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L'artiste

  • : Le blog de Jean-Pierre Kosinski.
  • : Présentation de l'artiste et de quelques-unes de ses promenades, de ses visites, de ses œuvres : dessins, aquarelles, lavis à l'encre et photographies
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22 octobre 2022 6 22 /10 /octobre /2022 19:20

 

La fontaine de Jean-Baptiste Camille Corot à Ville-d'AvrayLa fontaine de Jean-Baptiste Camille Corot à Ville-d'Avray
La fontaine de Jean-Baptiste Camille Corot à Ville-d'AvrayLa fontaine de Jean-Baptiste Camille Corot à Ville-d'Avray

JEAN-BAPTISTE CAMILLE COROT

(1796 - 1875) 

 

DATE : 1872-1873 | TECHNIQUE : HUILE SUR TOILE

 

Corot conservera toute sa vie la maison de Ville-d’Avray que ses parents ont achetée en 1817. Les étangs et les forêts qui l’entourent lui inspirent un nombre important de toiles.
Ville d’Avray, l’étang au bouleau devant les villas est l’une des dernières de ces pastorales intemporelles où l’héritage de Poussin s’enrichit de l’expérience du plein air de Constable. Tout au bonheur de retrouver, la guerre finie, sa chère maison, Corot peint là, au cours de l’hiver 1872-1873 pour son ami Alfred Robaut, auteur du premier catalogue de son œuvre, une toile qui marque la distance à l’égard de la tradition. Le peintre poète sait trouver, à l’approche de la mort, des accents nouveaux.
Les nymphes ont cédé la place à de gracieuses villageoises réduites à des proportions infimes, le bouquet d’arbres est reporté sur le bord de la toile, l’eau limpide de l’étang et l’éclat ensoleillé du ciel allègent le centre de la composition; enfin le site est restitué avec une grande lisibilité, les villas Cabassud et la maison de Corot étant aisément identifiables. L’observation du réel y est sensible et la belle palette dorée tient compte des impressionnistes, sans que l’artiste renonce toutefois à l’exigence d’équilibre qui domine toute son œuvre et qu’il exprime en ces termes : « Ce que je cherche c’est la forme, l’ensemble, la valeur des tons […] c’est pourquoi, pour moi, la couleur vient après, car j’aime avant tout l’ensemble, l’harmonie dans les tons, tandis que la couleur nous donne quelque chose de heurté que je n’aime pas. »

 

Camille Corot, né Jean-Baptiste Camille Corot le16 juillet 1796 à Paris et décédé le 16 juillet 1796 dans cette même ville

est un peintre et graveur français.

Il passa longtemps pour un peintre amateur qui avait tout loisir de voyager non seulement un peu partout en France, mais aussi en Italie, où il résida à trois reprises. Au cours de ses pérégrinations, il ne cessa de peindre des paysages idylliques, généralement étoffés de petits personnages, selon les règles du paysage classique.

Connu pour sa philanthropie, il est aussi l'un des fondateurs de l'école de Barbizon.

 

 

Ci joint le n° 56 de la rue du Faubourg Poissonnière où est mort Jean-Baptiste Corot.

 

 

Lien Wikipédia : Jean-Baptiste Camille Corot : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Baptiste_Camille_Corot

 

Adresse : Chaussée de l'étang neuf, 92410, Ville d'Avray

Bonne visite !

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26 septembre 2021 7 26 /09 /septembre /2021 04:50

 

 

Suresnes et l'architecture sociale de l'entre deux guerres
Suresnes et l'architecture sociale de l'entre deux guerresSuresnes et l'architecture sociale de l'entre deux guerresSuresnes et l'architecture sociale de l'entre deux guerres

Vu sur le parcours de notre matinée, cette tour privée fut construite par un habitant anti-clérical, M. Delaunay, avant que l'église située à côté ne soit terminée. En effet les règles de l'urbanisme de l’époque interdisait la construction de deux édifices élevés proches. Il existe donc une grande tour et à côté une chapelle sans clocher.

 

La Cité-Jardins de Suresnes :

S'inspirant des expériences anglaises et américaines du début du XXème siècle, Henri Sellier, maire de Suresnes de 1919 à 1941 et administrateur Délégué de l'Office Public des Habitations à Bon Marché du département de la Seine, décide en 1915 la construction d'une cité-jardins.

Sa réalisation est confiée en 1917 a Alexandre Maistrasse qui conçoit un plan où les immeubles collectifs de quatre étages voisinent avec les pavillons individuels.

Mis en place par l'Office Public d'HBM (Habitations à Bon Marché), cet ensemble architectural novateur doit allier l’accueil du plus grand nombre (entre 8.000 et 10.000 habitants), aux atouts d'une ville moderne.

Cette dernière se caractérise par la mixité sociale, la présence d'équipement publics et de commerces de proximité, la verdoyance du cadre de vie.

La première pierre est posée en 1921, sa construction s'achève en 1956. Situés sur un plateau élevé entre le Champs de courses de Saint-Cloud et le Mont-Valérien, elle offre à ses habitants, de l’ouvrier qualifié à l'ingénieur, des pavillons et des appartements confortables d'une grande modernité. Tous les logements comportent "un débarras, un W.C. tout à l'égout, pierre à évier avec paillasse pour fourneau à gaz et petite armoire ventilée pour boîte à ordures, éclairage électrique de toutes les pièces" (1)

Certains ont une salle de douche installée dans la moitié du cabinet d'aisance, une salle de bains et le chauffage central. La cuisine est indépendante ou non.

Au logement salubre est associé l'idée de l'hygiénisme afin de lutter contre les maladies endémiques et contagieuses, fréquentes à cette époque.

 

 

L'initiation de la population passe  notamment par l'action des infirmières visiteuses  et par l'instauration dans les groupes scolaires de visites médicales régulières.

 

 

 

 

La Cité-jardins se distingue par l'importante de ses équipements publics : deux groupes scolaires abritant école primaires et maternelles. Ces dernières comprenant des classes normales, un solarium, une garderie et toutes les annexes indispensables à une pédagogie moderne pour l'époque et novatrice pour la population concernée : jardin de repos, terrain poule le jardinage, promotion des activités manuelles et sportives...                                                                                               

Où se situent les cités-jardins de Suresnes : sources plan quartier de la ville de Suresnes

Les cités-jardins et le circuit du M.U.S.

Le Théâtre Jean Vilar, Centre de loisirs Albert Thomas, 1938

1, place Stalingrad

Architecte : Maistrasse, structure brique et béton armé

 

Quelques détails du Théâtre Jean VilarQuelques détails du Théâtre Jean VilarQuelques détails du Théâtre Jean Vilar

Quelques détails du Théâtre Jean Vilar

Le square Léon Bourgeois :

 

Suresnes et l'architecture sociale de l'entre deux guerresSuresnes et l'architecture sociale de l'entre deux guerresSuresnes et l'architecture sociale de l'entre deux guerres
Suresnes et l'architecture sociale de l'entre deux guerres

L’Église Notre-Dame de la Paix :

 

Quelques photographies de l'intérieur de l'église Notre-Dame de la PaixQuelques photographies de l'intérieur de l'église Notre-Dame de la Paix
Quelques photographies de l'intérieur de l'église Notre-Dame de la PaixQuelques photographies de l'intérieur de l'église Notre-Dame de la PaixQuelques photographies de l'intérieur de l'église Notre-Dame de la Paix
Quelques photographies de l'intérieur de l'église Notre-Dame de la PaixQuelques photographies de l'intérieur de l'église Notre-Dame de la Paix

Quelques photographies de l'intérieur de l'église Notre-Dame de la Paix

Avec ses 8.000 habitants environ, la Cité-jardins de Suresnes continue de perpétuer un certain art de vivre souhaité par ses créateurs et entretenu par ses habitants.

Henri Sellier et son monument face à la mairie de Suresnes (çi-dessous)

 

L'Ecole de plein air de Suresnes :

Architectes de l'Ecole de plein air : Beaudoin et Lods

Structure : béton armé, acier, verre et aluminium, galet d'Etretat.

 

L'Ecole de plein air aujourd'huiL'Ecole de plein air aujourd'hui
L'Ecole de plein air aujourd'huiL'Ecole de plein air aujourd'huiL'Ecole de plein air aujourd'hui

L'Ecole de plein air aujourd'hui

L’École de Plein air de Suresnes :

Destinée à l'origine aux enfants pré-tuberculeux et de santé fragile (« chétifs »), l'école s'est ouverte à d'autres handicaps physiques lors de la Seconde Guerre mondiale. À partir de 1954, elle passe de la tutelle

de Suresnes à celle de l'État. Directrice de l'établissement et adjointe au maire de Suresnes, Robert Pontillon de 1971 à 1979, Simone Lacapère s'y investit particulièrement (adaptation des bâtiments aux handicaps, rampes d'accès, etc.), aidée par son mari, directeur du Centre national d'éducation de plein air (CNEPA) ; forte de son expérience, elle rédige par ailleurs en 1989 un projet de convention sur les droits de l’enfant pour l'ONU.

L'école, qui a accueilli jusqu'à 300 enfants en même temps, ferme ses portes en 1996. Ses locaux sont actuellement utilisés par le CNEFEI (Centre national d'études et de formation pour l'enfance inadaptée), devenu en 2006 l'INSHEA (Institut national supérieur de formation et de recherche pour l'éducation des jeunes handicapés et les enseignements adaptés).

Les bâtiments, inscrits depuis 1965 à l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques, sont actuellement en mauvais état. L'école est classée Monument historique depuis le . En 1979, des études relevaient déjà des problèmes d'étanchéité, avec des zones de stagnation des eaux de pluie. Au début des années 2000, le coût d'éventuels travaux de mise aux normes et de réhabilitation est estimé à 50 millions d'euros. En 2017-2018, la ville monte un dossier afin que l'école (propriété du ministère de l'Enseignement supérieur) soit prise en charge par la mission de préservation du patrimoine présidée par Stéphane Bern, même si la destruction du site est aussi envisagée afin de construire des logements. En mai 2021, l'Élysée annonce l'implantation à venir sur le site du Musée-mémorial du terrorisme, prévu pour 2027 ; l'INSHEA devrait déménager à Saint-Germain-en-Laye..

Le musée national de l’Éducation de Rouen conserve un reportage photographique qui avait été mené dans l'école de plein air pour le compte du ministère de l'Éducation nationale, afin de montrer les élèves en situation dans leur classe. De nombreuses autres archives sont conservées au M.U.S.

Lien musée national de l'Education de Rouen ; musée national de l'Éducation (Rouen)

Lien MUS : musée d'histoire urbaine et sociale de Suresnes.

Documentation M.US. Suresnes

Documentation M.US. Suresnes

A voir aussi dans le circuit, le Cimetière américain. 1917, Architectes : Platt et Geber,

structure calcaire et pierre de taille

190, boulevard Washington.

 

Le village anglais :

Angle de l'avenue de la belle Gabrielle et de la rue des Bourets, 1923

Briques silico-calcaire, meulière et moellons

 

Quelques détails des pavillons du charmant village anglaisQuelques détails des pavillons du charmant village anglais
Quelques détails des pavillons du charmant village anglaisQuelques détails des pavillons du charmant village anglaisQuelques détails des pavillons du charmant village anglais

Quelques détails des pavillons du charmant village anglais

Où se situe le village anglais à Suresnes ?

Bonne visite !

Voir aussi autres articles du blog sur Suresnes :

Une visite à Suresnes, Hauts-de-Seine, en 2016 : https://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2020/04/une-visite-a-suresnes-en-2016.html

Une conférence durant la crise sanitaire par Morgane  : Bâtir l'école à Suresnes https://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2020/06/suresnes-batir-l-ecole-une-conference-du-mus.html

Lien article du blog  sur le street art  à la station de tramway Suresnes-Lonchamp : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2020/03/le-street-art-sur-la-ligne-du-t2.html

 

Voir aussi lien :  une randonnée à Suresnes sur le blog des Randonneurs Ovillois : http://lesrandonneursovillois.over-blog.com/2020/04/suresnes-et-le-mont-valerien-une-randonnee-virtuelle-durant-la-crise-sanitaire.html

L'architecture sociale de l'entre deux guerres à Suresnes : https://lesrandonneursovillois.over-blog.com/2021/09/suresnes-l-urbanisme-social-de-l-entre-deux-guerres.html

 

Lien site Wikipédia Suresnes : https://fr.wikipedia.org/wiki/Suresnes

 

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17 mai 2021 1 17 /05 /mai /2021 19:43

 

 

L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021

 

L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021

 

L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021

 

rquables de l'arboretum : le cèdre bleurquables de l'arboretum : le cèdre bleu
rquables de l'arboretum : le cèdre bleurquables de l'arboretum : le cèdre bleu

rquables de l'arboretum : le cèdre bleu

 

L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021

La grande glycine

 

L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021

Une des fabriques du parc : le Pavillon Mauresque

et où se trouve-t-elle ?

 

L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021

 

L'écureuil de la Vallée aux-Loups
L'écureuil de la Vallée aux-Loups
L'écureuil de la Vallée aux-Loups

L'écureuil de la Vallée aux-Loups

L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021

 

 

Bonne visite !

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Quelques cartes anciennes :

L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021
L'arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups en mai 2021

Histoire de l'arboretum :

Au XVIIIe siècle, le propriétaire agrémente sa propriété d'un jardin anglais.

Il est enrichit au début du XIX xiècle par Charles-Louis Cadet de Gassicourt, pharmacien de Napoléon par des espèces rares.

Le marquis de Châteaugirons lui donne sa forme actuelle entre 1809 à 1835

Il est acquis en 1890 par Gustave Roux pour en faire la vitrine des pépinières Croux. La famille y a longtemps résidé.

En 1986 le conseil départemental des Hauts-de-Seine. acquiert le cœur historique de l'établissement des pépinières Croux, avec le château du XVIIIe siècle

C'est actuellement un arboretum de 13,5 hectares ouvert gratuitement au public, au sein du parc de la Vallée-aux-Loups..

En 2016, l'arboretum a accueilli 300 482 visiteurs selon l'office du tourisme du département des Hauts-de-Seine. C'est le premier site le plus visité du département devant le musée Albert-Kahn.

Lien site Wikipédia Charles-Louis Cadet de Gassicourt : Charles-Louis Cadet de Gassicourt

Lien site arboretum de la Vallée-aux-Loups : https://vallee-aux-loups.hauts-de-seine.fr/l-arboretum/histoire-et-botanique

Situé au cœur du Domaine de la Vallée-aux-Loups, l’Arboretum suggère des balades dans une atmosphère paisible. Son charme est tout autant lié à sa situation protégée au creu du vallon, à son histoire, qu’à son impressionnante collection végétale d’une grande beauté.

L’Arboretum de la Vallée-aux-Loups était autrefois le cœur d’un vaste territoire, allant de Robinson à Bourg-la-Reine et Sceaux, que le paysagiste Edouard André qualifia au XIXe siècle, de « terre promise de l’horticulture parisienne ».
Composé initialement d’un jardin à la française en son cœur et de terres nourricières autour, ce domaine aristocratique a évolué au XIXe siècle, le jardin à la française faisant place à un jardin anglais, suivant les goûts de l’époque en matière paysagère. En 1890, les pépinières Croux investissent le domaine et utilisent le jardin anglais comme parc de démonstration de leurs arbres pour leur clientèle et les terres agricoles alentours deviennent des terrains de production horticole. La majeure partie des arbres centenaires remarquables de l’Arboretum est l’héritage de cette vitrine prestigieuse. Au début du XXe siècle, les pépinières Croux sont considérées comme les plus importantes de France, tant au niveau de la taille de l’exploitation que de la variété et de la qualité des végétaux proposés.
L’Arboretum est classé à l’inventaire national des sites de caractère artistique, historique, scientifique, légendaire et pittoresque, et comprend une collection unique de centaines d’arbres et arbustes différents. Ses arbres centenaires constituent un patrimoine horticole unique, dont le sujet le plus exceptionnel est le cèdre bleu pleureur classé arbre remarquable au niveau national. Depuis le début des années 90, le Conseil départemental des Hauts-de-Seine met en valeur le cœur historique et aménage autour des jardins à thèmes en rapport avec l’histoire et la vocation horticole du lieu (jardins des fruits, jardins des châtaigniers, jardins des aulnes, jardin de l’automne flamboyant…).
L’Arboretum abrite également une collection de Convolvulacées confiée par le botaniste et créateur Patrick Blanc, qui est reconnue depuis 1999 comme collection nationale par le Conservatoire des Collections Végétales Spécialisées (CCVS). En 2013, le Département fait l’acquisition de 66 bonsaïs issus de la collection du spécialiste français Rémy Samson, qui exposait sa production à deux pas de l’Arboretum. Ces arbres miniatures, d’espèces et de styles variés et dont certains sont très âgés, sont aujourd’hui présentés dans une serre dédiée.

En savoir plus :

102, rue de Chateaubriand
92290 Châtenay-Malabry
Accès gratuit 
Attention : l'Arboretum est interdit au vélo et aux chiens 

Horaires :

  • De novembre à février : 10 h-17 h 
  • Mars et octobre : 10 h-18 h 
  • D'avril à septembre : 10 h-19 h  
L'arboretum de la Vallée-aux-Loups est situé au cœur du Val d'Aulnay au 102, rue de Chateaubriand à Châtenay-Malabry, dans les Hauts-de-Seine.
 
Accès gratuit.

Horaires :

  • De novembre à février : 10 h-17 h 
  • Mars et octobre : 10 h-18 h 
  • D'avril à septembre : 10 h-19 h  
 

Accès : gare de Robinson RER B

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17 mars 2021 3 17 /03 /mars /2021 07:26

 

Le circuit de la balade sous OpenRunner ses caractéristiques techniques

Le circuit de la balade sous OpenRunner ses caractéristiques techniques

Une balade de 8,5 kilomètres au départ de l'avenue de Seine, proche de la gare RER de Rueil-Malmaison en direction des parcs et jardin de cette commune des Hauts-de-Seine.

Rueil-Malmaison est la commune la plus dense en bois, parcs et jardins des Hauts-de-Seine.

Les bords de Seine à Rueil

Les bords de Seine à Rueil

Le château de la Malmaison

Le château de la Malmaison

 

 

Rueil-Malmaison ses parc et jardinsRueil-Malmaison ses parc et jardins

Le parc de Bois-Préau et son château : une invitation à la promenade

 

Le parc de Bois-Préau un jardin à l'anglaiise de 17 hectaresLe parc de Bois-Préau un jardin à l'anglaiise de 17 hectares
Le parc de Bois-Préau un jardin à l'anglaiise de 17 hectaresLe parc de Bois-Préau un jardin à l'anglaiise de 17 hectaresLe parc de Bois-Préau un jardin à l'anglaiise de 17 hectares

Le parc de Bois-Préau un jardin à l'anglaiise de 17 hectares

La statue de Joséphine devant le château de Bois-Préau.

Le château évoque le souvenir de l'Empereur à Saint-Hélène et le retour de ses cendres à

Paris. Il fut le dernière acquisition de l'Impératrice Joséphine. Elle y logea son médecin et y entreposa ses innombrables objets de collection.

 

Après le décès de Joséphine, en 1814, plusieurs propriétaires se sont succédés. En 1920, Monsieur et Madame Tuck, d'origine américaine et grands bienfaiteurs de la ville, l'achètent et en font don, en 1926, aux Musées Nationaux pour y créer une annexe de Château de Malmaison.

 

Le château de Bois-Préau est actuellement en cours de rénovation

Rueil-Malmaison ses parc et jardinsRueil-Malmaison ses parc et jardins
Rueil-Malmaison ses parc et jardins
Rueil-Malmaison ses parc et jardinsRueil-Malmaison ses parc et jardinsRueil-Malmaison ses parc et jardins

 

L'église Saint-Pierre-Saint-Paul

L'église Saint-Pierre-Saint-Paul

A voir dans l'église le superbe buffet d'orgues offert offert par Napoléon III et signé Baccchio d'Agniolo

La dernière demeure de Joséphine :

Le tombeau de Joséphine

Le tombeau de la Reine Hortense, fille de l'impératrice Joséphine

Le centre ville de Rueil-Malamison et son Hôtel de ville

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La fontaine Wallace de couleur verte du centre villeLa fontaine Wallace de couleur verte du centre ville
La fontaine Wallace de couleur verte du centre villeLa fontaine Wallace de couleur verte du centre villeLa fontaine Wallace de couleur verte du centre ville

La fontaine Wallace de couleur verte du centre ville

Rueil-Malmaison ses parc et jardins
La fontaine Wallace de couleur bleue du centre viille de Rueil-MalmaisonLa fontaine Wallace de couleur bleue du centre viille de Rueil-Malmaison
La fontaine Wallace de couleur bleue du centre viille de Rueil-MalmaisonLa fontaine Wallace de couleur bleue du centre viille de Rueil-MalmaisonLa fontaine Wallace de couleur bleue du centre viille de Rueil-Malmaison

La fontaine Wallace de couleur bleue du centre viille de Rueil-Malmaison

Le parc de l'Amitié, dit aussi Jardins Zen : une rendez-vous asiatique

Le parc de l'Amitié appelé aussi le parc Zen

 

En plein cœur du centre-ville, le Parc de l'Amitié est un havre de paix de 1500 m2, aux multiples notes asiatiques. II s'articule autour d'un ravissant jardin japonais. Il permet également de s'imprégnant des senteurs de toutes sortes de plantes aromatiques : sauges, menthe, thym, absinthe...

Au printemps, la roseraie, en hommage à l'Impératrice Joséphine, l'explosion de tulipes et de narcisses illuminent le parc.

Les jumelages avec des villes étrangères avec des villes étrangères ont été le prétexte à la plantation symbolique d'arbres originaires de chaque pays.

 

Quelques images du parc de l'Amitié à Rueil-MalmaisonQuelques images du parc de l'Amitié à Rueil-Malmaison
Quelques images du parc de l'Amitié à Rueil-Malmaison
Quelques images du parc de l'Amitié à Rueil-MalmaisonQuelques images du parc de l'Amitié à Rueil-MalmaisonQuelques images du parc de l'Amitié à Rueil-Malmaison

Quelques images du parc de l'Amitié à Rueil-Malmaison

 

Rueil-Malmaison ses parc et jardins
Rueil-Malmaison ses parc et jardinsRueil-Malmaison ses parc et jardins

 

Le Jardin Ouzbek

 

Dans le jardin Ouznek, la statue de bronze du savant philisophe et guérisseur Avicenne
Dans le jardin Ouznek, la statue de bronze du savant philisophe et guérisseur AvicenneDans le jardin Ouznek, la statue de bronze du savant philisophe et guérisseur Avicenne
Dans le jardin Ouznek, la statue de bronze du savant philisophe et guérisseur Avicenne

Dans le jardin Ouznek, la statue de bronze du savant philisophe et guérisseur Avicenne

La statue d'Avicenne dans le Jardin Ousbek

 

 

Rueil-Malmaison ses parc et jardinsRueil-Malmaison ses parc et jardins
Rueil-Malmaison ses parc et jardins

Circuit du 14 mars 2021

Lien circuit sous OpenRunner :  à suivre

 

Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison
Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison

Documentation de l'Office de Tourisme de Rueil-Malmaison

Documentation du château de Malmaison :

Musée national du château de Malmaison

Avenue du château de Malmaison

92500 Rueil-Malmaison

Tél. : 01 41 29 05 55

Rueil-Malmaison ses parc et jardins
Rueil-Malmaison ses parc et jardins

Guide du patrimoine touristique - Touristic heritage guide

Office de Tourisme de Rueil-Malmaison :

160, rue Paul Doumer 92500 Rueil-Mallmaison

Tél. : 01 47 32 35 75 Fax : 01 47 14 04 48

Lien courriel  : ot@rueil-tourisme.com Lien site : http://www.rueil-tourisme.com

Voir aussi autres articles du blog sur les balades à Rueil. :

Balade sur les bords de Seine de Rueil-Malmaison à Chatou : https://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2021/01/balade-sur-les-bords-de-seine-de-rueil-malmaison-a-chatou.html

Une visite du château de la Malmaison à Rueil : https://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2015/05/une-visite-du-chateau-de-la-malmaison-a-rueil.html

Une visite du château de la Malmaison à Rueil

Le domaine de la Malmaison :

À la mort de Joséphine, le parc fait 726 hectares et fut surveillé par le botaniste Etienne Soulange-Bodin, qui était très proche des Beauharnais. La grande partie du domaine est lotie et revendue en parcelles distinctes.

Le domaine de la Malmaison actuel est constitué de :

  • Le château de Malmaison et son parc, qui abrite aujourd'hui le musée national napoléonien ouvert au public
  • La Petite Malmaison avec son parc, actuellement une propriété privée
  • Le Château de Bois-Préau avec son parc abritant l'annexe du musée du Château de Malmaison, en restauration actuellement

Le domaine de la Malmaison est labellisé « Jardin remarquable ».

Sources : Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Malmaison

Site du musée : http://musees-nationaux-malmaison.fr/chateau-malmaison/

Joséphine de Beauharnais : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9phine_de_Beauharnais

Une visite du château de la Malmaison à Rueil

Bonne visite !

A voir aussi le parc de Bois-Préau et l'église Saint-Pierre-Saint-Paul abritant le tombeau de Joséphine lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Saint-Pierre-Saint-Paul_de_Rueil-Malmaison

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3 février 2021 3 03 /02 /février /2021 08:51

 

Départ de la sortie du RER A sur le parvis de la Défense

Départ de la sortie du RER A sur le parvis de la Défense

 

Une balade de la Défense à Neuilly-sur-Seine par l'Ile de la JatteUne balade de la Défense à Neuilly-sur-Seine par l'Ile de la Jatte
Une balade de la Défense à Neuilly-sur-Seine par l'Ile de la Jatte

La Défense et ses tours de verre

De la Défense vers Courbevoie et son centre administratif

 

Une balade de la Défense à Neuilly-sur-Seine par l'Ile de la JatteUne balade de la Défense à Neuilly-sur-Seine par l'Ile de la Jatte

Le centre culturel de Courbevoie

L'Hôtel de ville et son bâtiment d'origine

Une balade de la Défense à Neuilly-sur-Seine par l'Ile de la JatteUne balade de la Défense à Neuilly-sur-Seine par l'Ile de la JatteUne balade de la Défense à Neuilly-sur-Seine par l'Ile de la Jatte
Une balade de la Défense à Neuilly-sur-Seine par l'Ile de la Jatte

Passage sur le pont de Courbevoie et l'Ile de la Jatte

 

Au bout de l'Ile de la Jatte côté Neuilly-sur-Seine : le Temple de l'Amour sans sa déesse

 

La passerelle  qui permet de rejoindre Neuilly-sur-Seine

La passerelle qui permet de rejoindre Neuilly-sur-Seine

L'hôpital communal de Neuilly-sur-Seine

 

Photographies anciennes de l'hôpiital comunal de Neuilly-sur-SeinePhotographies anciennes de l'hôpiital comunal de Neuilly-sur-Seine

Photographies anciennes de l'hôpiital comunal de Neuilly-sur-Seine

Le château de Neuilly, peinture ancienne

Détails du châteauDétails du château

Détails du château

 

 

 

 

 

 

Détails du château

Lien Wikipédia château de Neuilly-sur-Seine : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Neuilly

 

 

La plus ancienne maison de Neuilly-sur-Seine :

 

 

Une balade de la Défense à Neuilly-sur-Seine par l'Ile de la JatteUne balade de la Défense à Neuilly-sur-Seine par l'Ile de la Jatte

 

Une balade de la Défense à Neuilly-sur-Seine par l'Ile de la JatteUne balade de la Défense à Neuilly-sur-Seine par l'Ile de la Jatte
Une balade de la Défense à Neuilly-sur-Seine par l'Ile de la Jatte

 

Quelques belles façades d'immeublesQuelques belles façades d'immeublesQuelques belles façades d'immeubles
Quelques belles façades d'immeubles

Quelques belles façades d'immeubles

 

L'ancien immeuble Félic Potin avenue du Roule à Neuilly-sur-SeineL'ancien immeuble Félic Potin avenue du Roule à Neuilly-sur-SeineL'ancien immeuble Félic Potin avenue du Roule à Neuilly-sur-Seine
L'ancien immeuble Félic Potin avenue du Roule à Neuilly-sur-Seine

L'ancien immeuble Félic Potin avenue du Roule à Neuilly-sur-Seine

La Maison Félix Potin à Neuilly-sur-Seine 1910

 

L'hôtel de ville de Neuilly-sur-Seine

 L'hôtel de ville de Neuilly-sur-Seine

Détail de l'hôtel de ville
Détail de l'hôtel de villeDétail de l'hôtel de ville

Détail de l'hôtel de ville

 

Voir aussi autres articles sur l'hôtel de ville de Neuilly-sur-Seine :

Carnet de bal en 1886 à Neuilly-sur-Seine et les oeuvres de l'hôtel de ville : https://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2018/09/bal-de-1886-a-la-salle-des-fetes-de-neuilly-sur-seine.html

 

La statue de Parmentier face à l'hôtel de ville de Neuilly-sur-Seine

Antoine Augustin Parmentier naît le 17 août 1737 à Montdidier dans la
Somme. C’est dans sa ville natale puis à Paris qu’il apprend le métier de
pharmacien.
Âgé de vingt ans, il participe à la guerre de Sept Ans (1756-1763) comme
apothicaire sous-aide aux armées. En 1757, il est fait prisonnier en
Prusse, près de Hanovre. C’est lors de sa captivité qu’il découvre les
qualités nutritives de la pomme de terre, originaire d’Amérique du Sud.
A son retour en France en 1763, il reprend des études puis est nommé
pharmacien aux Invalides.
En 1772, il obtient le titre d’apothicaire-major des armées françaises.
Parallèlement, il poursuit ses recherches sur les cultures végétales
alimentaires. Grâce à son mémoire « L’examen chimique de la pomme de
terre », il remporte le premier prix du concours ouvert par l’Académie de
Besançon.

Il tente alors d’intéresser le roi Louis XVI en lui montrant les avantages
d’une telle plante à une époque où les famines ne sont pas rares.
Le roi accepte de lui concéder un terrain d’une cinquantaine d’arpents*
dans la Plaine des Sablons à Neuilly pour expérimenter ses cultures de
pomme de terre. En 1786, Parmentier ensemence un terrain compris
entre la Porte Maillot et l’actuelle rue d’Orléans.
L’anecdote raconte que les champs étaient surveillés par des gardes le
jour, mais laissés aux voleurs la nuit afin d’intriguer la population.
L’initiative de Parmentier contribua en tout cas à introduire la pomme de
terre dans l’alimentation des Français.

Dès lors, Parmentier s’intéresse de plus en plus aux problèmes
alimentaires, notamment l’amélioration de la qualité du pain, la fabrication
de sirops de raisin et de végétaux sucrés ou encore la conservation des
viandes par le froid.
En 1795, il entre à l’Académie des Sciences. Il décède le 17 décembre
1813 et est enterré au cimetière du Père Lachaise à Paris.
Une statue à son effigie (copie de l’originale d’Adrien Gaudez, fondue par
les Allemands en 1942) orne désormais le parvis de la mairie de Neuilly.
* environ 2 hectares.

La place Parmentier à Neuilly-sur-Seine et son Centre Culturel

L'église Saint-Pierre de Neuilly-sur-Seine
L'église Saint-Pierre de Neuilly-sur-SeineL'église Saint-Pierre de Neuilly-sur-SeineL'église Saint-Pierre de Neuilly-sur-Seine

L'église Saint-Pierre de Neuilly-sur-Seine

 

L'entrée principale de l'église Saint-Pierre

Deux gargouilles de la façade de l'église

 

Détails de la fontaine monument
Détails de la fontaine monument

Détails de la fontaine monument

 

Le bureau de Poste de Neuilly-sur-Seine
Le bureau de Poste de Neuilly-sur-Seine

Le bureau de Poste de Neuilly-sur-Seine

La façade de la poste de Neuilly-sur-Seine

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15 octobre 2020 4 15 /10 /octobre /2020 07:35

 

Quelques images du groupe La Défense d'Auguste Rodin à l'Ile Seguin Boulogne-Billancourt, Hauts-de-Seine

La Défense d'Auguste Rodin sur l'île Seguin à Boulogne-Billancourt :

Où se situe l’œuvre d'Auguste Rodin "La Défense" ?

La Défense d'Auguste RodinLa Défense d'Auguste Rodin
La Défense d'Auguste Rodin

 

"La Défense" Contexte historique de l’œuvre

En obtenant la majorité au Sénat et le départ de Mac-Mahon, remplacé à l’Elysée par Jules Grévy, les républicains sont enfin installés au pouvoir en 1879. Les souvenirs de « l’année terrible » s’en trouvent dès lors réactivés. Pour commémorer la défense héroïque de Paris contre l’envahisseur prussien en 1870-1871, la Préfecture de la Seine lance un concours en 1879 : le monument est destiné au rond-point de Courbevoie, situé à l’extrémité de l’avenue de Neuilly, dans la perspective de l’Arc de triomphe, là où s’étaient rassemblés les gardes nationaux avant la dernière bataille du siège, la « sortie » de Buzenval, le 19 janvier 1871. Rodin, qui cherche alors à se faire connaître, prend part à ce concours tout comme Bartholdi, Carrier-Belleuse, Boucher et Falguière.

Un groupe jugé trop révolutionnaire :

Comme la plupart des autres projets (une centaine), son groupe est composé d’une figure allégorique et d’un guerrier. Mais, au lieu de se définir par les costumes ou les symboles dont les figures étaient accompagnées, l’œuvre repose sur le contraste entre le rythme brisé du corps du guerrier, représenté mourant, et le dynamisme de la figure féminine. Celle-ci jaillit hors de la composition, ses deux bras aux poings serrés largement écartés et la bouche grande ouverte comme le Génie de la Patrie de Rude à l’Arc de triomphe ; mais son aile cassée qui retombe lui donne un caractère plus humain en la faisant apparaître comme vulnérable. Quant au guerrier mourant, il offre une transposition directe du Christ de la Pietà de Michel-Ange aujourd’hui au

Museo dell’Opera del Duomo, à Florence. Jugé trop révolutionnaire, ce groupe vibrant de violence fut écarté dès la première étape du concours, le 29 novembre 1879, le jury ayant donné la préférence à des œuvres plus réalistes qui, tout en ayant recours au langage de l’allégorie, donnaient du siège une vision plus historique. Mettant en scène un combattant résolu au pied d’une fière image de la Ville de Paris, tandis qu’à l’arrière une fillette engourdie par le froid rappelle la rigueur de l’hiver 1870-1871, le monument dû à Ernest Barrias fut inauguré le 12 août 1883.

En honorant la défense de Paris, les républicains manifestent leur volonté de réintégrer la capitale dans la communauté nationale. Par-là même ils souhaitent en finir avec les divisions nées de la Commune, laquelle sans être pardonnée se voit d’une certaine façon oubliée. En même temps cette initiative leur permet de rappeler la politique de défense nationale qu’ils ont menée durant les premiers mois du régime, bien différente de celle de l’Ordre moral menée par Thiers après 1871. Le besoin d’inscription du nouveau régime touche donc aussi à l’ordre symbolique : la IIIe République se caractérise à partir des années 1880 par une « statuomanie » impressionnante, à l’origine de nombreuses commandes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La revanche de Rodin :

Le groupe de Rodin allait finir par trouver une place. En effet, l’esprit de revanche qu’il proclamait dès de 1879 s’imposa peu à peu, et Bénédite proposa ce projet en 1916 au comité

néerlandais de la Ligue des pays neutres, qui voulait élever un monument commémoratif de la défense de Verdun : « Il existe dans les œuvres du Maître un groupe tout-à-fait de circonstance, déclara-t-il le 27 janvier 1917 : La Défense, qu’on pourrait reprendre en lui donnant les dimensions voulues. » L’agrandissement au quadruple fut réalisé en 1917-1918, et le monument inauguré à Verdun le 1er août 1920.

 

 

 

 

 

 

La Défense à Verdun :

Représentant un guerrier blessé soutenu par une Victoire ailée, ce groupe du sculpteur

Rodin avait été présenté en 1879 à un concours organisé par le Conseil Général de la Seine pour commémorer la résistance des Parisiens contre les Prussiens en 1870.

Considérée comme trop violente pour l'époque la statue n'est pas retenue. En 1916, les Pays-Bas demandèrent l'autorisation d'en faire un tirage en bronze pour l'offrir à la ville de Verdun.

La commande fut achevée en 1920 et installée à Verdun, place de la Roche, Porte Saint Paul puis sur la promenade des frères Boulhaut.

La Seine Musicale à l'île Seguin, Boulogne-Billancourt

La sphère de l'Auditorium de la Seine Musicale sur l'île SeguinLa sphère de l'Auditorium de la Seine Musicale sur l'île SeguinLa sphère de l'Auditorium de la Seine Musicale sur l'île Seguin

La sphère de l'Auditorium de la Seine Musicale sur l'île Seguin

Bientôt un article sur la visite conférence de Marianne "L'île Seguin et l'architecture du Trapèze à Boulogne-Billancourt", le 14 octobre 2020.

Bonne visite !

Autres articles du blog sur Auguste Rodin :

 

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28 septembre 2020 1 28 /09 /septembre /2020 13:43

 

Les résidences du Point-du-Jour de l'architecte Fernand Pouillon

à Boulogne-Billancourt, Hauts-de-Seine :

Une visite-conférence dans le cadre des JOP 2020 par Marion

le samedi 19 septembre 2020 à 11 heures

 

 

Fernand Pouillon : 1912-1986

L'architecte : né le 14 mai 1912 à Cancon (Lot et Garonne)et décédé au château de

Belcastel dans l'Aveyron le 24 juillet 1986 est un architecte et urbaniste français.

Admirateur d'Auguste Perret, il fut l'un des grands bâtisseurs des années de reconstruction après la Seconde Guerre mondiale en France. Il a réalisé de nombreux équipements et bâtiments publics à Marseille, Aix-en-Provence, en Région parisienne, en Algérie, ainsi qu'en Iran.

Ses réalisations se caractérisent par une insertion dans le site, un équilibre des masses né de proportions harmoniques rigoureuses, des matériaux nobles, y compris dans le logement social et la collaboration d'artistes sculpteurs, céramistes, paysagistes.

Les résidences du Point-du-Jour de Fernand Pouillon par MarionLes résidences du Point-du-Jour de Fernand Pouillon par Marion
Les résidences du Point-du-Jour de Fernand Pouillon par MarionLes résidences du Point-du-Jour de Fernand Pouillon par MarionLes résidences du Point-du-Jour de Fernand Pouillon par Marion
Les résidences du Point-du-Jour de Fernand Pouillon par MarionLes résidences du Point-du-Jour de Fernand Pouillon par Marion
Le marché parisien :

Au milieu des années 1950, Fernand Pouillon décide de s’insérer dans le marché

parisien. Fort de ses compétences, habitué à s’investir totalement dans l’acte de construire et à réussir, il investit aussi dans les métiers de promoteur et d’entrepreneur (il est actionnaire au moyen de prête-noms d'un ensemble de SCI  sociétés périphériques du CNL, Comptoir national du Logement dont il est l'architecte en chef et dont il confie la présidence à l'ancien préfet de la Seine, Paul Haag). Or un architecte n'a le droit d'être ni promoteur, ni entrepreneur, ou être lié à

une activité commerciale en rapport avec le bâtiment. Il faut depuis 1940 non seulement un diplôme pour concevoir un projet d’architecture, mais le concepteur ne peut plus financer et participer à sa construction (ce n’est de nos jours plus interdit). Or, il a commencé sa carrière de bâtisseur avant cette époque. Fernand Pouillon qui construit le moins cher possible les meilleurs ouvrages possibles (une façade du Point-du-Jour à Boulogne-Billancourt était recouverte de feuilles d'or), a besoin de maîtriser

l'ensemble de la chaîne de « production » de ses réalisations. Il réalise ainsi quelques-uns des plus importants grands ensembles en périphérie de Paris, ensembles dans lesquels il démontre que le problème des grands ensembles ne sont pas les tours et les barres puisque ces réalisations sont justement réalisées avec des tours et des barres :  Pantin, Montrouge, Meudon-la-Forêt, le Point-du-Jour à Boulogne-Billancourt.

     Résidence Victor Hugo à Pantin

Lien site Wikipédia Point-du-Jour : Point du Jour

Une des façades des immeubles du Point-du-Jour à Boulogne-Billancourt

Le procès :

Des malversations financières de ses partenaires indélicats du CNL (notamment des détournements de fonds et des fausses factures en faveur de l'Union pour la nouvelle République) et des difficultés de vente de la résidence Salmson-Le Point du Jour aboutit à l'affaire du Point du Jour. Le 5 mars 1961, Fernand Pouillon et quatre de ses collaborateurs sont arrêtés et écroués, accusés de faux bilan, détournement de fonds et abus de biens sociaux. Hospitalisé à la suite de problèmes de santé (on le croit tuberculeux alors qu'il s'agit d'une amibiase contractée en Iran), il s'évade de sa clinique en septembre 1962 et reste en cavale pendant plusieurs mois (Suisse, Italie), aidé, grâce à ses sympathies avec le FLN durant la guerre d'Algérie, par le réseau Jeanson. Réapparu à l'occasion de son procès où il comparait en civière, il est condamné en 1963 à quatre années de prison dont il est libéré en 1964 pour raisons de santé.

Lien  : Union pour la nouvelle République

Lien le réseau Jeanson : réseau Jeanson

Les dernières années :

Radié à vie par l’ordre des architectes, il ne peut plus construire en France et est donc

contraint à l'exil pour continuer sa carrière.

Fernand Pouillon rejoint en 1966 l’Algérie où il exerce sa profession jusqu’en 1984.

Il y réalise essentiellement des projets hôteliers et touristiques ainsi que des équipements publics et universitaire.

 

Photographie la cité Diar el Mahçoul à Alger

 

Fernand Pouillon, architecte réhabilité :

Amnistié en juin 1971 par le président de la République Georges Pompidou, réintégré à l'ordre des architectes français en 1978, Fernand Pouillon regagne la France en 1984. En 1985, le président François Mitterrand le promeut officier de la Légion d'honneur.

Il meurt le 24 juillet 1986 dans le château de Belcastel, dans l'Aveyron, qu'il avait, dès 1974, largement contribué à restaurer, ainsi qu'une partie du village.

Lien Wikipédia Château de Belcastel : château de Belcastel

Voir Lien  et sources Wikipédia Fernand Pouillon  https://fr.wikipedia.org/wiki/Fernand_Pouillon

 

 

Merci à Marion, notre conférencière !

 

 

Voir aussi autre article du blog sur Boulogne-Billancourt et son hôtel de Ville : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2018/10/l-hotel-de-ville-de-boulogne-billancourt-archiecte-tony-garnier.html

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15 juin 2020 1 15 /06 /juin /2020 07:45

 

Le château de Maisons-Laffitte côté entrées le 14 juin 2020

La façade du château coté jardins

Détail du château et sa façade coté parc Sa grille d'entrée magnifiqueDétail du château et sa façade coté parc Sa grille d'entrée magnifiqueDétail du château et sa façade coté parc Sa grille d'entrée magnifique
Détail du château et sa façade coté parc Sa grille d'entrée magnifiqueDétail du château et sa façade coté parc Sa grille d'entrée magnifique
Détail du château et sa façade coté parc Sa grille d'entrée magnifiqueDétail du château et sa façade coté parc Sa grille d'entrée magnifiqueDétail du château et sa façade coté parc Sa grille d'entrée magnifique

Détail du château et sa façade coté parc Sa grille d'entrée magnifique

L'escalier de la façade du château côté Seine

Le château de Maisons-Laffitte réouvert au public en juin 2020
Le château de Maisons-Laffitte réouvert au public en juin 2020

"Cheval Chaconne"

sculpture de Frédéric Jager

Fonderie Deroyaume

 

"Cheval Chaconne" vu du pont de la 2ème DB et faisant partie intégrante de la Cité Cheval

La place du château et sa vue sur le château :

Photographies du 28 juin 2020 : le château vu de la place éponyme

Le château de Maisons le 28 juin 2020, traitement des images en N. & Blanc

Beaucoup d'articles publics ou du blog sur le château de Maisons-Laffitte ou sa Cité du Cheval :

Voici quelques liens :

Visite du 13 août 2019.

Lien site Wikipédia Château de Maisons-Laffitte : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Maisons-Laffitte

Lien de l'article la dépose des grilles et quelques images : http://www.chateau-maisons.fr/Actualites/La-repose-des-grilles-est-en-cours

Lien château de Maisons-Laffitte : http://www.maisonslaffitte.net/

Société des Amis du Château de Maisons, lien : SACM http://amisduchateau.fr/sacm/la-sacm/

Lien article Yvelines Actu du 4 mai 2018 : le château de Maisons poursuit sa mue https://actu.fr/ile-de-france/maisons-laffitte_78358/yvelines-chateau-poursuit-mue_16610228.html

Lien du blog un Cheval nommé Chaconne : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/article-un-cheval-nomme-chaconne-66287379.html

Lien du blog les chevaux de bronze de Maisons-Laffitte  http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/article-les-chevaux-de-bronze-de-maisons-laffitte-109851671.html

Lien du blog Quelques détails du château de Maisons en 2012 : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/article-quelques-details-du-chateau-de-maisons-laffitte-108491077.html

 

 

***

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9 juin 2020 2 09 /06 /juin /2020 07:21

Une visite conférence au  Musée d'Histoire Urbaine et Sociale (M.U.S.) de Suresnes le 7 juin 2020

Bâtir l'école Architecture et pédagogie 1830-1939

Animée par Morgane

 

Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par MorganeSuresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane
Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane
Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par MorganeSuresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par MorganeSuresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane

L'école et l'architecture pédagogique :

Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par MorganeSuresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane
Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane

Une des salles d'exposition temporaire du MUS

Le Mobilier scolaire :

 

Le mobilier scolaire et les jeux  A Droite tobbogan intérieur d'époqueLe mobilier scolaire et les jeux  A Droite tobbogan intérieur d'époqueLe mobilier scolaire et les jeux  A Droite tobbogan intérieur d'époque

Le mobilier scolaire et les jeux A Droite tobbogan intérieur d'époque

 

 

Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane
Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par MorganeSuresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane

En savoir un peu plus sur l'exposition, voir documentation en fin d'article.

L'exposition permanente du 1er étage du MUS :

 

L'école de PLEIN AIR

Une documentation du MUS

Documentation MUS  L'école de plein air de Suresnes
Documentation MUS  L'école de plein air de Suresnes
Documentation MUS  L'école de plein air de Suresnes
Documentation MUS  L'école de plein air de Suresnes

Documentation MUS L'école de plein air de Suresnes

Coordonnées de l'école de plein air - INS HEA

58, avenue des Landes 92150 Suresnes

Tél. : 01 41 44 31 00

Une visite de Suresnes et son architecture :

une visite du centre ville

La façade principale de l'hôtel de ville de Suresnes

L'hôtel de ville de Suresnes Quelques détails de sa façadeL'hôtel de ville de Suresnes Quelques détails de sa façadeL'hôtel de ville de Suresnes Quelques détails de sa façade

L'hôtel de ville de Suresnes Quelques détails de sa façade

 

Le monument à Henri Sennier :

 

 

Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par MorganeSuresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par MorganeSuresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane

La fontaine Wallace du centre ville:

 

Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par MorganeSuresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane
Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane

Le village anglais de Suresnes :

 

Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane
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Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane
Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane

La cité des Parfums

Documentation La Cité des Parfums sources MUS SuresnesDocumentation La Cité des Parfums sources MUS Suresnes
Documentation La Cité des Parfums sources MUS SuresnesDocumentation La Cité des Parfums sources MUS Suresnes

Documentation La Cité des Parfums sources MUS Suresnes

Une balade autour du Mont Valérien :

Quelques vues de la terrasse du Mont Valérien côté Paris La Défense Les fleurs de saisonQuelques vues de la terrasse du Mont Valérien côté Paris La Défense Les fleurs de saisonQuelques vues de la terrasse du Mont Valérien côté Paris La Défense Les fleurs de saison
Quelques vues de la terrasse du Mont Valérien côté Paris La Défense Les fleurs de saisonQuelques vues de la terrasse du Mont Valérien côté Paris La Défense Les fleurs de saison
Quelques vues de la terrasse du Mont Valérien côté Paris La Défense Les fleurs de saisonQuelques vues de la terrasse du Mont Valérien côté Paris La Défense Les fleurs de saison

Quelques vues de la terrasse du Mont Valérien côté Paris La Défense Les fleurs de saison

La balade autour du Mont Valérien :

Vues depuis les terrasses du Mont Valérien coté Nanterre

Le mémorial du Mont Valérien

 

 

Documentation Le Mont-Valérien haut lieu de la mémoire nationale :

Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane
Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane
Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane
Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane

Le Mont-Valérien haut lieu de la mémoire nationale H 30  :

Adresse :

Avenue du professeur Léon Bernard 92150 Suresnes

Tél. : 01 47 28 46 35 Courriel : info@mont-valerien.fr

Lien site internet : http://www.mont-valerien.fr

Les visites guidées du Musée du Mont-Valérien  sont gratuites et s'effectuent à heure fixe :

Haute saison mars-juin et septembre-octobre) Visites à 9 H 30, 11 H, 14 H 30 et 16 H,

Basse saison : visites à 10 H, et 15 H (juillet-août et novembre-février).

La réservation est obligatoire pour les groupes de plus de 10 personnes.

Le site est fermé au public les 1er janvier, 15 août; 1er novembre et le 25 décembre.

L'église Notre-Dame de la Paix :

 

Le Théâtre Jean Vilar de Suresnes

Détails de sa façade principale

Documentation sur l'exposition actuelle du MUS Suresnes, sources MUS :

Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane
Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane
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Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane
Suresnes, Bâtir l'école une conférence du MUS par Morgane

Le MUS et l'ancienne gare de Suresnes

MUS Ville de Suresnes

mus@ville-suresnes.fr

 

 

MUS Musée d'histoire urbaine et sociale de Suresnes

1, place de la gare de Suresnes-Longchamp

Suresnes, Hauts-de-Seine

Tél. : 01 41 18 18 75

MUS/Musée d'Histoire urbaine et sociale de Suresnes :

1, place de la gare 92150 Suresnes

Tél. : 01 41 18 18 75 - Fax : 01 41 18 16 76

Site : http://www.ville-suresnes.fr

Pour les monuments qui n'ont pas été cités lors de cette visite, voir le dernier article du blog sur la ville de Suresnes :

Une visite à Suresnes en 2016 réactualisée en avril 2020: http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2020/04/une-visite-a-suresnes-en-2016.html

Lien article du blog  sur le street art  à la station de tramway Suresnes-Lonchamp : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2020/03/le-street-art-sur-la-ligne-du-t2.html

Voir aussi lien :  une randonnée à Suresnes sur le blog des Randonneurs Ovillois : http://lesrandonneursovillois.over-blog.com/2020/04/suresnes-et-le-mont-valerien-une-randonnee-virtuelle-durant-la-crise-sanitaire.html

Lien site Wikipédia Suresnes : https://fr.wikipedia.org/wiki/Suresnes

 

Merci à Morgane pour cette passionnante visite conférence de l'exposition au MUS Suresnes !

 

 

 

 

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28 avril 2020 2 28 /04 /avril /2020 07:03

 

Plusieurs visites de la ville de Suresnes située dans les Hauts de Seine :

 

 

Où se situe la ville de Suresnes dans les Hauts-de-Seine  ?

Plan nord et sud de la ville
Plan nord et sud de la ville

Plan nord et sud de la ville

Le circuit de Suresnes, et son urbaniste social  de l'entre-deux-guerres

Sources MUS musée de Suresnes

 

Notre circuit passera cependant par le Mont Valérien situé au Nord -ouest de la ville de Suresnes afin de continuer ce circuit sur une journée entière.

 

Départ de la gare de Suresnes :

Sources documentation MUS

Musée d'histoire urbaine de la ville de Suresnes

 

Le restaurant Le Lapin Agile Boulevard WashingtonLe restaurant Le Lapin Agile Boulevard Washington

Le restaurant Le Lapin Agile Boulevard Washington

Le cimetière américain de Suresnes :

 

Les grilles du cimetière

 

 

La chapelle du cimetièreLa chapelle du cimetière
La chapelle du cimetière

La chapelle du cimetière

 

Vue Nord de Suresnes du chemin du parc

 

Le panneau de la promenade départementale Jacques-BaumelLe panneau de la promenade départementale Jacques-Baumel

Le panneau de la promenade départementale Jacques-Baumel

La promenade Jacques-Baumel

Les panneaux pédagogiques de la promenade Jacques-Baumel
Les panneaux pédagogiques de la promenade Jacques-Baumel

Les panneaux pédagogiques de la promenade Jacques-Baumel

Le Mont Valérien

Coupe géologique du Mont-Valérien : nature du terrain

Une visite à Suresnes en 2016Une visite à Suresnes en 2016
Une visite à Suresnes en 2016Une visite à Suresnes en 2016Une visite à Suresnes en 2016
Une visite à Suresnes en 2016Une visite à Suresnes en 2016Une visite à Suresnes en 2016
Une visite à Suresnes en 2016Une visite à Suresnes en 2016

 

Les quartiers sud du Mont Valérien

Les jardins fleurs des maisons individuelles

Les vignes de Suresnes

 

L'Ecole de plein air

Où se situe l'Ecole de plein air à Suresnes ?

La Cité-jardin de Suresnes :

Plans actuels et anciens

Plan d'époque de la cité-jardin de Suresnes

Plan schématique de l'époque :

 

 

Une visite à Suresnes en 2016
Une visite à Suresnes en 2016
Une visite à Suresnes en 2016
La cité jardinLa cité jardin
La cité jardinLa cité jardin

La cité jardin

La cité-jardin de Suresnes a été construite  à partir de 1921 jusqu'en 1956 à l’initiative du maire de la ville, Henri Sellier.

Les architectes qui ont travaillé sur la construction sont Alexandre Maistrasse, Julien Quoniam, Félix Dumail et Léon Bazin.

S'inspirant des "garden cities" anglaises, Henri Sellier, fondateur de l'Office Public des Habitations à Bon Marché de la seine et Maire de Suresnes de 1919 à 1941, décide en 1915 la création d'une quinzaine de cités et quartiers-jardins en Ile de France.

Celle de Suresnes est construite sur les terrains d'une ancienne ferme appelée "La Fouilleuse".

Cet ensemble architectural novateur destiné à accueillir  entre 8.000 et 10.000 habitants se

caractérise par une mixité sociale et la présence de nombreux équipements publics tells que groupes scolaires ou résidence pour personnes âgées, commerces de proximité, centre culturel, espaces verts et lieux de cultes. Sa réalisation confié à l'architecte Alexandre Maistrasse débute en 1919. Le plan est organisé autour de 2 axes principaux perpendiculaires Nord-Sud et Est-Ouest bordés d'arbres.

Achevée en 1956, la Cité-jardin compte alors 3297 logements dont 170 pavillons. On dénombre en 2010 3045 logements du fait de la reconfiguration de certains logements lors de la profonde réhabilitation réhabilitation réalisée entre 1985 et 1996 par l'Office département d'H.L.M. des Hauts-de-Seine. A l'initiative de Christian Dupuy, élu maire en 1983, elle est inscrite depuis 1985 à l'Inventaire des sites pittoresques du Département des Hauts-de-Seine.

Le théâtre Jean-Vilar de Suresnes :

 

Détails du théâtre Jean-Vilar
Détails du théâtre Jean-Vilar
Détails du théâtre Jean-Vilar

Détails du théâtre Jean-Vilar

 

Le s lavoirs-Bains-douches de Suresnes :

 

L'hôtel de ville de la ville de Suresnes

La Poste de Suresnes dans les années 60

La salle des fêtes de Suresnes

 

Quelques mots sur Henri Sellier : il fut le maire de cette ville de 1919 à 1941

Homme politique socialiste, licencié en droit et diplômé des Hautes études Commerciales, Henri Sellier (1883-1943) est élu conseiller général du canton de Puteaux de 1910 à 1939 et maire de Suresnes de 1919 à 1941. Sénateur de 1935 à 1943, il est nommé en 1936 Ministre de la Santé Publique et du Logement du gouvernement du Front Populaire.

Il est un des premiers à comprendre la nécessité de penser la ville et ses problèmes en terme d'agglomération, et non de commune. Élu conseiller général de la Seine à partir de 1910, il est Président de cette assemblée départementale de 1927 à 1930. Fondateur et administrateur délégué de l'Office d’Habitations à Bon marché (H.B.M.) de la Seine de 1914 à 1942, la construction des cités-jardins de la banlieue parisienne est son œuvre principale.

Portrait à l'encre bleue de J.-P. K. avril 2020

Le monument à Henri Sellier

 

L'église Notre-Dame de la Paix de Suresnes :

Image d'archives de la ville

Le plan initiial de l'église avec son clocher

 

L'Hôpital Foch :

 

L'usine Coty à Suresnes :

 

Le parfumeur d'origine corse François Coty, né Spoturno, 1874-1934, s'installe à Suresnes en 1909 pour y établir la "Cité des parfums".

Après avoir crée en 1904 son parfum La Rose Jacqueminot, c'est dans cette usine qu'il élabore Origan,

Ambre Antique, Au cœur des calices, Chypre, Emeraude...

Il s'affirme comme le précurseur de la parfumerie moderne en utilisant des flacons signés Baccarat ou Lalique et en associant des lignes de produits cosmétiques, construit de nouveaux bâtiments accueillant la savonnerie, la fabrication des poudres et fards, l'administration, les services sociaux, les magasins et les locaux techniques, tandis que la production de parfums continue dans les anciens locaux. La société poursuit son activité jusque dans les années 1970.

En 2003, la société Heines fait réaliser, pour y accueillir le siège du groupe Havas-EuroRSCG, par les architectes Valode et Pistre, la rénovation de l'ancienne usine en ajoutant sur cinq étages une extension contemporaine en verre au bâtiment d'angle en brique.

Et les parcs :

 

Le street art à la station de Tramway Suresnes -Longchamp :

Lien article du blog  sur le street art  à la station de tramway Suresnes-Lonchamp : http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2020/03/le-street-art-sur-la-ligne-du-t2.html

 

 

Photographies décembre 2016.

Voir aussi lien :  une randonnée à Suresnes sur le blog des Randonneurs Ovillois : http://lesrandonneursovillois.over-blog.com/2020/04/suresnes-et-le-mont-valerien-une-randonnee-virtuelle-durant-la-crise-sanitaire.html

Lien site Wikipédia Suresnes : https://fr.wikipedia.org/wiki/Suresnes

 

Bonne visite !!

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19 octobre 2018 5 19 /10 /octobre /2018 06:35
Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt

Une visite à l'Espace Landowski à Boulogne-Billancourt, Hauts-de-Seine :

Buste de Paul Landowski Espace Landowski à Boulogne-Billancourt

 

Installé au quatrième étage du musée des années 30, l’œuvre de ce sculpteur boulonnais est mis à l'honneur dans une nouvel scénographie.

Grand Prix de Rome de sculpture en 1900, Paul Landowski est mondialement connu durant l'entre-deux-guerres notamment avec le célèbre Christ rédempteur qui domine la baie de Corcovado de Rio de Janeiro.

 

 

La petite statuaire :

Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt
Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt
Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-BillancourtLe Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-BillancourtLe Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt
La famille de Paul Landowski marbres

La famille de Paul Landowski marbres

Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-BillancourtLe Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt
Le Christ Rédempteur

Le Christ Rédempteur

Lien Wikipédia Le Christ rédempteur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Christ_R%C3%A9dempteur

Structure béton et stéatite

 

H = 30mètres + 8 mètres de piédestal

Construction de 1926 à 1931  Ouverture : 12 octobre 1931

 

Conception  :

 
Créateur
 
 
 
 
 
 
Les Fantômes, œuvre de 1935 Plaine de Chalmont, Aisne  Maquette pour une oeuvre en granit de 8 mètres

Les Fantômes, œuvre de 1935 Plaine de Chalmont, Aisne Maquette pour une oeuvre en granit de 8 mètres

Le Musée des années 30 :

Le Musée des Années 30 :

Le musée des Années 30 est dédié à la création artistique de l'entre-deux-guerres et présente une collection unique composée de sculptures, de peintures de meubles et d'objets illustrant brillamment cette période.

28, avenue André Morizet au sein de l'Espace Landowski

Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt
Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt
Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-BillancourtLe Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt
Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt

L'art Colonial :

Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt
Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-BillancourtLe Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-BillancourtLe Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt

 

Les œuvres du rez-de-chaussée du musée Paul Landowski

Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-BillancourtLe Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-BillancourtLe Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt

 

Un artiste dans la nef de l'Espace Landowski :

Yves David "Bestiaire

jusqu'au 21 octobre 2018

 

 

 

Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-BillancourtLe Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt

 

Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-BillancourtLe Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt
Le Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-BillancourtLe Musée des Années 30 et le Musée Landowski à Boulogne-Billancourt
Les ours d'Yves DavidLes ours d'Yves DavidLes ours d'Yves David

Les ours d'Yves David

Lien sculptures Yves David : https://www.yvesdavidsculptures.com/

 

Renseignement et réservations :

Musée Paul Landowski  28, avenue André Morizet 92100 Boulogne-Billancourt

Tél. : 01 55 18 46 42 Site  http://www.boulognebillancourt.com

Courriel lien : direction.musees@mairie-boulogne-billancourt.fr

 

Office de Tourisme : 25, avenue André Morizet 92100 Boulogne-Billancourt

Tél. : 01 41 41 54 54 Lien site : http://www;otbb.org

Courriel : contacte@otbb.org

Bonne visite !

***

Balade Architecture des années 30, Art Déco et Mouvement Moderne

À l’exubérance et la fantaisie de l'Art nouveau succèdera dans la période de l’entre-deux-guerres deux mouvements architecturaux aux formes épurées et rationnelles : l’Art Déco et le Mouvement Moderne. Deux styles qui privilégient la concordance des formes avec la fonctionnalité de l’habitat, que l’on reconnaît avant tout par leurs formes géométriques simples.

Boulogne-Billancourt, à la frontière du 16ème arrondissement possède de nombreux Villas et Hôtels particuliers témoins de ces deux courants, construits par les plus grands architectes de l’époque comme Le Corbusier, Mallet-Stevens, Courrèges, les frères Perret ou Terry. Une balade pour les amoureux d’architecture, ou tout simplement pour les amateurs de découvertes originales. 

  • Début du parcours à la Porte de Saint-Cloud (ligne 9, 16e arrondissement). Prenez la route de la Reine, puis tournez à droite rue de la Tourelle. Vous êtes dans Boulogne-Billancourt. 
  • Au 60-62 rue de la Tourelle, vous pouvez voir un ensemble immobilier construit par Constant Lefranc. Une architecture qui utilise pour sa façade le béton et la brique, matériaux typiques de l’Art Déco. 

  • Prenez la rue du Belvédère. Bordée de villas et d’hôtels particuliers, cette rue est l’une des plus élégantes de Boulogne-Billancourt. Beaucoup furent construits, à bas coûts, pour des artistes d’époque.

  • À ne pas louper : le n° 9, sa grande baie horizontale et sa pergola en ciment. En face, du n° 6 au n°12, les styles et les matériaux des villas évoquent une jolie rue anglaise. Au n°21 se trouve un magnifique atelier d’artiste construit par les frères Perret pour la sculptrice Dora Gordine. Un édifice qui n’a subi que très peu de modifications.

  • Tournez à droite rue du Pavillon. Vous trouverez dans cette rue 2 superbes hôtels particuliers aux styles différents. L’un au n°10, l’autre au bout de la rue, au n°1.

  • Au bout de la rue du Pavillon vous bénéficiez également d’une jolie vue sur deux stades : le Parc des Princes (football) et le stade Jean Bouin (Rugby-construit en 2013).

  • Prenez la rue Marcel Loyau jusqu’à l’avenue Robert Schuman.
  • Avenue Robert Schuman, de nombreuses superbes villas de dissimulent derrière de hautes grilles. Dans l’étonnant hôtel particulier du 19 bis a résidé André Malraux de 1945 à 1962. Vous trouverez d’autres hôtels d’exception aux n°22, 24 et 26.

  • Prenez ensuite la rue Salomon Reinach jusqu’à la place Denfert-Rochereau, puis continuez rue Denfert-Rochereau. Marchez jusqu’au 13, rue Denfert-Rochereau. Ici se trouve l’une des maisons les plus originales de la ville.

  • Tournez à gauche rue Claude Monet, et rendez-vous rue Gambetta. Parmi les plus beaux édifices, remarquez l’hôtel particulier personnel de l’architecte Jean Niermans au n°3 rue Gambetta, ou l’Hôtel du n°5, mélange original entre modernisme et architecture néoclassique.

  • Au bout de la rue, depuis le rond-point, admirez enfin l’Hôtel du peintre Alfred Lombard. Racheté en 2007, il a été classé monument historique et divisé en plusieurs lots.

  • Reprenez la rue Denfert-Rochereau. Les numéros 2, 4 et 6 forment un joli triptyque d’architecture moderne. La villa du n°6 est l’œuvre de Le Corbusier. 

Fin de la balade. Vous pouvez retourner à la Porte de Saint-Cloud en marchant tout droit rue Denfert-Rochereau, en faisant un détour via de jolies rues comme la rue des Pins ou la rue Gutenberg. Au niveau de la Porte de Saint-Cloud, vous pouvez continuer vos découvertes architecturales sur les pas d'Hector Guimard et l'Art nouveau ou une jolie balade dans le village d'Auteuil.

Le parcours industriel de Boulogne :

Le parcours des sites industriels de Boulogne-Billancourt

Le parcours des sites industriels de Boulogne-Billancourt

La patrimoine de Boulogne-Billancourt

La patrimoine de Boulogne-Billancourt

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