peu plus sur le général La Fayette (Gilbert du Motier de La Fayette) lien Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gilbert_du_Motier_de_La_Fayette

La statue équestre de La Fayette

La statue équestre de La Fayette

La statue équestre de Simon Bolivar

La statue équestre de Simon Bolivar

Cours de la Reine Paris 75008

La statue équestre de Simon Bolivar  (Simón Bolívar) :

La statue est la quatrième copie de l'œuvre du sculpteur français Emmanuel Frémiet, commandée au début du XXe siècle par la ville de Bogota en Colombie. La copie est offerte en 1930 par les républiques d'Amérique latine lors du centenaire de la mort de Simón Bolívar. Deux autres copies sont érigées à Barranquilla en Colombie et La Paz en Bolivie.

Installée à l'origine place de la Porte de Champerret, la statue est déplacée sur le cours la Reine en 1980.

 

Les statues équestres de Simon Bolivar : https://fr.wikipedia.org/wiki/Statue_%C3%A9questre_de_Sim%C3%B3n_Bol%C3%ADvar

Le circuit des Cavaliers et des Chevaux à Paris centre

Place du Canada Paris 75008

Le Monument du Corps expéditionnaire russe

Situé place du Canada dans le 8ème arrondissement, à proximité du Grand Palais, ce monument réalisé par l’artiste russe Vladimir Sourovtsev porte cette inscription en français et en russe :

En 1916, à la demande des Alliés, la Russie envoya en France deux brigades spéciales du corps expéditionnaire russe. Plus de 20 000 hommes participèrent aux opérations militaires en Champagne. Plus de 5 000 d'entre eux, soldats et officiers russes, perdirent la vie sur les champs de bataille français.

"A la mémoire des soldats et officiers du corps expéditionnaire russe qui ont combattu sur le sol français entre 1916 et 1918

La France et la Russie reconnaissance"

 

Le circuit des Cavaliers et des Chevaux à Paris centreLe circuit des Cavaliers et des Chevaux à Paris centre
La Renommée au Combat (1897/1900) Pierre Granet rive gauche, amont et La Renommée de la Guerre (1897/1900) Clément Steiner rive gauche, aval.La Renommée au Combat (1897/1900) Pierre Granet rive gauche, amont et La Renommée de la Guerre (1897/1900) Clément Steiner rive gauche, aval.

La Renommée au Combat (1897/1900) Pierre Granet rive gauche, amont et La Renommée de la Guerre (1897/1900) Clément Steiner rive gauche, aval.

La Renommée de l'Agriculture (1897/1900) Emmanuel Fremiet rive droite, aval et La Renommée des Arts (1897/1900) Emmanuel Fremiet rive droite, amont.La Renommée de l'Agriculture (1897/1900) Emmanuel Fremiet rive droite, aval et La Renommée des Arts (1897/1900) Emmanuel Fremiet rive droite, amont.

La Renommée de l'Agriculture (1897/1900) Emmanuel Fremiet rive droite, aval et La Renommée des Arts (1897/1900) Emmanuel Fremiet rive droite, amont.

Les statues du pont Alexandre III : http://www.histoires-de-paris.fr/statues-pont-alexandre-iii/

Toutes autour du pont, visible de loin sur les pylônes !

Dorées, accompagnées chacune par Pégase, les renommées mettent en valeur quatre thèmes habituels du statuaire urbain :

  • la Renommée au Combat et de la Guerre, côté rive gauche,
  • la Renommée de l'Agriculture et des Arts, côté rive droite.
Les quadriges du Grand Palais : "L'Harmonie triomphant de la Discorde" et "L'Immortabilté devançant le Temps"Les quadriges du Grand Palais : "L'Harmonie triomphant de la Discorde" et "L'Immortabilté devançant le Temps"

Les quadriges du Grand Palais : "L'Harmonie triomphant de la Discorde" et "L'Immortabilté devançant le Temps"

 

Les quadriges de Georges Récipon au Grand Palais

Les corps d'angle de la façade principale du Grand Palais convergent vers un élément

essentiel : les quadriges de Récipon. Ces deux sculptures en cuivre, aux inspirations baroques, ont été imaginées par Georges Récipon, également auteur d'une partie des décors du pont Alexandre-III. Les deux groupes représentent "L'Harmonie triomphant de la Discorde" côté Seine, et "L'Immortalité devançant le Temps" côté Champs-Élysées. Chefs-d'œuvre de légèreté, malgré leur poids de douze tonnes, les chevaux semblent s'élancer dans le ciel de Paris, à 30 mètres au-dessus du sol.

Abîmés par le temps, les quadriges font partie des priorités lors de la première phase des travaux de restauration du Grand Palais. Ils sont déposés pièce par pièce entre juillet et septembre 2001. D'abord stockés dans la Nef, ils sont ensuite transportés dans les ateliers de la Socra à Périgueux. Restaurés au cours de l'année 2003, les quadriges retrouvent leur place en 2004, ainsi que leur  belle patine verte grâce à une oxydation accélérée.

Photographie ancienne du Grand Palais

Photographie ancienne du Grand Palais

 

Documentation et sources :

"Les Balades du patrimoine : un nouveau regard sur le Patrimoine parisien" de Notre-Dame au Grand Palais. Mairie de Paris. Fiche N° 07.

Site Wikipédia, Paris 1900, anciennes cartes postales

Voir aussi Les statues équestres de Paris lien Wikipédia :https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_statues_%C3%A9questres_de_Paris

Voir aussi autre article du blog, La statue équestre du Maréchal Foch : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2018/01/les-statues-de-paris-les-cavaliers.html

Le cirque d'Hiver Bouglione à Paris (statues équestres de la façade) : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2017/12/le-cirque-d-hiver-a-paris.html

 

Bonne visite !

 

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13 décembre 2016 2 13 /12 /décembre /2016 10:12

Top articles du blog : 

Statistiques du jour : 322 articles, 189 pages supplémentaires. 314.000 pages vues .

Bonnes visites ! Des idées de balades et de voyages !

http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/top

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2 février 2016 2 02 /02 /février /2016 08:47
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris

Quelques mots sur la jeunesse de Frédéric Chopin en Pologne :

La maison natale de Frédéric Chopin

Frédéric Chopin quite la Pologne le 2 novembre 1830 avant l'insurrection polonaise contre l'invasion russe. Il a parlé à ses amis de rester et de lutter avec les membres de l'insurection, mais, vu son état de santé précaire, ceux-ci lui déconseillent.

Il a 20 ans.

 

L’œuvre immense de Chopin :

Frédéric Chopin conçoit et enseigne une nouvelle technique de piano, respiration grâce au rubato, multiplication des silences dans les partitions, mouvement souple du poignet.

Frédéric Chopin à Paris :

Le Salon Chopin :

Exilé à Paris en 1831, Frédéric Chopin y résidera jusqu’à sa mort. Il y sera le pianiste légendaire du Salon Pleyel, le compositeur des célèbres polonaises, mazurkas, ballades et valses.

Le salon romantique de Chopin fait revivre l’atmosphère de l’époque et fait ressurgir la ­figure de l’artiste. Orné de portraits de Chopin et de ses proches (Georges Sand, Julien Fontana, Wojciech Grzymała) et de tableaux de l’époque (comme la Polonaise de Chopin dansée à l’Hôtel Lambert par Teofil Kwiatkowski), le Salon réunit des objets personnels de l’artiste : lettres, photographies, manuscrits de partitions, fauteuil provenant de son dernier appartement place Vendôme. Quelques œuvres saisissantes commémorent la mort du pianiste : le moulage en plâtre de sa main, son masque mortuaire réalisé par Auguste (Jean-Baptiste) Clésinger, son portrait sur son lit de mort... Au sein de cette recréation du monde intime de Chopin, un piano Pleyel de l’époque nous fait réentendre des accords célébrés dans le monde entier.

Les lieux d'habitation de Frédéric Chopin à Paris :

Par ordre chronologique :

  1. 1831-1832 : 27, boulevard Poissonnière,75002 Paris, 5ème étage,
  2. 1832-1833 : 4, cité Bergère, 75009 Paris,
  3. 1833-1836 : 5, rue de la Chaussée d’Antin, Hôtel d’Epinay, 75009 Paris, disparu,
  4. 1836-1839 : 38, rue de la Chaussée d’Antin, 75009 Paris, disparu,
  5. 1839-1841 : 5, rue Tronchet, 75009 Paris (5ème étage), octobre 1839 à novembre 1841,
  6. 1841 : 16, rue Pigalle (un des deux pavillons d’été),75009 Paris, loués par Georges Sand, détruit,
  7. 1842-1849 : 9, square d’Orléans, Cité des Trois Frères, 80, rue Taitbout, 36, rue Saint Lazare,75009 Paris, 1er étage, sauf 1848 en G.-B. au N°5, George Sand, rupture en 1847,
  8. 1849 : 74, rue de Chaillot (maison neuve au 2éme étage), 75016, à l'emplacement actuel de la place du Trocadéro, détruite, Il quittera ce domicile dix semaines plus tard,
  9. 1849 12, place Vendôme . 75002 Paris, appartement sur cour au 1er étage.Sa soeur Ludwika arrive de Pologne à sa demande et s'installe avec lui, fin septembre 1849. Cet appartement est sa dernière demeure. Il y meurt le 17 octobre à 2 heures du matin, à l'age de 39 ans, après une semaine de sereine agonie. Ce fut le dernier de ses neuf domiciles parisiens.

L'Hôtel Chopin dans le passage Jouffroy :

 

Ce passage est construit sur une ancienne voie moyenâgeuse, qui existe toujours, ce sont les sous-sols ! Quelques mètres sous les pas des touristes, se trouve la même galerie exactement, desservant les caves de toutes les boutiques du passage. On y retrouve les marches qui descendent dans la deuxième partie du passage et le fameux système de chauffage par les grilles au sol. Les pavés de cette rue souterraine prouvent l’ancienneté de cette voie au-dessus de laquelle fût construit le passage Jouffroy.

 

L’hôtel Chopin date lui aussi de l’ouverture du Passage en 1846, cela fait de lui l’un des plus vieux hôtels de la capitale. En effet, les hôtels étaient très peu nombreux à Paris avant le développement des transports en train.

 

A l’époque nommé hôtel des familles, sa porte n’a jamais été fermée depuis 1846, elle n’a d’ailleurs pas de serrure! Il y a donc une personne à la réception depuis cette date, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24. Soit un total de 61 320 jours d’ouverture pour l’hôtel Chopin !

 

La façade est classée Monument Historique ainsi que le reste du passage.

 

Renommé Hôtel Chopin en 1970, son nom est un hommage au compositeur qui passait régulièrement dans le passage pour se rendre dans les salles de démonstration des pianos Pleyel depuis chez lui. La légende dit qu’il donnait rendez-vous à Georges Sand à l’Hôtel Chopin, mais cela n’a jamais été vérifié…

Le Passage Jouffroy et l'Hôtel Chopin, photographies : René et ArletteLe Passage Jouffroy et l'Hôtel Chopin, photographies : René et Arlette

Le Passage Jouffroy et l'Hôtel Chopin, photographies : René et Arlette

Note : le passage Jouffroy est actuellement en travaux (juin 2019) ces derniers vont durer au moins jusqu'en septembre 2019, sinon plus.

La dernière habitation de Frédéric Chopin : la place Vendôme où il rend son dernier soupir.

La dernière habitation de Frédéric Chopin : la place Vendôme où il rend son dernier soupir.

Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris

L'église de la Madeleine : 3.000 personnes assistent aux obsèques solennelles du compositeur, le 30 octobre 1849 à 11 heures, dans l'église récemment consacrée. On y joue la Marche Funèbre quand le corp embaumé remonte de la crypte où il repose depuis sa mort. Puis, les grandes orgues grondent ses préludes en mi mineur avant que ne retentissent le Requiem de Mozart interprété par l'orchestre et les choeurs de la Société des Concerts du Conservatoire, avec Pauline Verdot comme soliste

Le tableau d'Eugène Delacroix avec George Sand et Frédéric Chopin. Les 2 portraits furent séparés

Le tableau d'Eugène Delacroix avec George Sand et Frédéric Chopin. Les 2 portraits furent séparés

Le Musée de la Vie Romantique :

Ce petit musée blotti dans une allée charmante du quartier de la Nouvelle Athènes possède quelques objets de Frédéric Chopin et George Sand.

Entre autres les dendrites de George Sand, peinture à la gouache, le moulage de son bras réalisé par le mari de son fille, Auguste (Jean-Baptiste) Clésinger. Ce sculpteur réalisera aussi le moulage de la main de Frédéric Chopin, le masque mortuaire et la statue du Monument Frédéric Chopin au cimétière du Pére Lachaise sur une souscription d'Eugène Delacroix, peintre et proche du compositeur

Ce musée a été la résidence du peintre Ary Scheffer qui s'installa dans la rue Chaptal nouvellement ouverte et aménagea autour de son petit hôtel un atelier et un jardin d'hiver avec fontaine et rocaille. Peintre d'histoire et habile portraitiste, Ary Scheffer recevait dans ces lieux toute la société artistique et littéraire de son temps : Frédéric Chopin et George Sand, ses voisins du square d'Orléans, Franz Liszt et Pauline Viardot, Lamennais et l'historien Augustin Thierry.

Le Musée de la Vie Romantique à Paris

Le Musée de la Vie Romantique à Paris

Moulage de la main et du bras de George Sand, de Frédéric Chopin. Portrait de l'écrivain au centreMoulage de la main et du bras de George Sand, de Frédéric Chopin. Portrait de l'écrivain au centreMoulage de la main et du bras de George Sand, de Frédéric Chopin. Portrait de l'écrivain au centre

Moulage de la main et du bras de George Sand, de Frédéric Chopin. Portrait de l'écrivain au centre

Le Musée de la Vie Romantique. Mèche de cheveux de George Sand. Autoportrait d'Auguste Clésinger

Le Musée de la Vie Romantique. Mèche de cheveux de George Sand. Autoportrait d'Auguste Clésinger

Dans ce charmant musée dont le nom évoque l'état d'esprit de cette période, on peut admirer des souvenirs du sculpteur Auguste Clésinger, mari de la fille d'Aurore Dupin, dite George Sand, qui réalisa les moulages du bras de sa belle-mère, du célèbre compositeur et dont on peut voir l'autoportrait en marbre blanc. Cet artiste réalisa aussi le monument Chopin au cimetière du Pére Lachaise, suite à une souscription d'Eugène Delacroix (voir plus bas).

Les concerts de Frédéric Chopin à Paris et en Europe :

Quelques dates sont incertaines

1832, 26 février, Salons Pleyel, Paris :

Chopin joue son Concerto pour piano en mi mineur, ses Variations op. 2 et la Polonaise pour six pianos de Kalkbrenner avec le concours d'autres solistes.

1832, 20 mai, Société des Concerts du Conservatoire, Paris :

Concert de bienfaisance, organisé par le prince de la Moskova. Chopin joue l'allegro du Concerto en mi mineur.

1833, 2 avril, Théâtre des Italiens, Paris :

Concert organisé par Berlioz au profit de Harriet Smithson. Chopin et Liszt jouent la Sonate en fa mineur à quatre mains d'Onslow.

1833, 3 avril, Salle du Vauxhall ? :

Chopin joue avec Liszt et les frères Herz.

1833, 15 décembre, Salle du Conservatoire :

Chopin joue avec Liszt et Hiller l'allegro du Concerto en ré mineur pour trois pianos de Jean-Sébastien Bach.

1834, 14 décembre, Salle du Conservatoire :

Concert Berlioz. Chopin joue le mouvement lent d'un de ses Concertos.

1834, 25 décembre, Salons Pleyel :

Concert organisé par François Stoepel, avec Chopin et Liszt (piano), Heinrich Ernst (violon) et Sabine Heinefetter (chant). Chopin et Liszt jouent la Grande Sonate en mi bémol majeur de Moscheles et le Grand Duo de Liszt d'après une Romance de Mendelssohn.

1835, 25 février Salons Erard :

Chopin joue avec Hiller le Duo pour deux pianos op. 135 de ce dernier.

1835, 15 mars Salons Pleyel :

Concert auquel, outre Chopin, prêtent leur concours Hiller, Osborne, Stamaty, les frères Hertz, etc. Compte rendu dans Le Ménestrel du 22 mars.

1835, 5 avril Théâtre des Italiens :.

Concert au profit des émigrés polonais, avec le concours de Liszt et d'autres artistes. Chopin joue son Concerto en mi mineur, et, avec Liszt, le Duo de Hiller.

1835, 26 avril Société des Concerts du Conservatoire :

Concert au bénéfice de Habeneck. Chopin joue pour la première fois son op. 22 : la Grande Polonaise brillante précédée d'un Andante spianato.

1837, 30 mars Chez la duchesse Belgiojoso :

Six pianistes, Liszt, Chopin, Pixis, Thalberg, Czerny et Herz, improvisent sur la marche des Puritains de Bellini : leurs variations seront publiées en 1839 sous le titre Hexaméron.

1838, 25 février ? Tuileries, Paris :

Concert devant la cour royale.

1838, 3 mars Salle du Conservatoire :

Chopin participe au concert de Charles-Valentin Alkan et joue avec lui, Zimmerman et Gutmann une transcription pour deux pianos à huit mains de l'allegretto et du finale de la 7e Symphonie de Beethoven.

1838, 12 mars Grande Salle de l'Hôtel de ville, Rouen :

Concert au bénéfice d'Antoine Orlowski (violoniste et chef d'orchestre). Chopin joue le Concerto en mi mineur

1839, 24 avril Église Notre-Dame-du-Mont, Marseille :

Chopin tient l'orgue à la messe de requiem pour le ténor Adolphe Nourrit. À l'Élévation, il joue le lied de Schubert Die Gestirne (« L'Astre »), qui avait été un grand succès du chanteur.

1839, 29 octobre, Saint-Cloud :

Chopin et Moscheles devant la cour royale. Chopin joue des Études et des Nocturnes, et tous deux à quatre mains exécutent la Sonate en mi bémol majeurde Moscheles.

1841, 26 avril, Salons Pleyel :

Chopin joue la 2e Ballade, le 3e Scherzo, des Préludes, des Études, des Mazurkas et des Nocturnes. Il accompagne le violoniste Ernst et la cantatrice Laure Damoreau-Cinti.

1842, 21 février, Salons Pleyel :

Chopin joue la 3e Ballade, l'Impromptu en fa dièse majeur, le Prélude en ré bémol majeur, l'Andante spianato, trois Mazurkas, quatre Nocturnes (dont ceux en ré bémol majeur et en fa dièse mineur) et trois Études de l'op. 25 (n° 1, 2 et 12). Auguste Franchomme et Pauline Viardot participent au concert.

1848, 16 février, Salons Pleyel :

Avec le concours de Franchomme et d'Alard. Au programme : la Sonate pour piano et violoncelle (sans le 1er mouvement), la Berceuse et la Barcarolle, quelques Études, Préludes, Mazurkas et Valses ; et le Trio en sol majeur de Mozart.

La fin de vie de Frédéric Chopin:

Le compositeur s'installe au 12, place Vendôme à l'automne 1849, dans un confortable appartement donnant sur la cour plein sud. Sa santé décline irrémédiablement. Il avait demandé la présence de sa soeur Ludwika. Venue de Pologne, cette dernière l'assistera jusqu'à la fin de sa vie.

En octobre, il ne peut à peine se soutenir, il ne peut plus, ni jouer du piano, ni composer et "cherche à se faire comprendre par des signes" (Hector Berlioz). Tous ses amis et admirateurs se pressent pour le saluer et l'entourer de leur affection. Guttman, élève et fidèle garde-malade est obligé d'y mettre bon ordre.

Le 15 octobre, la comtesse Delphine Potocka, grande amie de Chopin, fait rouler le piano jusqu'au lit du compositeur mourrant pour lui chanter des psaumes de Marcello.

Le 17 octobre, à deux heures du matin, Chopin rend son dernier soupir.

 

Quelques jours plus tard, en rangeant ses papiers, on retrouvera à l'intérieur de sa veste, s'échappant de son almanach 1849, une lettre et une mèche de cheveux de George Sand, son unique amour.

 

Le Monument Chopin au cimetière du Père-Lachaise :

Le monument et la tombe de Frédéric Chopin, toujours fleuri par la communaute polonaise et ses amis

Le monument et la tombe de Frédéric Chopin, toujours fleuri par la communaute polonaise et ses amis

L'arbre généalogique de Frédéric Chopin

L'arbre généalogique de Frédéric Chopin

Les portraits de Frédéric Chopin
Les portraits de Frédéric Chopin
Les portraits de Frédéric Chopin
Les portraits de Frédéric Chopin
Les portraits de Frédéric Chopin
Les portraits de Frédéric Chopin
Les portraits de Frédéric Chopin
Les portraits de Frédéric Chopin

Les portraits de Frédéric Chopin

Pauline Viardot en Sainte-Cécile, cantatrice, chantera le Requiem de Mozart aux obsèques de Frédéric Chopin. Huile d'Ary Scheffer, Musée de la Vie Romantique

Pauline Viardot en Sainte-Cécile, cantatrice, chantera le Requiem de Mozart aux obsèques de Frédéric Chopin. Huile d'Ary Scheffer, Musée de la Vie Romantique

masque mortuaire de F. Chopin

Le monument Frédéric Chopin au parc Monceau , Paris 17ème arrondissement:

Le parc Monceau : Frédéric Chopin et sa muse, marbre blanc

Le parc Monceau : Frédéric Chopin et sa muse, marbre blanc

Le Monument à Frédéric Chopin (1906) au Parc Monceau  de Jacques Froment-Meurice (1864-1948)

Le musicien Frédéric Chopin (1810-1849) est assis devant son piano avec, près de lui, l'Harmonie et la Nuit. Le composition joue au piano la Marche Funèbre.

Le monument à Frédéric Chopin resta longtemps à l’état de projet. Les deux souscriptions de 1895 et 1899 réussirent avec difficulté à rassembler les fonds nécessaires pour son exécution. C’est dans ce contexte que le sculpteur Georges Dubois proposa un projet concurrent, moins dispendieux et dont une partie subsiste au jardin du Luxembourg. Ce second projet divisa les membres du comité de souscription et retarda encore l’exécution du monument de Froment-Meurice. Faute d’argent, l’inauguration eut lieu dans le jardin du sculpteur et le monument ne fut installé dans le parc qu’en 1906. La sculpture de Jacques Froment- Meurice représente Chopin au piano, composant la marche funèbre. Aux pieds du musicien pleure la figure de la douleur, tandis que dans le fond, un ange répand des fleurs en s’élevant. Jacques Froment-Meurice (1864-1948) était issu d’une famille d’orfèvres renommés. Sculpteur et graveur en médaille, il collabora avec son père à la réalisation de pièces d’orfèvrerie. Le plâtre original du monument du Parc Monceau est conservé à Paris, dans le jardin d’hiver du musée de la Vie romantique.

Emplacement du monument Frédéric Chopin au parc Monceau

Emplacement du monument Frédéric Chopin au parc Monceau

Les circuits "Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris" 1831 à 1849

Quelques promenades découvertes à pied dans des beaux quartiers de Paris

Circuit 1 : de l'Ile Saint-Louis au départ du Métro. Pont Marie au Palais Royal :

Circuit Ile-Saint-Louis métro. Pont-Marie Palais-Royal au Palais Royal 2,925 kilomètres 1 H 30

Circuit Ile-Saint-Louis métro. Pont-Marie Palais-Royal au Palais Royal 2,925 kilomètres 1 H 30

Circuit 2  : des Halles, église Saint-Eustache aux Grands Boulevards, en passant par les galeries du Palais-Royal et les passages et galeries Véro-Dodat et des Panoramas

Circuit Châtelet-les-Halles-Grands Boulevards, départ Châtelet, de église Saint-Eustache.

Circuit Châtelet-les-Halles-Grands Boulevards, départ Châtelet, de église Saint-Eustache.

Circuit 3 : des grands Boulevards à la Gare Saint-Lazare, en passant par la Nouvelle Athènes, les résidences de Frédéric Chopin, de George Sand et le Musée de la Vie Romantique, gratuit, sauf l'exposition temporaire, 7 kilomètres, 3 H 30 environ.

Au coeur du IXème arrondissement dans le quartier de la Nouvelle Athènes

Au coeur du IXème arrondissement dans le quartier de la Nouvelle Athènes

Circuit 4: de la gare Saint-Lazare à la place de la Concorde en passant par la Madeleine, la place Vendôme et le jardin desTuileries, 3,06 kilomètres, 2 heures environ.

Circuit Saint-Lazare-Concorde

Circuit Saint-Lazare-Concorde

Circuit court N° 5 : la sépulture et le Monument Frédéric Chopin au cimetière du Père Lachaise, au départ du métro éponyme.

Entrée du Père Lachaise :15, boulevard de Mesnilmontant (plan à l'entrée du cimetière, à gauche), XIème division : 2 kilomètres aller et retour, 1 heure enriron.

Le cimetière du Père Lachaise, plan

Le cimetière du Père Lachaise, plan

Quelques dessins et aquarelles personnelles :

Aquarelle et lavis à l'encre 2016 : George Sand et Frédéric Chopin, d'après des peintures ou photographie d'époque

Aquarelle et lavis à l'encre 2016 : George Sand et Frédéric Chopin, d'après des peintures ou photographie d'époque

Les posts du blog :

Un post d'un lecteur fan de Frédéric Chopin :  Le paradis, je sais ce que c'est, j'y vais de temps en temps en écoutant la musique de Chopin, notamment -, car je crois qu'il s'agit bien de pièces de Chopin, corrigez-moi si je me trompe - jouée par la gracile, gracieuse et ineffable Shio Okui. . Surtout des choses comme cela. Plus je l'écoute, et plus cela me transporte.

 

Les liens YouTube :


https://youtu.be/rUpZvRKfdvk?t=408

Шио Окуи Шопен 12 прелюдий

 

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=7sJu4mp6jvA

Shio Okui (10)_Chopin Etude Op.10-5 "Black Keys" ショパン 黒鍵のエチュード

 

 

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=iRrlhKVq2Fk

幻想即興曲 ショパン 8才 Chopin Fantaisie Impromptue : 8 years old girl

 

 

 

 

Les 24 Préludes : partitions intégrales à suivre au fur et à mesure

https://www.youtube.com/watch?v=SqXYIteAfNs

 

Chopin: 24 Préludes, Op.28 (Blechacz)

 

Les 4 balades : partitions intégrales à suivre au fur et à mesure

Chopin: 4 Balades (Zimerman)

 

Une visite du circuit "Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris IXème"

avec l'association Ami-Cal le 12 juin 2019, au départ de la Cour du Havre gare Saint-Lazare.

Le départ de la balade devant la sculpture de bronze d'Arman "L'heure de tous" 1985.

Voir article du blog Arman et ses oeuvres de la gare Saint-Lazare : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2016/08/arman-et-ses-oeuvres-cour-de-rome-et-cour-du-havre-paris-saint-lazare.html

L'architecture du quartier de la Nouvelle Athène, Paris IXème arrondissement :

Sur les traces de Frédéric Chopin à ParisSur les traces de Frédéric Chopin à ParisSur les traces de Frédéric Chopin à Paris
L'église de la Sainte-Trinité, montage du 12 juin 2019

L'église de la Sainte-Trinité, montage du 12 juin 2019

L'église Notre-Dame de Lorette, montage du 12 juin 2019

L'église Notre-Dame de Lorette, montage du 12 juin 2019

Le musée Gustave Moreau :

Le Musée Gustave Moreau et sa façade; ancien atelier du peintre

Le Musée Gustave Moreau et sa façade; ancien atelier du peintre

Le Square d'Orléans et sa fontaineLe Square d'Orléans et sa fontaineLe Square d'Orléans et sa fontaine
Le Square d'Orléans et sa fontaine

Le Square d'Orléans et sa fontaine

Le square d'Orléans, entrée 80, rue Taitbout 75009 Paris

A la fin de juillet 1842, Frédéric Chopin et George Sand quittent Nohant, dans le

Berry, pour rechercher une maison à Paris. Charlotte Marliani, l'épouse du consul d'Espagne, leur avait signalé un nouveau lieu calme dans Paris, le Square d'Orléans, bâti autour d'une vaste cour, dans le quartier que l'on nomme "La Nouvelle Athènes". Séduits pour ce quartier, ils signent deux baux, George

habite au premier étage du N°5 et Frédéric au N°9, où il dispose d'un petit appartement où il peut recevoir ses élèves et "faire de la musique". Ils reviendront s'installer à la fin de l'année. Frédéric Chopin conservera cette adresse jusqu'en 1849, avant son départ pour la rue de Chaillot puis sur la place Vendôme.

La BNP Paribas du 14 rue Bergère 75009 ancien Comptoir national d'Escompte de Paris CEMP
La BNP Paribas du 14 rue Bergère 75009 ancien Comptoir national d'Escompte de Paris CEMP
La BNP Paribas du 14 rue Bergère 75009 ancien Comptoir national d'Escompte de Paris CEMP

La BNP Paribas du 14 rue Bergère 75009 ancien Comptoir national d'Escompte de Paris CEMP

Le grand hall de la banque

Photographie ancienne de la CEMP  sources site Wikipédia

Voir aussi lien article du blog : le bâtiment de la BNP Paribas  http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2019/06/l-immeuble-de-bnp-paribas-du-14-rue-bergere.html

de 1831 à 1832, Frédéric Chopin occupe un appartement situé au 27, boulevard Poissonnière, actuellement Paris 75002.

 

Avant de s'installer cité Bergère au N°4

La Cité Bergère et son entrée côté Faubourg MontmartreLa Cité Bergère et son entrée côté Faubourg MontmartreLa Cité Bergère et son entrée côté Faubourg Montmartre

La Cité Bergère et son entrée côté Faubourg Montmartre

Le N°4 de la Cité Bergère, actuellement hôtel

Le quartier de l'ancienne salle de concert du Conservatoire :

 

L'ancienne salle de concert du Conservatoire :

La salle de concert du Conservatoire est un des hauts lieux de la musique de Paris Romantique. Entre 1832 et 1838, Frédéric Chopin, malgré son aversion pour les concerts publics, s'y produisit. Mais c'est surtout dans cet endroit qu'il se rendait afin d'entendre les créations de ses contemporains. Hector Berlioz y donna ses œuvres, telle la Symphonie fantastique crée en 1830, puis Lélio, Harold en Italie, et enfin Roméo et Juliette. On pouvait encore y entendre Lizt ou Mendelssohn, sans oublier les symphonies de Beethoven sous la direction de François Habeneck.

Quoique fort restaurée, cette salle garde encore un aspect proche de celui d'origine.

 

Sur les traces de Frédéric Chopin à ParisSur les traces de Frédéric Chopin à ParisSur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Les Folies Bergère rue Bergère

Les Folies Bergère rue Bergère

Métro. Cadet Musée Le Grand OrientMétro. Cadet Musée Le Grand OrientMétro. Cadet Musée Le Grand Orient

Métro. Cadet Musée Le Grand Orient

La Place Saint-Georges :

La Place Saint-GeorgesLa Place Saint-GeorgesLa Place Saint-Georges
La Place Saint-GeorgesLa Place Saint-Georges

La Place Saint-Georges

  • Au No 28 de la place : l'hôtel de la marquise de Païva orné d'angelots, de lions, de statues de style néo-gothique et néo-renaissance (architecte Renaud, 1840). Installée ici en 1851, elle fit construire par la suite un nouveau luxueux hôtel portant son nom sur l'avenue des Champs-Elysées.

 

 

Sur les traces de Frédéric Chopin à ParisSur les traces de Frédéric Chopin à ParisSur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Le quartier de la rue des Martyrs La boutique du Père Tanguy, 14 rue ClauzelLe quartier de la rue des Martyrs La boutique du Père Tanguy, 14 rue ClauzelLe quartier de la rue des Martyrs La boutique du Père Tanguy, 14 rue Clauzel
Le quartier de la rue des Martyrs La boutique du Père Tanguy, 14 rue ClauzelLe quartier de la rue des Martyrs La boutique du Père Tanguy, 14 rue Clauzel
Le quartier de la rue des Martyrs La boutique du Père Tanguy, 14 rue ClauzelLe quartier de la rue des Martyrs La boutique du Père Tanguy, 14 rue Clauzel

Le quartier de la rue des Martyrs La boutique du Père Tanguy, 14 rue Clauzel

Le Père Tanguy : Julien-François Tanguy, dit le Père Tanguy, d'abord plâtrier, devient broyeur de couleurs chez Edouard. Il vend les pigments de couleurs aux peintres Vincent Van Gogh, Gauguin, Guillaumin, Renoir, Russel, Toulouse-Lautrec.

Le musée de la Vie Romantique :

16, rue Chaptal 75007 Paris.

L'ancienne maison du peintre Ary Scheffer est aujourd'hui dédié au souvenir de la vie romantique particulièrement riche dans ce quartier de la Nouvelle Athènes. Ce peintre, ami de la génération des artistes romantique de 1830, a laissé de beaux portraits de Frédéric Chopin.

La demeure abrite de nombreux souvenirs de George Sand, légués par Aurore Lauth-Sand, sa petite fille. Ils illustrent l'art de vivre de la décennie 1830 à 1840. Le souvenir de peintres tels Géricault, Delacroix qui croisent Chopin et George Sand, mais aussi Liszt, Rossini, Tourgueniev... est encore évoqué au sein du fastueux atelier-salon.

Le musée de la Vie Romantique fait partie des 14 musées municipaux de la Ville de Paris

 

Le musée de la Vie RomantiqueLe musée de la Vie RomantiqueLe musée de la Vie Romantique
Le musée de la Vie RomantiqueLe musée de la Vie Romantique

Le musée de la Vie Romantique

Le circuit du 12 juin 2019 (en violet) fichier gpx en cours

Le circuit du 12 juin 2019 (en violet) fichier gpx en cours

Concert Frédéric Chopin à l'Orangerie de Bagatelle

36ème Festival Chopin à Paris

du 22 juin au 14 juillet 2019

Hommage à Clara Schumann

 

Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris

Bibliographie : "George Sand Impressions et Souvenirs" de Jérôme Godeau

Paris musée Les collections de la ville de Paris Petites Capitales Histoire de l'art

Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
Sur les traces de Frédéric Chopin à Paris
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