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Présentation de l'artiste et de quelques-unes de ses promenades, de ses visites, de ses œuvres : dessins, aquarelles, lavis à l'encre et photographies
Session street art sur le chantier du Metal57 à Boulogne-Billancourt... Face à l’île Seguin, plusieurs graffeurs rivalisent de créativité à quelques jours de la pose de la première pierre du futur siège social de BNP Paribas Real Estate niché au cœur de l’éco-quartier du Trapèze !
Une visite de la brasserie Seguin Sound lors d'une visite-conférence à Boulogne-Billancourt et son île Seguin, ancien fief des usines Renault
L'île Seguin et la Seine Musicale
La micro-brasserie du Seguin Sound
vous propose tout au long de l'année
des bières 100% artisanales
7 bières
Blondy - Hip Hop Lager - Island Pale Ale - Signature Stout -
Flemish Fanfare - Rock ‘N’ Rousse - Blanche de Blanquette
Blondy : 4,8% – Blonde classique, légère et fruitée, avec une amertume houblonnée française, discrète et agréable.
Hip Hop Lager : 4,4% – Aux influences bohémiennes de malt Pilsner, après quelques semaines de maturation, cette bière légère offre un goût malté et un arôme citronné.
Island Pale Ale : 5,8% – Tendance coté Ouest de trois variétés de houblons ; l’American Columbus, le Denali et la Cascade, donnent en bouche une éruption de fruits tropicaux.
Signature Stout : 4,2% – Bière brune, riche et sombre, d’origine française, aux arômes de cacao, avec une amertume de caramel brun. Le malt grillé est accompagné d’un léger goût de houblon.
Flemish Fanfare : 4,2% – Style bière d’abbaye, en bouche, ce sont des arômes maltés, avec une légère amertume.
Rock ‘N’ Rousse : 4%
Blanche de Blanquette : 4,2%
Images retraitées sur ordinateur et recolorées
Quelques images de la brasserie
Où se situe la Micro Brasserie Seguin Sound sur l'île ?
𝐒𝐄𝐆𝐔𝐈𝐍 SOUND :
1, Parvis de la Seine Musicale del'Île Seguin, 92100, Boulogne-Billancourt (sous l'écran géant de 800m²)
Ⓜpont de sèvres ligne 9 ⓂJean Jaurès ligne 10 Ⓣbrimborion tram T2 par la passerelle
Voir aussi autres articles du blog sur l'Ile Seguin et visite durant une conférence de Marianne sur l'Ile Seguin et dans le quartier du Trapèze à Boulogne-Billancourt :
Une visite-conférence au musée Paul Landowski à Boulogne-Billancourt
dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine le 19 septembre 2020
par Marjorie.
Le Boxeur
David combattant :
Quelques œuvres de Paul Landowski
Panorama sur une partie des œuvres de Paul Landowski
'Le Christ Rédempteur" une des œuvres majeures de l'artiste
L
Documentation Musée Paul Landowski septembre 2020
Le Christ Rédempteur sur le Corcovado : un emblème de la ville de Rio de Janeiro
Le Corcovado (« bossu » en portuguais) est l'un des nombreux reliefs de la ville de Rio de Janeiro. Il s'élève à 710 mètres d'altitude. Il est célèbre pour accueillir en son sommet la statue du Christ Rédempteur, O Cristo Redentor, en portuguais,l'un des principaux symboles de la ville et du pays, et pour offrir une vue sur l'ensemble de la zone sud de la ville.
Le Corcovado avant l'implantation du O christo Redentor en page de gauche
Elle est devenue au fil des ans un des emblèmes reconnus internationalement de la ville, au même titre que le Pain de Sucre, la plage de Copacabana ou le carnaval.
Elle fut conçue par l'ingénieur brésilien Heitor da Silva Costa et réalisée par le sculpteur français Paul Landowski et le sculpteur roumain Gheorghe Leonida (pour la tête) et érigée en collaboration avec l'ingénieur français Albert Caquot.
Les grandes statues du monde et leur taille Voir le Christ Rédempteur à droite
Lien site Wikipédia sculpteur roumain Georghe Léonida : Gheorghe Leonida
Lien Wikipédia ingénieur français Albert Caquot : Albert Caquot
Documentation sources Wikipédia
Sainte-Geneviève située sur le Pont de la Tournelle à Paris
Sainte-Geneviève le pont de la Tournelle et la cathédrale Notre-Dame avant son incendie
Le monument à Sun Yat-Sen
Paul Landowski devant la statue en marbre de Sun Yat-Sen, image ci-dessus
Sun Yat-sen homme d'état chinois
Sun Yat-sen 孙逸仙 ou 孫逸仙 ou sūn yìxiān ou en cantonais Jyutping ; cantonais Jyutping : syun jat sin ;zhuyin : ㄙㄨㄣ 〡ˋ ㄒ〡ㄢ, Sun Yat-sen étant la prononciation en cantonais qui s'est exportée en Occident ; le nom se prononce Sūn Yìxiān en mandarin), plus connu en Chine sous son surnom Sun Zhongshan (en mandarin, chinois : 孙中山 / 孫中山, sūn zhōngshān,cantonais Jyutping : syun¹ zung¹saan¹, zhyin : ㄙㄨㄣ ㄓㄨㄥ ㄕㄢ), également appelé Sun Wen (孫文), ( – ) est un révolutionnaire et homme d'état chinois.
Il est considéré comme « le père de la Chine moderne ». Il a eu une influence significative dans le renversement de la dynastie Qing (dont le dernier représentant a été Puyi) et l'émergence de la république de Chine. Sun Yat-sen, l'un des fondateurs du Kuomintang, a été le premier président de la république de Chine en 1912 et, entre 1917 et 1925, dirigea plusieurs gouvernements basés dans le Sud de la Chine, qui visaient à réunifier le pays alors en proie à la domination des seigneurs de la guerre. Il a développé une philosophie politique connue sous le nom des Trois principes du peuple (nationalisme, démocratie et bien-être du peuple).
Les Suppliants 1913 plâtre patiné, en premier plan, Le Mur de Prométhée 1925 plâtre patiné, en second plan.
Les Danses
bronze 1947
Les Monuments aux Morts :
Après guerre, 30.000 monuments aux morts sont construits. Paul Landowski, ayant participé à la Première guerre en bâtira 23 à lui seul.
Les Buttes de Chalmont font parties de ses œuvres importantes de l'artiste.
Le Bouclier aux Morts Inauguré en 1929 Plâtre patiné Don indivision Landowski
Portraits intimes :
Nadine - Marcel Landowski plâtre et marbre
Détails du Monument aux Morts
Musée Paul Landowski :
28, avenue André-Morizet
92100 Boulogne-Billancourt
Tél. : 01 55 18 46 42
Où se situe Boulogne-Billancourt et son musée
Le musée des Années 30 à Boulogne-Billancourt :
Créé pour commémorer le décret de 1925 renommant la commune de Boulogne en Boulogne-Billancourt, en évoquant la « modernité, noces des arts et de l'industrie », ce musée municipal, installé à l'origine dans les locaux de l'hôtel de ville, a été créé en 1939 par le docteur Albert Besançon, premier conservateur, dans le but de regrouper des collections assez disparates concernant le patrimoine culturel et industriel de Boulogne-Billancourt. En 1983, Emmanuel Bréon prend la succession du docteur Besançon, mort à 103 ans, et donne une nouvelle direction à la politique du musée, en le recentrant sur l'exploration du patrimoine des années 1930. Des années fastes pour Boulogne-Billancourt, aussi bien sur le plan industriel que culturel. À cette époque en effet, de nombreux artistes, architectes, peintres, sculpteurs, cinéastes, sont attirés dans cette ville où les prix des terrains et des ateliers restent abordables.
Rebaptisé « musée des Années 30 » en 1994, le musée s'installe en 1998 dans ses nouveaux locaux de l'espace Paul-Landowski. Suivant l'idée qu'un tel musée devait rendre compte de tous les aspects artistiques de ce début de XXe siècle, le musée des Années Trente présente une série d'œuvres orientalistes. On y trouvera donc aussi bien des peintres du ministère de l'Outremer et des Colonies ou des boursiers de la villa Abd-El-Tif. La collection orientaliste du musée (entre autres le peintre Georges-André Klein) a démarré véritablement avec l'exposition intitulée Coloniales organisée par le musée en 1989-1990. Sont exposées alors de nombreuses œuvres issues des réserves du musée des Arts africains et océaniens. Certaines d'entre elles resteront en dépôt au musée des Années Trente, premier noyau de la collection de peinture coloniale.
Une famille d'artistes et une formation humaniste (1875-1913) :
Paul est le fils de d'Edward Landowski, docteur en médecine, d'origine polonaise, et de
Julie Henriette Vieuxtemps. Paul Landowski est le petit-fils, par sa mère, du célèbre violoniste et compositeur Henri Vieuxtemps. Il perd successivement sa mère le , puis son père le , morts des suites d'une maladie à Alger. Il est dès lors, avec ses frères et sœurs, pris en charge à Paris par son oncle paternel,Paul Landowski. Il épouse en premières noces Geneviève Nénot (1888-1911), fille d'Henri-Paul Nénot, dont il a deux enfants, la peintre Nadine Landowski (1908-1943) et Jean Max Landowski (1911-1943), mort pour la France. Veuf, il épouse Amélie Cruppi, fille de l'homme politique Jean Cruppi et de la femme de lettres Louise Cruppi. Il est aussi le père du compositeur Marcel Landowski (1915-1999), qui réforma l'enseignement musical en France, et de la pianiste et artiste peintre Françoise Landowski Caillet (1917-2007).
Après des études secondaires à Paris au collège Rollin, il se destine à la versification dramatique. En hypokhâgne, il découvre durant l'année 1898 auprès d'Henri Barbusse, la philosophie humaniste, laquelle marquera toute son œuvre. L'année suivante, il suit, parallèlement à ses études, les cours du portraitiste Jules Lefebvre à l'Académie Julian. Il devient un expert en anatomie en suivant quotidiennement les dissections de l’École de Médecine et en dessinant les planches pédagogiques du professeur Farabeuf. Il se passionne pour la boxe.
Admis en 1895 aux Beaux-arts, il y devient l'élève de Louis-Ernest Barrias. Il en sort en 1900 lauréat du prix de Rome pour son David combattant Goliath et séjourne à la villa Médicis. En 1903, il participe à son premier Salon des artistes français ; il y exposera durant toute sa carrière, pendant plus de trente années. En 1906, bientôt suivi par tout un milieu d'architectes, d'artistes et de mécènes, il s'installe à Boulogne-Billancourt, rue Moisson-Desroches, aujourd'hui rue Max Blondat. Il ne reste de son atelier qu'un petit musée construit après sa mort dans un coin du jardin et légué à la ville en 1982.
La maison atelier de Paul Landowski à Boulogne-Billancourt Photographie de 1906
Il accède à la célébrité dès 1909 avec une sculpture installée cinq ans plus tard sous la coupole du Panthéon, Aux artistes dont le nom s'est perdu.
L’œuvre de Paul Landowski "Aux artistes dont le nom s'est perdu" Le Panthéon de Paris.
En 1927, Paul Landowski s'installe au Brusc, hameau de la commune de Six-Four-les-Plages dans le Var, où il installe un atelier dans lequel il créera la plupart de ses œuvres.
La sculpture comme instrument civilisateur (1914-1938)
En 1916, durant la Première Guerre mondiale, il participe à la bataille de la Somme et reçoit la croix de guerre. En 1917, il livre avec Bouchard à la ville de Genève les statues du Monument de la Réformation. Il réalise dans l'après-guerre plus de quatre-vingts monuments aux morts, dont :
en 1921, le Monument à la gloire des internes des hôpitaux de Paris dans l'enceinte de l'Hôtel Dieu,
en 1924, Le Monument de la Victoire à Casablanca,
en 1928, Le Pavois à Alger,
en 1935, Les Fantômes sur le champ de Chalmont, où se scella le sort de la seconde bataille de la Marne.
En 1928, il participe au concours d'art des IXème Jeux olympiques d'Amsterdam et obtient la médaille d'or au concours de sculpture pour Le Boxeur. Officier de la Légion d'Honneur depuis le , il est promu commandeur le .
Reconnu comme un héros aux préoccupations humanistes, il devient dans la France pacifiste de l'après-guerre le sculpteur qui obtient le plus de commandes monumentales, à Paris ou à l'étranger :
en 1928, la statue de Sainte Geneviève protégeant Paris, érigée sur le pont de la Tournelle ;
inauguré en 1929 : Le Bouclier aux morts, mairie du XVIème arrondissement de Paris,
en 1930, le Mausolée de Sun Yat Sen à Nankin,
en 1931, le Christ de Corcovado Le Christ Rédempteur à Rio de Janeiro,
en 1933, Montaigne méditant face à la Sorbonne, rue des Écoles à Paris,
en 1936, les fontaines de la porte de Saint-Cloud à Paris,
en 1937, le tombeau du maréchal Foch aux Invalides à Paris,
inauguré en 1956 : À la gloire de l’Armée française 1914-1918, place du Trocadéro à Paris.
Il est invité à la 24ème exposition de la Société des artistes rouennais à Rouen en 1933.