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L'artiste

  • : Le blog de Jean-Pierre Kosinski.
  • : Présentation de l'artiste et de quelques-unes de ses promenades, de ses visites, de ses œuvres : dessins, aquarelles, lavis à l'encre et photographies
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30 avril 2025 3 30 /04 /avril /2025 16:52

 

 

Une visite du Musée de la Marine à Paris

le 30 avril 2025 avec l'association Houilles accueille

Marc , notre conférencier du Musée

Le Royal Louis 

 

Le Royal Louis est le deuxième exemplaire d'une série de six vaisseaux de ligne de premier rang de la Marine royale française. Il sert de vaisseau amiral à la flotte du Levant basée à Toulon jusqu'à son remplacement par le troisième Royal Louis.

L : 70 mètres H mats : 50 mètres, 1000 marins, 124 canons, 50 à 60 cm de bois d'épaisseur.

Il fallait plusieurs boulets de canons pour briser l'épaisseur de la coque; les canonniers cherchaient à briser les mâts pour immobiliser les vaisseaux.

une estimation de 3000 à 3500 chênes utilisés pour sa construction

Un archétype de vaisseau de premier rang :

 

À partir de 1661, Louis XIV décuple pratiquement sa flotte en une décennie, passant de neuf vaisseaux (en 1661, une force alors insignifiante) à 120 (en 1672, permettant de faire jeu-égal avec les flottes anglaises et hollandaises). Un important effort de construction est fourni en 1667-1671 juste avant la guerre de Hollande (1672-1678), et en 1689-1693 au début de la guerre de la Ligue d'Augsbourg (1688-1697). L'apogée se situe en 1695 avec 137 vaisseaux ; la mort de Seignelay (le fils de Colbert qui lui a succédé à la tête de la Marine) les défaites (Barfleur, la Hougue et Marbella) et les difficultés financières entraînent la réduction des dépenses et donc du nombre de vaisseaux. Pour l'ensemble du règne personnel de Louis XIV (1661-1715), 381 unités sont lancées[4]. Les unités de la flotte sont classées à partir de 1669 en six rangs, les vaisseaux correspondent aux quatre premiers rangs, les frégates aux cinquième et sixième.

 

 

La pèche à la baleine interdite aujourd'hui dans le monde, sauf la Norvège et le japon, l'Islande l'a faite dernièrement

 

 

 

 

 

Le paquebot France (troisième du nom, rebaptisé Norway en 1979, puis Blue Lady en 2006) est un ancien paquebot transatlantique construit aux Chantiers de l'Atlantique, à Saint-Nazaire, où il est mis à l'eau le  en présence du président de la République française, le général de Gaulle. Avec ses 314 mètres de long, il est pendant toute sa période d'activité le plus long paquebot (navire à passagers) jamais construit au monde jusqu'au lancement en 2004 du Queen Mary , long de 345 m (1 132 ft). Il est ainsi resté pendant 42 ans le plus grand paquebot au monde, un record encore actif aujourd'hui. Symbole du prestige de la France gaullienne, dont la fin de l'exploitation en France fut elle symbolique de la crise des années 1970[], il fut surnommé le « petit frère du Normandie » par les chantiers de l'Atlantique.

Son port d'attache est Le Havre et il est mis en service en , pour le compte de la Compagnie générale transatlantique (CGT). Luxueusement meublé, le paquebot a été décoré par plusieurs peintres de l'École de Paris, notamment par Louis Vuillermoz[].

Pendant douze ans, il assure des traversées transatlantiques et quelques croisières autour du monde, jusqu'en . Son désarmement est brutalement décidé avec l'accord du président de la République, Valéry Giscard d'Estaing, pour cause de non rentabilité, alors qu'il s'était engagé, au cours de sa campagne électorale, à le maintenir en service[].

Revendu d'abord à l'homme d'affaires saoudien Akram Ojjeh, en 1977, puis à un armateur norvégien en 1979, rebaptisé Norway, il assure alors, après plusieurs transformations, des croisières en mer des Caraïbes. Revendu à un ferrailleur, il est rebaptisé Blue Lady en 2006 et son démantèlement prend fin en 2009 en Inde, sur le chantier d'Alang.

Caractéristiques techniques du Paquebot français "France"

 

Longueur 315,7 mètres (hors-tout)
299,2 mètres L (à la flottaison)
290 mètres (entre perp.)

Equipage

Maître-bau

1100 personnes

33,7 mètres (largeur)

Tirant d'eau 10,5 mètres (H sous l'eau)
Tirant d'air 66,9 mètres (H au dessus de l'eau)
Déplacement 57 607 tonnes
Port en lourd 13 960 tpl
Tonnage 66 348 jb
Propulsion 4 hélices fixes, ∅ 5,8 mètres
4 groupes CEM-Parsons
Puissance 160 000 chevaux
Vitesse 31 nœuds (peut traverser l'Atlantique en 5 jours)

Le Normandie

 

 

 

La grandeur des rois

 

La galère du Roi, bateau d'apparat

 

Les grands tableaux de Vernet : les ports de France

 

Entre 1753 et 1765, Joseph Vernet se déplace dans dix ports : Marseille, Bandol, Toulon, Antibes, Sète, Bordeaux, Bayonne, La Rochelle, Rochefort et Dieppe.Entre 1753 et 1765, Joseph Vernet se déplace dans dix ports : Marseille, Bandol, Toulon, Antibes, Sète, Bordeaux, Bayonne, La Rochelle, Rochefort et Dieppe.
Entre 1753 et 1765, Joseph Vernet se déplace dans dix ports : Marseille, Bandol, Toulon, Antibes, Sète, Bordeaux, Bayonne, La Rochelle, Rochefort et Dieppe.
Entre 1753 et 1765, Joseph Vernet se déplace dans dix ports : Marseille, Bandol, Toulon, Antibes, Sète, Bordeaux, Bayonne, La Rochelle, Rochefort et Dieppe.Entre 1753 et 1765, Joseph Vernet se déplace dans dix ports : Marseille, Bandol, Toulon, Antibes, Sète, Bordeaux, Bayonne, La Rochelle, Rochefort et Dieppe.

Entre 1753 et 1765, Joseph Vernet se déplace dans dix ports : Marseille, Bandol, Toulon, Antibes, Sète, Bordeaux, Bayonne, La Rochelle, Rochefort et Dieppe.

Les grands navires actuels

Le porte-avion Charles de Gaulle et ses navires d'accompagnement

 

Un canon de 36 livres et ses décorations

 

Une collection, cinq sites : 

Constitué en réseau, le musée national de la Marine est présent à Paris mais aussi sur le littoral atlantique : à Brest, Port-Louis et Rochefort ainsi que sur le littoral méditerranéen, à Toulon. Cela lui permet d’entretenir des liens forts avec les cultures maritimes locales et de promouvoir une politique active d’expositions.

Paris, palais de Chaillot, Trocadéro

Dominant l’un des plus vastes panoramas de Paris, le musée national de la Marine est installé sur l’emplacement du Palais du Trocadéro (1878) dans le nouveau Palais de Chaillot construit pour l’Exposition Universelle de 1937, au cœur d’un quartier touristique de première importance.

Merci à Marc notre conférencier du musée de la Marine et à Philippe notre accompagnateur et organisateur de cette visite !

Musée de la Marine Paris

Accès. Palais de Chaillot. 17, Place du Trocadéro. 75016 Paris

Venir en bus. Lignes 22, 32 : arrêt Sheffers ou Trocadéro. Lignes 30, 63 : arrêt Trocadéro.

Voir aussi autre article du blog : Une visite de l'Hôtel de Marine à Paris  : https://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2023/07/l-hotel-de-la-marine-a-paris.html

L'histoire des voiliers par le dessin et l'aquarelle : https://jeanpierrekosinski.over-blog.net/article-les-voiliers-et-leur-histoire-par-le-dessin-et-l-aquarelle-123310915.html

Voir article sur l'Hermione, édité en 2015.http://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2015/09/l-hermione-fregate-de-12.html

Un article sur le galion espagnol San José et ses richesses englouties : https://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2024/03/le-galion-espagnol-san-jose-et-ses-richesses-englouties.html

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18 septembre 2023 1 18 /09 /septembre /2023 04:42

 

Une visite et une conférence durant les Journées Européennes du Patrimoine, le samedi 16 septembre 2023 par Perrine

Une vue de Notre-Dame du Travail vers l'entrée de l'église et l'orgue

Architecte : Jules Godefroy Astruc, élève de Victor Laloux (architecte de la gare de Tours et de la Gare d'Orsay.

"La construction doit rappeler à l'ouvrier son usine, afin qu'il se sente chez lui, dans son milieu habituel" 

 

 

L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVèmeL'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVèmeL'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVèmeL'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVèmeL'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème

L'église Notre-Dame-du-Travail a une architecture originale à structure métallique de type industriel, adaptée à la population ouvrière de l'époque de construction (1899-1902), et dont les proportions et la luminosité ont été préservées (architecte L.-Jules Astruc).

Un peu d'histoire :

Avant 1840, Plaisance n'est qu'un hameau dépendant du village de Vaugirard. Vers 1840, la gare Montparnasse est inaugurée, les lotissements se multiplient... le quartier urbain de Plaisance est né. Dix ans après, on compte déjà 2 000 habitants. Une petite chapelle, dédiée à Notre Dame de l'Assomption, est située rue Saint-Médard (aujourd'hui rue du Texel) et permet de réunir deux cents personnes; elle est longue de 19 mètres et large de 7 mètres.

 

Le 17 mars 1848, Monseigneur Affre, archevêque de Paris, érige la nouvelle paroisse Notre-Dame-de-l'Assomption de Plaisance. Dès la première année, il y a 106 baptêmes, 78 enterrements et 23 mariages.

En 1856, l'église étant beaucoup trop petite, le magasin contigu est loué pour l'agrandir.

Le 1er janvier 1860, le quartier de Plaisance devient un quartier de la Ville de Paris. La paroisse change son nom et devient Notre-Dame de Plaisance. La limite de la paroisse va alors de la Ferme des Acacias jusqu'aux fortifications ; elle est délimitée par le chemin de fer de l'Ouest et la route de Vanves.

En 1865, l'église est agrandie et l'empereur Napoléon III lui donne une cloche de 552 kgs, dite cloche de Sébastopol (prise de la guerre de Crimée).

Pendant la Guerre de 1870, l'église est aménagée en hôpital municipal.

En novembre 1872, dans ce quartier animé, l'archevêque de Paris crée un "fourneau économique" pouvant distribuer 2000 portions par jour , une crèche de 100 enfants, un vestiaire, une salle de conférences... La paroisse s'endette.

En 1884, l'abbé Soulange-Bodin est nommé vicaire. Il s'occupe des gamins du quartier livrés à eux-mêmes,  fonde un "patro" sur les fortifications, puis sur les terrains de l'hôpital Saint-Joseph... (origine de la Paroisse Notre-Dame-du-Rosaire). Il créé le "Torchon", oeuvre de travail à domicile pour les femmes d'ouvriers.

Le 17 juin 1896, l'abbé Soulange-Bodin est nommé curé de Plaisance. Un terrain a été acheté et offert à son prédécesseur pour permettre la construction d'une église. On lui suggère alors de dédier son église à Notre Dame du Travail (dont la statue existait déjà), en réservant une place à chacune des corporations. Il s'agit d'honorer la dignité du travailleur. L'abbé Soulange-Bodin est séduit et lance une souscription à travers la France:

"Pour qui une église ? pour unir sur le terrain de la Religion les travailleurs de toutes les classes. Pourquoi à Paris ? parce que Paris est considéré à juste titre comme le centre du travail et de l'industrie. Pourquoi dans le quartier de Plaisance ? parce que c'est un faubourg composé uniquement de travailleurs, qui n'a pas encore d'église pour ses 35000 habitants, mais qui est admirablement préparé à en recevoir par un ensemble remarquable d'œuvres religieuses et sociales".

"Pour quand ? pour 1900. Il faut qu'en venant à l'Exposition Universelle les travailleurs des deux Mondes puissent venir prier dans le sanctuaire de la Vierge du Travail. Il faut qu'en 1900, tandis que s'ouvrira le Palais des produits du travail, s'ouvre pour les producteurs du travail un grand Sanctuaire d'union et de concorde".

Influencé par la Tour de Monsieur Eiffel et les œuvres de Baltard, L'abbé Soulange-Bodin confie la construction de l'église à l'architecte Jules Astruc. Ils adopteront un style résolument moderne. L'église devait rappeler à l'ouvrier son usine afin qu'il se sente chez lui, dans son milieu habituel, entouré des matériaux de fer et de bois que sa main transforme tous les jours. Elle devait être, comme l'usine, un édifice où le travail spirituel fût incessant, où le va-et-vient fût continuel, car le nouveau curé avait l'ambition de rendre la maison de Dieu aussi fréquentée que les établissements de ce quartier populaire dont les salles regorgeaient de monde. Mais la maison de Dieu, si elle rappelait l'usine et l'atelier où l'ouvrier peinait tout au long de sa vie, devait aussi être une fête pour ses yeux et un réconfort. L'abbé Soulange-Bodin voulait que les yeux puissent se baigner dans la lumière et que les poumons eussent à respirer largement de l'air pur. Si la nef rappelle le style usine (charpente métallique de 135 tonnes de fer et d'acier, ce qui est peu), le porche et le chœur nous invitent a la prière… nous orientant vers l'abside néo-romane. Deux tribunes surplombent les chapelles latérales et ne sont pas sans nous rappeler les églises du Pays Basque dont l'abbé Soulange-Bodin est originaire. De l'extérieur, l'église ne laisse pas soupçonner son architecture. Il faut y pénétrer pour la découvrir et être séduit. N'est-elle pas, ainsi, comme le symbole de la vie humaine ? Il faut que l'homme dépasse l'extérieur, le visible, pour découvrir cette intimité, cette rencontre merveilleuse à laquelle Dieu l'appelle.

"Voici que je me tiens à la porte et je frappe", dit le Seigneur dans l'Apocalypse de Jean. "Si quelqu'un ouvre, j'entrerai chez lui, et je prendrai mon repas avec lui (III, 20)."

Sous l'impulsion de son curé, Notre-Dame-du-Travail devient une école de formation pour les prêtres des faubourgs et des banlieues. Le premier presbytère communautaire est créé. Il ne s'agit pas seulement d'une équipe, mais d'une école de perfectionnement spirituel. L'abbé Soulange-Bodin ne cesse de dénoncer aussi les injustices sociales. Il défend l'idée du syndicat. Il prône le régime de la "Séparation" pour que "les prêtres n'aient plus l'apparence d'être des fonctionnaires". Il fonde le premier journal paroissial du diocèse de Paris: "l'Écho de Plaisance". Il s'occupe des "provinciaux", immigrés de Bretagne, abusivement séduits par les attraits de la Capitale, et lance une campagne contre le logement insalubre et la mortalité infantile. En 1909, il est nommé curé de Saint-Honoré-d'Eylau où il reste 14 ans. Il meurt en mai 1925. Dès le début du 20ème siècle, cette zone de Paris était déclarée insalubre, avec ses constructions sommaires, ses hangars, ses carrières...

En 1961, la rénovation est décidée. En 1962, la SEMIREP (Société d'Économie Mixte de Rénovation) est créée. Elle procède à une enquête: 77 % des logements sont titulaires de WC collectifs, 6 % seulement possèdent une salle d'eau.

La première opération de rénovation commence en 1966/67 sur la zone Plaisance / Vandamme.

- 4400 logements sont détruits.

- 5700 logements neufs sont construits (dont 4800 logement sociaux).

Les habitants du quartier et surtout les personnes âgées, subissent péniblement ces évolutions. Ailleurs, le quartier se dégrade. Des immeubles sont murés. Des squats s'installent, la drogue est proposée partout... Violence et délinquance sont présentes. Une radiale Vercingétorix est envisagée. Les habitants du quartier s'organisent et obtiennent en 1977 l'abandon de celle-ci ainsi que le maintien de certains immeubles. On avait même envisagé la démolition de l'église. La rénovation de la ZAC Guilleminot (13 ha) commence et durera jusqu'en 1990. Ricardo Boffil construit l'ensemble des Colonnes et de l'Amphithéâtre. 2ha et demi de jardins et espaces verts sont aménagés autour de l'église. 400 logements sont construits, dont 77 % de logements sociaux. Malgré cela, la paroisse perd peu à peu son caractère populaire, un vieux quartier disparaît, un nouveau est en train de naître. De nombreux artistes restent cependant présents, des ateliers ayant été aménagés. Dans les petites rues, rue de Plaisance, rue Boyer-Barret, rue des Thermopyles... on découvre de nombreuses maisons avec jardins, des petites cours anciennes et nombre de vieux magasins et ateliers d'artisans. Mais le TGV Atlantique que l'on voit défiler rappelle que le quartier continue sa modernisation; le nouveau siège de la S.N.C.F. y est inauguré en 1999, les principaux services du Secrétariat d'État au  Tourisme s'y installent en 2005. En novembre 2002, la Ville de Paris a remis en place dans l'église quatre des tableaux qui s'y trouvaient précédemment et avaient été enlevés depuis de longues années pour restauration; ces tableaux (dont deux sont de Jean Huberti) représentent quatre saints liés au monde du travail: s. Luc (métiers d'art), s. François d'Assise (création poétique et écologie), s. Éloi (métallurgie et orfèvrerie), et s. Fiacre (jardinage et culture maraîchère). Les peintures les plus intéressantes restent cependant les oeuvres de Lucien Simon (1861 - 1945), qui se trouvent dans la chapelle des Défunts (la Messe du Soldat; le Sacrifice); elles datent de 1920. Depuis 2002, la restitution des tableaux restaurés se poursuit.

Sources : https://www.notredamedutravail.net/visites-et-concerts/histoire-de-l-eglise

 

L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVèmeL'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème

Le chœur et son maître-autel

 

Les vitraux de l'église : Saint-Vincent-de-Paul, La Vierge Marie portant l'enfant Jésus et Saint-Joseph

Le tabernacle

 

Le baptistère : des symboles de l4antiquitéLe baptistère : des symboles de l4antiquité
Le baptistère : des symboles de l4antiquitéLe baptistère : des symboles de l4antiquité

Le baptistère : des symboles de l4antiquité

Sources documentation : Guide de Notre-Dame du Travail

Les toiles du chœur

 

 

un hymne au travail et à la charité

Les chapelles

 

 

La chapelle Sainte-Geneviève

Notre-Dame du Travail, un cadeau des commerçants et des industriels

Notre-Dame du Travail, un cadeau des commerçants et des industriels

Notre-Dame du Travail, une œuvre du sculpteur Marie Joseph Lefèvre, 1845-1905, présente Marie sur un socle muni des symboles des différents métiers manuels représentant les différentes corporations ouvrières du quartier réunies au pied de leur patronne. C'est une pierre blanche de Poitiers sculptée dans un bloc de 7.000 kg. Le blog mesure 1.05 mètres de haut et les figures 1.80 mètres.

 

Quelques détails du socle

"La main créatrice"

Sculpture de Michel Serraz installée le 23 septembre 1991

Le Chemin de Croix 

 

Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin
Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin
Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin
Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin
Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin
Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin
Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin
Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin
Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin
Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin
Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin
Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin
Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin
Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin

Le Chemin de Croix, tilleul et hêtre, cadres de 53 x 24 x 5 cm, sculptés par l'artiste Christine Audin

Les 14 gravures de bois, œuvres de Christine Audin, ont la particularité d'avoir les personnages dont le nombre décroit à chaque tableau.

Ce Chemin de Croix a été installé dans l'église en 1993.

Christine Audin : lien http://sculptur.audin.free.fr

 

 

Merci à Pérrine, notre sympathique conférencière du jour

 

Le Guide Notre-Dame du Travail :

L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème
L'église Notre-Dame du Travail à Paris XIVème

Lien site Wikipédia Eglise Notre-Dame du Travail : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Notre-Dame-du-Travail_de_Paris

Adresse de l'église : 

59, rue Vercingétorix dans le 14e arrondissement de Paris.

Paroisse : 34-36 rue Guilleminot, 7501 Paris

Courriel : contact@notredamedutravail.net

Site lien : http://www.notredamedutravail.net

Métro. : Pernéty Ligne métro  N°13

Programme calendrier 2023-2024 Eglise Notre-Dame du Travail 

 

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